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Commentaire de ezechiel

sur Pourquoi l'Intelligence Artificielle est-elle un bien meilleur élève que nous ?


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ezechiel ezechiel 4 novembre 2024 13:36

@micnet " je te redis que l’Humanisme, les Lumières, la république, toussa toussa sont la conséquence du christianisme, ces notions n’existent qu’en occident, point barre. "

L’humanisme de la Renaissance prend ses sources dans l’ésotérisme platonicien, et le retour à l’occultisme hébraïque, la Kabbale, la magie, l’hermétisme de la pseudo-science grecque avec en particulier ses penseurs les plus emblématiques tels Pic de la MirandoleJohannes ReuchlinMarsile FicinJohn Dee ou encore Giordano Bruno.

Les Lumières sont la quintessence de cet illuminisme ésotérique qui prétend que seuls les philosophes sont aptes à la connaissance en prenant la place de Dieu, avec toutes les dérives que l’on connaît (misogynie, racisme, antisémitisme, mépris du peuple, ...) tout le contraire des Évangiles du Christ.

"L’homme peuple est le plus sot et le plus méchant des hommes."
Diderot - "Essai sur les règnes de Claude et de Néron" (1777-1778)

"Le public, cette foule imbécile qui nous juge."
Diderot - "Madame de la Carlière" (1772)

"Le gros du genre humain a été et sera très longtemps insensé et imbécile."
Voltaire - Essais sur les moeurs et l’esprit des nations" (1740-1756)

"C’est une très grande question, mais peu agitée, de savoir jusqu’à quel degré le peuple, c’est-à-dire neuf parts du genre humain sur dix, doit être traité comme des singes."
Voltaire - "Jusqu’à quel point on doit tromper le peuple" (1756)

"L’homme sans culture, sans expérience, sans raison, n’est-il pas plus méprisable et plus digne de haine que les insectes les plus vils ou les bêtes les plus féroces ?"
Paul Henri Thiry D’Holbach - "Le bon sens" (1772)

"N’instruisez pas l’enfant du villageois, car il ne lui convient pas d’être instruit."
Jean-Jacques Rousseau - "Julie ou la nouvelle Héloïse" (1761)

"Le pauvre n’a pas besoin d’éducation ; celle de son état est forcée ; il n’en saurait avoir d’autre."
Jean-Jacques Rousseau - "Émile ou De l’éducation" (1762)

"Notre aumônier prétend que les Hottentots (namibiens, peuplade d’Afrique), les Nègres et les Portugais descendent du même père. Cette idée est bien ridicule."
Voltaire - "Les lettres d’Amabed" (1769) - Romans et contes - garnier-Flammarion p537

« C’est une grande question parmi eux s’ils sont descendus des singes, ou si les singes sont venus d’eux. Nos sages ont dit que l’homme est l’image de Dieu : voilà une plaisante image de l’Être éternel qu’un nez noir épaté, avec peu ou point d’intelligence ! Un temps viendra, sans doute, où ces animaux sauront bien cultiver la terre, l’embellir par des maisons et par des jardins, et connaître la route des astres. »
Voltaire - "Les lettres d’Amabed" (1769) - Romans et contes - garnier-Flammarion

"La race des nègres est une espèce d’homme différente de la nôtre, comme la race des épagneuls l’est des lévriers. La forme de leurs yeux n’est point la nôtre, leur laine noire ne ressemble point à nos cheveux, et si on peut dire que leur intelligence n’est pas d’une autre espèce que notre entendement, elle est fort inférieure. Ils ne sont pas capables d’une grande attention."
Voltaire - "Essais sur les moeurs et l’esprit des nations" (1740-1756)

"Les nègres sont grands, gros, bien faits, mais niais et sans génie."
Diderot - "L’Encyclopédie" - Humaine espèce (1755)

"C’est à regret que je parle des Juifs : cette nation est, à bien des égards, la plus détestable qui ait jamais souillé la terre."
Voltaire - « Dictionnaire philosophique » « Tolérance », section I (1765).

« surtout qu’aucun Juif ne fasse le tour de ma maison en sonnant de la trompette, ne fasse tomber les murs, et ne m’égorge, moi, mon père, ma mère, ma femme, mes enfants, mon chat et mon chien, selon l’ancien usage des Juifs. ».

Voltaire - « Dictionnaire philosophique » « Tolérance », section V (1765).

« On ne voit, au contraire, dans toutes les annales du peuple hébreu, aucune action généreuse. Ils ne connaissent ni l’hospitalité, ni la libéralité, ni la clémence. Leur souverain bonheur est d’exercer l’usure avec les étrangers ; et cet esprit d’usure, principe de toute lâcheté, est tellement enraciné dans leurs cœurs, que c’est l’objet continuel des figures qu’ils emploient dans l’espèce d’éloquence qui leur est propre. Leur gloire est de mettre à feu et à sang les petits villages dont ils peuvent s’emparer. Ils égorgent les vieillards et les enfants ; ils ne réservent que les filles nubiles ; ils assassinent leurs maîtres quand ils sont esclaves ; ils ne savent jamais pardonner quand ils sont vainqueurs ; ils sont les ennemis du genre humain. Nulle politesse, nulle science, nul art perfectionné dans aucun temps chez cette nation atroce."
Voltaire - « Essai sur les mœurs et l’esprit des nations " Chapitre VI, 1740, Œuvres de Voltaire, Paris, 1819, tome 13, page 298.


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