Politeia : SJW
Nouvelle saison de l'émission Politeia de Eric Guéguen.
Premier épisode consacré aux Social Justice Warriors :
Tags : Politique
18 réactions à cet article
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Mouais, la branlette habituelle de Gueguen. Ces mouvements aussi dérisoires, marginaux, idéalistes que les SJW valent-ils qu’on s’y attardent ? Prochaine étape, les bloggers ? Gueguen est un peu le prototype du moteur de Ferrari installé sur une brouette : un mec brillant, instruit, expérimenté, mais qui, au lieu de se taper le Grand Huit et ses vertiges, préfère le petit manège circulaire à chevaux de bois et son pompon. Un vrai gâchis
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@medialter
Qu’attendre d’un gars qui s’enferme aux toilettes au boulot pour lire aristote ?
on dirait frank peri qui imite soral, c’est robinesque -
Dans nos sociétés blanches toutes confondues nous ne connaissions pas la notion de la victimisation. C’est un concept totalement oriental.
Mais vous le dites bien, c’est victimes contre victimes et nous au milieu de l’arène. Nous prenions soin du faible, mais pas de la "victime". Nous avions nos héros. Nos héros mourant au combat, mouraient en héros et non en victimes. Même le mot martyr a été galvaudé.
L’affaire Mila devient presque grotesque, pour nous, pour l’instant. La gauche vient de se cacher dans un trou de souris pour ne pas froisser les musulmans. Des mila vont devenir légion dans un temps assez réduit, et les femmes vont disparaître de la scène médiatique et social comme au temps de guerre. Les femmes en général chercheront n’importe quels mâles pour leurs protections et malheureusement elles ne se tourneront pas vers leurs semblables parce qu’il sera trop tard pour cela.
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« Des mila vont devenir légion dans un temps assez réduit, et les femmes vont disparaître de la scène médiatique et social comme au temps de guerre ».
------> Et après on va me dire, parce que je relève ce genre de propos catastrophiste, que j’invente dans ma tête des carricatures qui n’existent pas et qui ne correspondent qu’à ma propre exagération. Et pourtant ça existe, c’est là et je n’y peux rien …
Et connaissant l’écosystème agoravoxien, il ne serait pas étonnant que des intervenants viennent défendre cette perspective catastrophiste en m’accusant d’aveuglement.
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@Conférençovore
Y’a comme une étoile dans ma viiiiieeee … -
@cathy
Les femmes en général chercheront n’importe quels mâles pour leurs protections et malheureusement elles ne se tourneront pas vers leurs semblables parce qu’il sera trop tard pour cela.
C’est tout le paradoxe du truc. Je pense que la tendance au rejet de l’homme blanc provient de sa dé-virilisation relative. C’est un truc qu’on retrouve dans les voies initiatique, c’est l’homme (le principe masculin) qui doit chevaucher le dragon (l’énergie brute féminine), s’il n’y parviens pas, il se fait éjecter. La virilité c’est ça, la droiture, la verticalité, la structure.
La tendance chez les hommes blancs au dialogue, à l’expression de ses sentiments, au refus de la violence, c’est justement ça, de la dévirilisation (différent de la féminisation). Ça ne veut pas dire que quand une femme fait sa femelle l’homme doit venir lui en foutre une en lui disant "shut up bitch". Mais, pour les femmes qui ont encore "soif" de virilité, elles seront attirées par les allochtones qui ne résolvent pas tout à coup de dialogues et de preuves et d’argumentaires.
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@yoananda2
Bonjour
La race blanche est celle qui a le plus conscience du bien et du mal, il est donc plus facile de la faire culpabiliser. Des années de matraquage de propagande des l’enfance, plus des produits chimiques va donner un cocktail détonnant sur nous.De plus notre histoire européenne a été fondée sur le christianisme, ça laisse un énorme héritage positif sur cette notion de bien et de mal.
Nous disions bien auparavant le sexe faible (à protéger) et non pas le sexe victimaire et tout cela à volé en éclats.
Nous sommes des bâtisseurs, c’est pour cela qu’après des catastrophes nous rebâtissons, nous le faisons également et logiquement dans notre esprit.Quant aux femmes qui demanderont de l’aide à n’importe quel homme sur un avenir très proche est la triste réalité, et cette prophétie est dans l’ancien testament. L’ancien testament et le nouveau sont adressés en priorité à des blancs car il n’y a que dans nos cultures aryennes que la femme a autant de liberté, nous ne sommes pas des polygames de nature.
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@pegase
"Je ne suis pas n’importe lequel, mais elles peuvent toutes venir quand même, j’ai de la place, et de quoi les occuper"A la bonne heure ! https://www.youtube.com/watch?v=UdsRJC52gNA
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@maQiavel
Nous sommes la dernière Babylone, il ne peut pas y en avoir d’autres parce que nous sommes le dernier peuple blanc. -
Concernant l’échec de la convergence des luttes, la guerre entre réseaux transsexuels et lesbiens est hilarante.
