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Commentaire de Étirév

sur Jésus, un Guru de Galilée


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Étirév 3 mai 16:19

« Les défenseurs de l’historicité de Jésus doivent considérer sérieusement l’importance de leur position… Ils courent le risque de soutenir les titres historiques d’une personnalité qui peut se trouver entièrement différente de celle qu’ils imaginaient lorsqu’ils prirent sa défense. » (Albert Schweitzer)
Le Christianisme primitif avait été une doctrine sur le Christ, son nom est resté pour l’indiquer, ses partisans s’appelaient « Christiens » (et non « Chrétiens ») ; ce ne fut pas une doctrine sur Jésus, qui n’y fut introduit que plus tard par des esprits vulgaires. Le Jésuisme allait tuer le Christianisme.
Cependant, la doctrine qui a triomphé a gardé le nom de Christ, parce que les noms féminins donnent toujours une idée de grandeur et de sainteté dont les usurpateurs profitent.
Soulignons au passage que la croix n’est devenue le signe du Christianisme qu’au VIIème siècle de notre ère, lors du Concile de Constantinople qui eut lieu de 680 à 684. Jusque-là, la religion nouvelle, c’est-à-dire le second Christianisme (le faux), celui qui triompha sous Constantin au Concile de Nicée (en 325), et qui s’édifia sur les ruines du premier (le vrai), avait pour insigne trois phallus enlacés (représentant la Trinité catholique). Le culte du « Saint Graal », « Vase sacré » des Mystères, et le « Secret de Bismillah », semblent une réaction contre ces trois phallus.
Les « Christiens »


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