Le chaos va surtout finir par frapper les « catastrophistes », idiots utiles, naïfs, ou affidés malhonnêtes aux service des « Puissances d’argent », dont le principal fonds de commerce est la PEUR (obstacle majeur à la spiritualité). Rappelons cependant que, quand les « portes de l’Enfer » s’ouvrent, les « portes du Ciel » s’ouvrent également.
« Macron est un psychopathe, pervers narcissique qui travaille uniquement pour lui-même. » Dire cela c’est ou être parfaitement naïf ou complètement malhonnête. (d’où l’expression bien conne d’Alain Soral : « Un journaliste c’est soit ... ») Emmanuel Macron est un déséquilibré. Il est un « enfant soldat » au service des « puissances d’argent » (banques et multinationales). Comme disait Gaël Giraud lors d’une interview donnée à la chaîne « Thinkerview » le 23/10/2022 : « Emmanuel Macron est le porte flamme de David de Rothschild ; il est un petit peu comme les « enfants soldats » du Congo, c’est-à-dire les enfants qui sont capables de tout. Les « enfants soldats » du Congo sont les enfants à qui, la première chose qu’on leur demande c’est d’aller tuer leurs parents, pour être sur qu’ils ont brûlé tous les vaisseaux et qu’ils sont prêt à tout. « D’une certaine manière, la personne « Emmanuel Macron » sur laquelle on est très très focalisée, n’est pas très intéressante : c’est un garçon qui exécute un programme qui lui est dicté par d’autres, notamment David de Rothschild, et ce programme c’est la privatisation du monde et la destruction de l’Etat social. » NB : Massacré pendant 48h par tous les médias mainstream, accusé de complotisme, d’antisémitisme et de plagiats, Gaël Giraud (Normalien, Directeur de recherche au CNRS, récompensé par le Cercle des économistes, ancien chef économiste à l’Agence Française de Développement, écrivain, etc.) finira par expliquer qu’il avait « dérapé » et que ça n’était pas ce qu’il voulait dire, etc. Blog
Le mot« Réalité » provient du nom de la déesse grecque « Rhéa » (anagramme de « Héra » qui donna le « Râ » des égyptiens), autre nom de Cybèle Matrice des Galates ; et du mot « Lith » ou « Lithos » (grec) qui signifie « pierre » ou « gemme ». La Réalité, serait donc la « Déesse de la Pierre ». On peut dire que c’est un Esprit qui a pris matière. À ce propos, ne pourrait-on pas donner au soi-disant « Âge de Pierre » un tout autre sens que celui que lui attribuent les préhistoriens ? NB : La phonétique du nom « Bennou » provient de « ben » symbolisant un angle. De ce mot fut produite l’expression « ben-ben » qui signifie « le pyramidion », c’est-à-dire la pointe en forme pyramidale qui termine, « couronne », le sommet d’un obélisque ou d’une pyramide. La forme du pyramidion était symbolique et représentait le rayon de soleil. Les égyptiens représentaient par un triangle isocèle la lumière zodiacale divisée. Il existait en Orient des Temples du feu qu’on appelait Pyres. Il s’agissait du Feu symbolique représentant l’Esprit ; dans l’Edda suédoise, le Feu est nommé « fyr » ou « fur » ; les Grecs prononçaient « pyr » comme nous prononçons « pur », d’où Pyramis, Pyramide, Pyramidion. Bennou est aussi la « Pierre d’Angle » de la pyramide « bâtisse de lumière » ; Elle est la « Pierre angulaire », c’est-à-dire celle sur laquelle repose toute la bâtisse, celle qui tient tout ensemble ; si Elle s’effondre, tout s’écroule, tout devient fragile. Véritable « Clef de voûte » de l’Édifice, cette « Pierre du sommet » apparait dans certaines illustrations du moyen âge sous l’aspect d’un objet en forme de diamant, pierre précieuse symbole d’indestructibilité, d’indivisibilité et de lumière. Choisissez la pilule rouge ou la pilule bleue : passez votre chemin, continuez de faire de beaux rêves et de penser ce que vous voulez. Choisissez la pilule noire : vous restez au Pays des « Merveilles » et nous descendons avec le Lapin blanc au fond du Gouffre, de l’autre côté du Miroir… autrement dit, dans des Univers parallèle.
On ne peut pas non plus comprendre dans quelles circonstances on a créé la légende de Jésus et forgé son histoire, si l’on n’a comme source que le Nouveau Testament. Il faut savoir, d’abord, que l’Ancien Testament, sur lequel le Nouveau s’appuie, était déjà un livre altéré, un livre destiné à cacher quelque chose. Si on ne sait pas qu’il y a déjà dans les anciennes Écritures quelque chose que l’on cache, on ne peut pas comprendre les nouveaux Évangiles, puisque c’est le même mensonge qui continue.
« Qu’est-ce que c’est, le Graal ? Vous savez pas vraiment ! Et moi non plus ! Et j’en ai rien à cirer ! Regardez-nous : y’en a pas deux qui ont le même âge, pas deux qui viennent du même endroit ! Des seigneurs, des chevaliers errants, des riches, des pauvres ! Mais, à la table ronde, pour la première fois dans toute l’histoire du peuple breton, nous cherchons tous la même chose : le Graal ! C’est le Graal qui fait de vous des chevaliers, des hommes civilisés, qui nous différencie des tribus barbares. Le Graal, c’est notre union. Le Graal, c’est notre grandeur. » (Alexandre Astier, Arthur, Kaamelott) Qu’y a-t’il à l’intérieur du Graal ? À l’intérieur de soi ? Quelle vision d’éternité procure-t-il, au regard de quoi plus rien d’autre n’est important ? Car le Graal, on ne peut le saisir, seulement le refléter. Il est une invitation à l’alchimie intérieure, à la transfiguration. LA CHEVALERIE, LA TABLE RONDE ET LE GRAAL