• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV Mobile

Étirév

Cet auteur n'a pas encore renseigné sa description

Tableau de bord

Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 0 617 0
1 mois 0 21 0
5 jours 0 3 0


Derniers commentaires




  • 2 votes
    Étirév 23 mai 08:11

    Et Giscard, et Mitterrand, et Sarkozy, et Pompidou, et Hollande, et Chirac, que sont-ils ?
    G. Pompidou : Arrivé au pouvoir suprême en 1969, après la démission de Charles de Gaulle, Georges Pompidou, ex-employé de la banque Rothschild comme Emmanuel Macron (on constate que le véritable pouvoir n’a guère évolué en 50 ans, ce qui, en définitive, est la seule chose réellement stable dans ce pays), pond la loi du 3 janvier 1973, également appelée « loi Pompidou-Giscard » ou encore « loi Pompidou-Giscard-Rothschild » (reprise, systématisée et aggravée depuis par l’article 123 du TFUE, Traité sur le Fonctionnement de l’Union Européenne de 2009), qui modifie les statuts de la Banque de France et donne le coup d’envoi d’une dette qui n’aura de cesse d’augmenter exponentiellement et, ainsi, de vampiriser toutes les richesses nationales produites.
    F. Mitterrand : Deux ans après sa prise de fonction à l’Élysée en 1981, François Mitterrand trahit tout son programme en prenant le « tournant de la rigueur ».
    J. Chirac : Jacques Chirac aura personnifié toute sa carrière une action politique dénuée de toute vision, mais tissée d’arrangements sordides (« détournement de fonds publics », « abus de confiance », « prise illégale d’intérêt », etc.). J. Chirac sera d’ailleurs (le seul président français) condamné en justice pour « détournement de fonds publics » et « prise illégale d’intérêt ». Il ne sera condamné qu’à deux ans d’emprisonnement avec sursis. La délinquance en cols blancs peut dormir tranquille. Il fut un temps où le manque de probité, même au plus haut niveau, était sévèrement sanctionné : sous l’Ancien Régime, l’infraction de détournement de fonds publics était punie de la peine de mort par pendaison. Ce rappel un peu extrême et légèrement ironique montre cependant combien l’exigence d’exemplarité et de probité était encore exigée à cette époque. Aujourd’hui, en matière répressive, c’est une relative impunité (euphémisme) qui s’est substituée à l’exigence d’exemplarité, et les « puissants » qui devraient être, plus que tous les autres, irréprochables, car leur fonction implique de hautes responsabilités sociales, économiques ou politiques, le sont finalement moins, voire même jamais. Après tout, que pourraient-ils bien craindre ?
    N. Sarkozy : En 2007, à peine élu, Nicolas Sarkozy « s’assoit » royalement sur le « NON » des français au référendum sur le Traité Constitutionnel de 2005, en validant directement lui-même, et avec la complicité des pantins corrompus du Parlement (s’était plus vite fait), le Traité (scélérat) de Lisbonne, sa copie quasi-conforme.
    F. Hollande : Rappelons toute l’hypocrisie dans les propos tenus par François Hollande en janvier 2012, à l’occasion du meeting du Bourget, lors du discours fondateur de sa campagne présidentielle : « Mon véritable adversaire, il n’a pas de nom, pas de visage, pas de parti, il ne présentera jamais sa candidature, il ne sera jamais élu et pourtant il gouverne. Cet adversaire, c’est le monde de la finance ». Pendant que François Hollande terminait son discours, le jeune Emmanuel Macron, futur Secrétaire général adjoint du cabinet du Président Hollande, mais encore