C’est quoi l’embrouille ? Au départ, les lesbiennes dénoncent le fait qu’au sein du mouvement gay, ce soient les homosexuels males qui dominent, elles décrivent un mouvement LGBT de plus en plus anti-lesbien et misogyne. Jusque-là c’est facile à suivre. Mais les militantes lesbiennes dénoncent surtout la tyrannie des trans qu’elles considèrent être une autre forme de domination masculine
. Et c’est là que ça devient intéressant parce que, les militants trans, en s’inspirant de la théorie du genre, ont réussi à imposer l’idée au mouvement LGBT que la biologie est secondaire par rapport à la psychologie : un homme biologique peut être une femme s’il se ressent ainsi et, s’il se définit comme « lesbienne », il a le droit d’entretenir des relations sexuelles avec des lesbiennes biologiquement femmes. Et ça chez les militantes lesbiennes ça ne passe pas puisque pour elles, ça revient tout bêtement à avoir des relations hétérosexuelles.
C’est ainsi que pour faire valoir leur point de vue, les militantes lesbiennes se retrouvent dans l’obligation de contester la théorie du genre
et remettent en question la prétention des transsexuels d’être considérées comme des femmes à part entière en considérant qu’ils restent homme parce que biologiquement males. Les militantes lesbiennes se sont donc mises à dénoncer la pression sociale au sein de la communauté LGBT qui veut les contraindre à accepter des relations sexuelles avec des « femmes » trans, à interdire la présence des transsexuels dans les toilettes publiques réservés aux femmes
et à scander des slogans du genre « Les enfants ont besoin d’une thérapie, pas d’un traitement hormonal bloquant la puberté » et « Transitionner des enfants, c’est un abus sexuel », ce qui fait d’elles au sein de cette communauté LGBT, des ultra-réactionnaires de la pire espèce
. Un groupe de femmes portant des teeshirts avec l’inscription « Les lesbiennes sont des femmes » a été expulsé d’un café de Londres par la police parce qu’elles avaient offensé un transsexuel travaillant dans le café !
C’est ainsi que les lesbiennes militantes sont dénoncées à leur tour comme « transphobe »
, ce à quoi elles répondent que la nouvelle politique des groupes LGBT dominés par des homosexuels mâles est de contraindre les lesbiennes à accepter le pénis en tant qu’organe féminin (là j’en peux plus
).
Donc maintenant, il y’a des débats pour déterminer le statut du pénis. Voilà voilà.
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@Conférençovore
On croirait que je raconte un épisode de South park mais non, c’est la réalité … -
@maQiavel
merci pour cette description très "vivante" et amusante. C’est juste la logique de l’antibiologie, j’ai envie de dire de l’antibiotique poussée à son terme, on vrille dans un gloubiboulga mental de récriminations, de perversité, de manipulation.
D’ailleurs, je crois que c’est aux states, un violeur en série d’enfants à déclaré qu’il était un enfant lui aussi dans son identité de genre ou ché pas quoi et du coup (j’ai lu rapide). Un truc absurde dans ce style la, j’ai oublié les détails précis.
Ha voila l’article en question. Pas un violeur, juste un gus qui avait des images pédophiles chez lui. On parle alors de "transageisme". Si céti pa beau le progrès et la justice sociale ! -
@yoananda2
Il y’a selon moi deux écueils à éviter : celui de la biologisation à outrance et celui de la négation du fait biologique.
Ceux qui tombent dans le premier ont tendance à naturaliser des constructions socioculturelles et ceux qui tombent dans le second à voir des constructions socioculturelles partout, même dans des faits naturels les plus élémentaires. Et les deux donnent des délires en tout genre ( historiquement ce sont tout de même les premiers qui se sont avérés être les plus dangereux, là la guerre entre trans et lesbienne c’est très marrant mais ça ne conduit pas à un eugénisme hyper autoritaire ou à des camps d’extermination ).
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@maQiavel
oui, moi je fais partie de ceux qui "biologisent", je dirais, au stade ou j’en suis à 90% environ. Je penses que je vais plus loin que les "plus dangereux" que tu évoques. Je réfléchis encore ou placer la limite, mais plus je creuse, moins je vois de "socioculturel". Après bon, je me caricature moi même, c’est un poil plus compliqué en vrai, mais j’ai toujours du mal à expliquer ce genre de truc, alors tant pis. -
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désolé, j’ai pas compris l’intérêt de cette vidéo, très bien faite par ailleurs, très beau descriptif des différentes branches et contradiction, et mais ... so what ?
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