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JL 19 mai 11:53

C’est bien joli de dire qu’on a observé un virus au microscope. Mais comment sait-on que ce que l’on a observé est un virus ? Est-ce qu’il n’y a pas là comme un tour de passe passe ? Un raisonnement circulaire ?
 

Principe du microscope électronique à balayage (MEB)

« Ce microscope électronique utilise un faisceau d’électrons ponctuel pour « éclairer » l’échantillon. Les caractéristiques des électrons lui permettent d’obtenir des grossissements élevés allant jusqu’à 200’000x avec une netteté excellente.
Comme pour le microscope électronique à transmission l’utilisation d’un faisceau d’électrons implique que la colonne et la chambre dans laquelle se trouve l’échantillon soient sous vide poussé pour que les électrons ne soient pas arrêtés-déviés par les molécules d’air.
« Des lentilles électromagnétiques et des diaphragmes focalisent le faisceau sur la surface de l’échantillon. Pour améliorer la qualité des images d’échantillons biologiques leur surface est recouverte d’une fine couche métallique, habituellement de l’or. La pénétration des électrons dans la matière est très faible, surtout après métallisation. On obtient donc une image de la surface de l’échantillon.
Certains échantillons biologiques relativement secs peuvent être observés directement après métallisation sans préparation particulière : graines, grains de pollen… Par contre
des échantillons mous ou hydratés nécessitent une préparation : fixation chimique, lavages, déshydratation, séchage et métallisation. »




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