banquier d’affaires chez Rothschild & Cie à ce moment-là, était à la City de Londres pour confirmer à ce « monde de la finance » que les mots de Hollande n’avaient pour but que de « rassurer » les électeurs, et qu’il n’était évidemment pas sur une ligne « dure » contre la finance (ça semblait évident avec « Flamby »). Mais surtout, et bien au contraire, la finance est l’amie de François Hollande. En effet, en 2016, Michel Jacob, banquier d’affaires et ancien Directeur Général de la banque Rothschild, racontait une anecdote étonnante : le jour où François Hollande, déçu par la perte de son siège de député en Corrèze, a envisagé en 1993 de devenir banquier d’affaires chez Rothschild. François Hollande et Michel Jacob se sont rencontrés plusieurs fois et Edmond de Rothschild semblait prêt à faire une place au futur président, mais à une seule condition : qu’il abandonne définitivement la politique. Chose à laquelle il n’a pas pu se résoudre, après plusieurs semaines de réflexion. Il est vrai que travailler chez Rothschild aurait demandé un minimum d’effort à François.
    V. Giscard d’Estaing : Dès son élection à la présidence de la République en 1974, l’une des premières mesures que prend Valéry Giscard d’Estaing est de proposer l’abaissement de l’âge de la majorité électorale (et civile) de 21 à 18 ans.
    « Rien n’est plus étranger à la sagesse que la jeunesse » écrit Louis Pauwels dans « Les dernières chaînes ». La jeunesse est l’âge de toutes les sottises, de toutes les exactions, elle est le bras séculier de tous les despotes et la matière première de tout militantisme extrême. Dans notre société démocratique et humaniste on encense la jeunesse (les adultes de demain), alors qu’elle est avant tout grégaire. C’est pour quoi les tyrans ont tant besoin d’elle.
    Soulignons au passage que cette diminution de l’âge de la majorité va permettre la création de nouveaux et nombreux comptes bancaires.
    Giscard est aussi le Co-fondateur, en 1976, de la « French-American Foundation » ce programme de formation des « Young Leader » (des traitres à leur Nation), ainsi qu’à l’origine, en 1978, d’une réforme majeure dans le domaine de l’immigration : la mise en place du « regroupement familial ». La politique d’intégration des étrangers transformera à partir de là, le modèle d’assimilation culturelle et d’adoption totale de la culture française selon la République « Une et Indivisible », qui « assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d’origine, de race ou de religion », par un multiculturalisme, libéral, forcé, diviseur et communautaire, selon le modèle anglo-saxon, et conduisant à toute une kyrielle de malheurs sociaux, culturels, économiques et politiques, individuels ou collectifs : entre autres, dumping social, apparition et croissance, au sein d’un peuple, de tensions et de divisions ; perte de l’identité ; éradication brutale de la mémoire et de tous ses symboles ; déracinement et errance culturels ; perte des repères linguistiques que sont la grammaire et la syntaxe, donc de la capacité de bien structurer sa pensée si l’ethnie dominante est d’une autre langue ; réduction de la capacité à s’exprimer correctement pour être bien compris et participer pleinement à la vie collective ; ghettoïsation et paupérisation de pans entiers de la population les moins souples à s’adapter, etc.… sans parler des dangers sanitaires liés aux virus et autres germes inconnus qui peuvent être véhiculés dans ces échanges.
    Suite



  • 1 vote
    Étirév 23 mai 07:24

    Tartufferie institutionnelle : les vrais « cons » ne sont pas SUR le mur de la « justice », mais DANS ses murs !
    La justice, en général, ne se préoccupe que très peu de la victime, et infiniment plus de l’agresseur, auquel elle fournit avocats, surveillants, assistants sociaux, psychiatres, traducteurs, agents de réinsertion, gîte et couverts si nécessaire. Alors, que dans le même temps, la victime devra se débrouiller seule, n’aura que peu ou pas le droit à la parole, comme dans l’affaire du sang contaminé (ou pire, celles d’Outreau, des enfants, qui auront la justice contre eux), et n’obtiendra jamais intégralement réparation de son préjudice, ou que très partiellement. Et elle devra en outre se débrouiller, lorsque quelques subsides lui sont accordés, pour les recouvrer, ce qui s’avère rapidement impossible. Et tout ceci est normal, dans l’esprit de nos magistrats car probablement pour eux il n’y a pas de victimes innocentes, et dignes de considération !
    Tout comme dans l’ancien régime, il y a deux justices, celle de ville et celle de cour, et « selon que vous serez puissant ou misérable, les jugements de cour vous rendront blanc ou noir… » Ceci n’est pas qu’une opinion, c’est un constat terriblement accablant, et s’il convient de juger l’arbre à ses fruits, l’homme à son parcours, l’histoire de la justice est une série accablante pour elle. De cette justice qui appliquait avec sévérité les lois d’exceptions du régime de vichy, et dont les magistrats étaient quasiment les mêmes que ceux qui, précédant ce régime, appliquaient les lois de la République, et qui sont rigoureusement restés les mêmes après la libération sans que personne ne se soucie d’en purger les colossales responsabilités issues d’une bienveillante collaboration. Jusqu’à cette lamentable pantalonnade du procès de la méprisable Haute Cour de justice de la République qui, dans l’affaire du sang contaminé a inventé cette formule incommensurablement perverse de : « Coupable mais pas condamnable », qui venait clore la série délicieuse du responsable « Fabius » mais pas coupable. Chaque fois que la justice doit se prononcer, soit sur la responsabilité pénale des fonctionnaires, soit sur celle des prévarications nombreuses des dirigeants politiques ou hauts fonctionnaires, souvent les mêmes, elle fait toujours preuve d’une mansuétude, d’une bienveillance et d’une indulgence à faire pleurer les anges.
    Pourquoi ? se demanderons certains naïfs, mais pour la simple et bonne raisons qu’elle est, et ne peut pas être autrement qu’aux ordres. Les magistrats sont issus de la nomenklatura, formés par elle, encadrés par elle, entretenus par elle, promus ou sanctionnés par elle, totalement tributaire d’elle. Et il faut une énorme dose d’hypocrisie et de duplicité de langage, ou être un apparatchik du système, pour avoir le culot de prétendre que la justice est indépendante du pouvoir, alors que tout démontre et prouve objectivement le contraire.
    NB : Quelques exemples d’une justice à deux vitesses, extraits de l’ouvrage de Yann Moncomble intitulé « Le pouvoir de la drogue dans la politique mondiale » :
    Le 20 février 1988, la police espagnole arrêtait au cours d’une rafle anti-drogue à la sortie d’un pub de Benidorm (Espagne), Jean-Paul Etienne Pasqua, neveu du ministre de l’Intérieur français (de l’époque) Charles Pasqua. Il portait sur son abdomen et ses jambes, accrochés avec du sparadrap, près de 2 kilos de haschisch. L’incident a donné lieu pendant le week-end à un contact téléphonique entre le ministre français et son homologue espagnol. Excipant de son illustre parenté, Jean-Paul Pasqua aurait tenté de se débarrasser des quatre policiers qui l’avaient appréhendé en leur proposant une somme de 5 000 francs. À l’époque, l’affaire devait être examinée par le tribunal d’Alicante. Mais à l’issue du contact téléphonique, plus de nouvelles. (En ce qui concerne Charles Pasqua, nous conseillons la lecture de « D... comme drogue », d’Alain Jaubert. C’est « stupéfiant ! »)
    Le 25 juillet 1986, L’Hebdomadaire « Minute » révélait l’affaire suivante : Le 18 février 1986, une patrouille, remarquant un automobiliste en train d’effectuer une manœuvre pour échapper à un contrôle de police, le prend en chasse. L’ayant rattrapé à l’angle des rues Vergniault et Tolbiac, elle le découvre en possession d’un couteau à cran d’arrêt et de 20 grammes de résine de cannabis. Mais il y a plus grave dans son cas : il transporte également un peson, l’instrument de mesure de précision qui sert aux trafiquants à peser la drogue. En vertu de la législation en vigueur, son compte est bon ; garde à vue, mise à disposition du commissaire chef de la brigade des stupéfiants, présentation au parquet. Mais rien de tel ne se passe pour le jeune homme en question : arrêté à trois heures du matin, il sera remis en liberté à trois heures quarante. Pour une raison qui semble lumineuse : il s’appelle Michel Badinter, neveu de Robert Badinter, encore ministre de la Justice au moment des faits. Le neveu Badinter demeurant rue Wurtz, sans profession, a été libéré sans même qu’on lui ait pris sa photo ni ses empreintes digitales, contrairement aux instructions en cours actuellement. Et cela sur intervention de l’état-major de la police judiciaire et du substitut de service, qui a été réveillé pour l’occasion. La protection des pourris et des pourrisseurs étant assurée par la justice même qui devrait les poursuivre implacablement, on ne s’étonnera pas que la consommation de cocaïne fasse dans les milieux branchés des progrès effrayants.
    À ce propos, rappelons que la Première Chambre du tribunal de Paris, présidée par Jean-Michel Guth, rendait le 10 juillet 1986 un jugement condamnant L’Hebdomadaire « Minute » à verser 25000 francs de dommages et intérêts à Françoise Sagan, à la suite de la publication, en février 1986, dans deux numéros consécutifs, d’articles relatant l’interpellation par la police de trois revendeurs de drogue présentés comme ayant été les fournisseurs de l’écrivain. Rebondissement : Françoise Sagan, amie intime de François Mitterrand était, le 17 mars 1988, inculpée d’infraction à la législation sur les stupéfiants. Bonjours tristesse… Interrogée sur RTL dans la soirée, elle déclara : « Il m’est arrivé de prendre un peu de cocaïne, comme à pas mal de gens. Mais de là à me traîner devant les tribunaux, je trouve ça hallucinant. » Et en plus elle fait des jeux de mots ! Le 5 mars 1990, débute les débats devant la 6e Chambre correctionnelle de Lyon, mais avec des absents de marque à la barre : Françoise Sagan, les journalistes François Debré et Maurice Najman, l’écrivain Philippe Cardinal et Laura Travelli-Picasso, inculpés tout comme leur amie Sagan. Le fait qu’ils aient choisi de ne pas venir s’expliquer fait dire à certains avocats qu’il y aurait plusieurs justices. À la 6e Chambre du tribunal correctionnel de Lyon, on a vu souvent de petits usagers ramasser un an de prison ferme pour beaucoup moins.
    Et comment ne pas rappeler l’affaire Christina Von Opel, richissime héritière de la famille de constructeurs d’automobiles, condamnée à dix ans de prison en novembre 1979. La police avait trouvé dans sa villa de la Côte d’Azur une tonne et demie de haschisch. Peu de temps après l’arrivée des socialistes au pouvoir, Christina Von Opel bénéficiait d’une grâce présidentielle en tant que mère de famille. Il est vrai que toutes les mères de famille emprisonnées n’ont pas la chance de voir leur avocat devenir ministre de la Justice. Vous l’avez deviné : son avocat était Robert Badinter…
    En octobre 1986, lorsque Marylin et Robert Vigouroux (maire de Marseille à l’époque) se rendirent à Panama pour parrainer la reconduction du contrat de la S.E.M. (Société des Eaux de Marseille), ils y furent reçus comme des chefs d’Etat. Une exposition sur la mode avait été organisée par Marylin Vigouroux à l’ambassade de France et le couple séjourna sur l’île privée du général Noriega. Quelque temps après, « éclatait » le scandale Noriega-trafic de drogue. Cela n’empêcha pas Robert Vigouroux de rencontrer une nouvelle fois le général Noriega lors d’une escale à Panama en 1988. Le maire de Marseille revenait du congrès de la Fédération Mondiale des Villes Jumelées (F.M.V.J.) qui s’était tenu à Lima et le protocole d’accord de jumelage entre Panama City et Marseille fut alors signé.
    À toutes fins utiles, précisons que la F.M.V.J. est une association fondée en 1957 et dotée de moyens importants pour arriver, à travers des jumelages entre diverses villes du monde, à abattre les frontières entre les nations en vue d’un « conglomérat plus vaste » ; il s’agit d’une organisation mondialiste dont les statuts, il convient de le rappeler, furent rédigés par… Robert Badinter.
    LIEN



  • vote
    Étirév 22 mai 07:35

    Commençons par rappeler que c’est Clovis qui commença à prendre le nom de Franc et à appeler la Gaule France. Par « franc », il entendait affranchi des principes, des lois, de la morale du régime antérieur à lui. C’est de son temps qu’on remplaça l’ancienne justice par les épreuves judiciaires par l’eau bouillante et le fer rougi.
    Les historiens officiels, comme Henri Martin, disent de Clovis qu’il était « actif, rusé, ambitieux, doué de qualités supérieures, pieux, vaillant, glorieux, mais cruel et perfide ».
    Quand on est criminel, cruel et perfide, comment peut-on être doué de qualités supérieures ?
    Clovis est le premier roi de France que l’Église Catholique revendique et dont elle parle longuement.
    Il monte sur le trône en 481.
    Ce roi s’appelait en réalité Lodoïx, nom devenu Ludovicus, puis Louis ; mais, devant ce nom, il mettait le titre Kaï
    Rappelons que Kaï a fait Caïn et que, chez les Latins, en mettant le K devant Esar (le mâle), on avait fait César, ce que les Allemands écrivent K-aiser. Cyrus s’appelait en réalité Kaï-Kosrou
    Donc, Kaï-Lodoïx, devenu pour les modernes Clovis, était un roi qui affirmait par son titre ses convictions masculinistes et sa haine de la féminité et du régime qui avait consacré son autorité.
    C’est à la bataille de Tolbiac, livrée près de Cologne en 496, que Clovis promit à Dieu de se faire chrétien, s’il était victorieux.
    Voilà un marché peu glorieux pour Dieu et un motif de conversion peu recommandable pour une religion.
    NB : Voici un faits sur lequel la légende de sainte Geneviève (422-512) jette une lumière inattendue.
    Elle nous dit : « cinq ou six mois après la défaite d’Attila, Mérovée, roi des Francs (Saliens), vint assiéger Paris, encore au pouvoir des Romains. Le siège durait depuis quatre ans quand Mérovée s’en rendit maître. »
    Alors, comment se fait-il que Geneviève régnait à Lutèce quand Attila s’en approcha et qu’elle y exerçait une autorité morale suffisante pour intervenir dans les faits de guerre et pour protéger la ville ? Et comment cette ville dans laquelle règne une femme gauloise est-elle assiégée par Mérovée, 3ème roi de France ?
    C’est évidemment qu’il y avait séparation des pouvoirs : le spirituel (féminin) et le temporel (masculin).
    C’est qu’il y avait deux Frances : celle des Saliens masculinistes, dont Mérovée est le petit roi et qui n’a qu’un tout petit territoire à l’Est, et celle des Ripuaires féministes, qui reconnaît le pouvoir spirituel et qui est allié à ceux qui occupent le reste de la Gaule, y compris Paris.
    Voilà ce qui va nous expliquer l’histoire de France, qui ne sera qu’une lutte de sexes : les masculinistes et les féministes : l’une qui veut la Vérité et le Bien, l’autre qui veut l’erreur et le mal ; l’une qui va produire des persécuteurs, et l’autre des persécutés.
    Les historiens masculins ne nous parleront jamais que des Francs Saliens (les masculinistes), ils tairont ce qui concerne les peuples féministes de la Gaule. Et toute cette primitive histoire de France ne sera que l’histoire du petit parti des révoltés saliens, affranchis de la morale, de la raison, du devoir et de la soumission au Droit divin de la Déesse-Mère, ce qui nous est révélé par cette phrase : « Qui t’a fait roi ? »
    Il y a donc une autre histoire de France à faire, celle des peuples légitimes de la Gaule Celtique, vaincus, après de longues luttes, par les révoltés illégitimes.
    Et cette histoire fut si glorieuse que, malgré tous les efforts faits pour la cacher, nous trouvons encore assez de documents pour la reconstituer.
    Suite



  • vote
    Étirév 17 mai 19:37

    MYRIAM
    Myriam, c’est la grande femme dont le nom brille dans l’histoire du peuple d’Israël, comme une resplendissante lumière qui éclaire plus de dix siècles ; c’est elle qui est l’auteur d’un livre de science, le Sépher, qui servira à faire le premier Livre de la Bible, la Genèse, qui en sera la caricature (une Père-version).
    C’est la grande prophétesse dont on fera une sœur de Moïse, quand on inventera Moïse pour la cacher, ne pouvant pas la supprimer tout à fait.
    Mais que de contradictions dans cette histoire, conséquence naturelle du mensonge !
    Ainsi, d’abord, pour les uns elle est la sœur d’Aaron, pour d’autres elle est sa femme. Et, en effet, il est formellement dit qu’Aaron est le « sacrificateur » de Mocé. Ce mot, si nous voulions lui donner une signification moderne, ne pourrait être rendu que par le mot « amant ». Du reste, quel homme aurait joué un si grand rôle auprès d’une femme s’il n’avait été plus que son frère ?
    Il faut se rappeler, du reste, que dans les temps gynécocratiques, la femme appelait « frère » celui que dans les temps modernes elle appelle son « mari ».
    Le nom de Myriam servit, dans l’antiquité, à former différents mots se rapportant à son œuvre et à sa grande action dans le monde de son époque. C’est ainsi que de Myriam on fait mystique, qui veut dire « initié à la doctrine cachée ». Ce mot, qui est d’abord un titre glorieux, deviendra, pour les adversaires de la Vérité, une épithète avilissante. Cependant, les doctrines successives s’en emparèrent, et nous verrons ce mot servir alors à désigner toutes sortes d’erreurs.
    Mais, primitivement, la mystagogie égyptienne, c’est le « mystère de la Femme » divulgué dans le Sépher, et cela crée une époque si brillante que ce mot sert à donner un nom nouveau au pays : Misraïm.
    Mais il fallut cacher la doctrine pour éviter la colère des hommes ; alors de mystique on fit mystère (en grec, mustêrion viendra de mustes, muein, serrer, fermer).
    Il fallut se taire sur les lois de la Nature dont on ne pouvait plus parler sans danger. C’est pourquoi on fit, de cette même racine, le mot mutisme, d’où muet (mutus latin).
    Mais cette lutte créait une solidarité entre les persécutés, ce qui fit dériver le mot mutualité du mot mutisme.
    La lutte s’étendant et devenant universelle, on créa des armées, et les défenseurs de Myriam furent appelés Myria (dix mille). Ce sont « les armées d’Israël ».
    Mais les adversaires aussi créaient des mots, ou, du moins, donnaient une signification tout autre aux vocables déjà existants. C’est ainsi que, cherchant à couvrir de ridicule tout ce qui venait de la femme et dévoilait des vérités gênantes, on fit de mystique le mot mystification. Et, en face des « initiés » qui gardaient la connaissance des lois de la Nature, apparurent les « mystificateurs » qui leur donnaient une signification renversée.
    Les femmes étaient considérées comme ayant échappé au déluge allégorique (l’eau, symbole de l’ignorance et de l’erreur, éteint l’Esprit représenté par le feu). On montrait les Déesses planant au-dessus des eaux ; Myriam, comme Aphrodite, sortait de l’onde amère, était figurée comme « sauvée des eaux ».
    La légende représente Marie l’Égyptienne traversant le Nil en marchant sur les eaux. Catulle Mendès, rappelant cette légende, appelle Myriam, dans une indiscrétion de poète, « Madame Dieu ».
    L’évolution des idées nous montre, plus tard, Moïse marchant sur les eaux, et nous voyons cette même idée introduite dans la vie de Jésus.
    Quand l’homme prend ainsi la place de la Déesse, que devient la Femme ?
    Elle est mystifiée, et alors, pendant qu’on donne à l’homme le rôle de la Femme, on donne à la Femme le rôle de l’homme pour la narguer, c’est ainsi qu’on donne à Myriam, le jour de sa fête, le 1er avril, un poisson (le poisson d’avril), symbole de l’homme dans l’eau (les eaux de l’ignorance et de l’erreur).
    Si, dans la légende écrite par Philon, on fait de Moïse un enfant « sauvé des eaux », c’est pour rappeler ce symbolisme.
    Du reste, tous les grands hommes étaient présentés comme « sauvés des eaux » : tels sont Romulus, Cyrus, Œdipe. Le panier d’osier de Moïse, c’est la corbeille de roseaux dans laquelle le jeune Horus flotte au milieu des fleurs de lotus.
    La lettre M, première du nom de Myriam, est une lettre mystique, sacrée dans toutes les langues orientales et occidentales de l’antiquité.
    Quand on fit surgir Myriam de l’onde, cette lettre servit de glyphe pour représenter les ondes.
    C’est la lettre initiale du mot grec Métis ou sagesse divine, de Mimra, le Verbe ou Logos (d’où le Memrah de Haveh), de Mâyâ, la Mère ; en Egypte Mout, en Grèce Minerve, de Myrrha, la mère du Logos chrétien.
    NB : La Reine Daud (« Roi David ») ne fut pas seule à fonder les Mystères de Jérusalem, Institution secrète qui devait se propager jusqu’à nous à travers la Franc-Maçonnerie. Elle eut deux collaboratrices : deux Reines-Mages, ou Magiciennes qui, avec, elle, formèrent le Triptyque sacré que les trois points de l’Ordre ont représenté depuis. L’une est Balkis, reine d’Ethiopie (appelée la reine de Saba), l’autre est une reine de Tyr, que l’on a cachée derrière le nom d’Hiram. Le nom « Hiram » doit se lire de droite à gauche comme lisent les Hébreux et non de gauche à droite suivant l’usage des Européens : Hiram alors devient Myriam ou plutôt Maria. Le heth « H » final en hébreu se prononce A.
    La Franc-Maçonnerie moderne ou « Maçonnerie spéculative », née aux XVIIIème siècle, est le produit corrompu ou « Voie substituée » et d’origine anglo-saxonne de cette « tige » ancienne et respectable ou « Maçonnerie Opérative », et l’origine de tout le pseudo-féminisme contemporain.
    LIEN



  • 2 votes
    Étirév 17 mai 17:44

    Les limites de la pensée… artificielle.
    « Quelle que soit la puissance d’un ordinateur, si l’on y entre des paramètres vaseux, il en sortira des données merdiques. » (S. Hawking)
    BLOG

Voir tous ses commentaires (20 par page)

Les thèmes de l'auteur


Publicité


Publicité


Palmarès

Publicité