@micnet
De mon point de vue, non, car le principe de causalité est qu’une cause produise un même effet dans les conditions strictement identique. Ce qui est le cas puisque les deux expériences reproduisent toujours le même effet ou conséquence. Il faudrait qu’il y ait violation de la constance du résultat pour qu’il y ait violation du principe de causalité.
Cette définition ne tient pas compte de la notion de temps ni d’espace, mais d’ordre où la cause précède l’effet. Ce qui respecte le principe de chronologie, mais pas à l’échelle physique partant de la limite de Planck.
La notion d’espace-temps avec donc la vitesse apparaît à l’échelle de Planck, mais de mon point de vue est en intrication avec l’échelle inférieure, donc , en dessous de l’échelle de Planck et c’est l’instantanéité absolue qui prévaut et qui est alors l’ordre logique qui encore une fois n’implique pas la vitesse fini avec un temps fini et qui se traduit par le principe de quantas comme condition d’existence, mais le respect de l’ordre logique.
Les mathématiques en sont un parfait exemple (que je donnerai très bientôt ou pas !)
Ceci est de niveau élémentaire du raisonnement causal
@Gollum
merci pour le lien qui explique l’expérience.
Je note surtout ce passage
"Megidish et son équipe ont ainsi avancé l’hypothèse que, dans leur expérience, la mesure de la polarisation du photon 1 aurait guidé la polarisation future du photon 4 ou, au contraire, que la mesure de la polarisation du photon 4 aurait en quelque sorte « réécrit » l’état de polarisation passé du photon 1. Peu importe la direction temporelle, l’intrication quantique couvre le vide causal entre la mort d’un photon et la naissance d’un autre.
"
De mon point de vue, la causalité est respectée avec le photon 1 qui guide la polarisation du photon 4, mais pas dans le sens contraire.
Bref, aucune des deux expériences viole le principe de causalité tel que je le comprend.
Car encore une fois, l’ordre logique causal ne fait pas entrer la notion de vitesse, mais uniquement la logique selon laquelle la cause précède l’effet. Ce n’est que lorsqu’on veut obtenir une évolution causale à travers l’espace-temps que la vitesse devient une donnée absolument nécessaire. Et comme dit plus haut, l’ordre causal est respecté avec le la polarisation du photon 1 qui guide la polarisation du photon 4.
Si j’ai tort, rien de plus normal dans le cas contraire, ce serait extraordinaire et donc d’autant peu probable...
@Ouam
Tu n’as pas plus apporté de preuve à ce que tu affirme que moi. Si ce n’est que tu bénéficie du consensus de la communauté scientifique.
La permittivité et la perméabilité sont des propriétés physiques et qui sont calculée par rapport à la vitesse de la lumière pour expliquer sa limite. Ce n’est pas moi qui le dit, mais les scientifiques. Cela invalide ton exemple d’additionner des 0, car cette permittivité du vide à une valeur, extrêmement petite certes, mais qui n’est pas égale à 0.
Ce qui veut dire que le vide est en relation directe avec la vitesse de la lumière et non pas séparé. Bon, ici, il ne s’agit pas de faire de la science ce n’est pas mon niveau, mais de montrer qu’il existe aucune preuve selon laquelle le vide relatif n’est pas un milieu porteur. Pour ma part, le principe d’invariance dit que si la lumière est une onde, alors, il doit y avoir un milieu porteur. Qu’on parle du champ ou du vide ou plutôt de la relation entre le champ et le vide puisqu’un photon à les propriétés d’onde et de particules, le fait que le photon ait la propriété d’une onde implique un milieu porteur.
Bref, partant du principe d’invariance, le raisonnement élémentaire implique un milieu porteur de l’onde, sauf si le principe d’invariance est faux.
@nono le simplet
Mon niveau est celui du collège ! Mais ici je parle de raisonnement élémentaire, donc accessible au plus grand nombre.
Donc pour toi aussi le vide c’est rien ou presque rien et n’est pas un milieu.
Mais dans quel milieu vit t’on alors ? Tu vas me dire l’air ou un mélange de gaz, mais qui as dit que la matière est composé à 99 ;99% de vide !
@Ouam
Le vide n’est pas rien, c’est un milieu avec ce que les scientifiques appellent la perméabilité et la permittivité, ceci pour expliquer la limite de vitesse de la lumière.
Bref, s’il n’y avait rien d’un point de vue physique, il n’y aurait aucune propriété physique du vide telle la perméabilité et la permittivité. Le rien, c’est pas un peu de quelque chose, demande à Raymond Devos, même si lui il parle du moins que rien !
@yoananda2
mais je pense être suffisamment renseigné du raisonnement des scientifiques et c’est ce qui me permet de dire qu’il est biaisé au niveau élémentaire.
Relisez bien mes deux dernier commentaires et faites vous votre propre opinion.
Le principe de causalité dans sa définition fondamentale est de dire que la cause précède l’effet, il n’y a pas à ce stade de vitesse qui tienne, seulement l’ordre logique.
La vitesse intervient uniquement lorsqu’on fait intervenir la géométrie de l’espace-temps, pas avant !
@JL
Non, je n’ai pas établi "toutes" les relations de cause à effet, j’ai de mon point de vue établi les lois fondamentales qui président aux relations de cause à effet. C’est à dire, ses conditions d’existences.
La première est intangible c’est la même pour tout le monde. Par contre, les autres ne le sont pas ou non considérés comme faisant partie de la causalité.
Notamment le principe d’invariance qui dit qu’un principe est fondamentalement (dans ses conditions d’existences) invariant quelle que soit l’échelle ou le domaine auquel on l’applique, seule change sa forme et d’autant plus radicalement qu’on change d’échelle ou de domaine. Par exemple, si la condition d’existence d’une onde est qu’il existe un milieu porteur, alors, cela vaut aussi pour les ondes électromagnétiques.
Là ou cela devient très révélateur c’est au niveau des relations humaines dans le domaine politique et économique. Par exemple, qui montre que la monnaie voit sa face crédit et dette intriquées l’une et l’autre et le système actuel qui les traites séparément viole les lois physique de la nature tout en affirmant se référer à elles pour justifier du système économique. Qui tient tant que l’imaginaire de la population est manipulée par la minorité qui la contrôle. Ceci pour lui permettre d’accumuler la face crédit et d’en faire assumer la face débit ou dette par les autres.
Quant à la causalité circulaire, au niveau physique c’est le premier niveau des particules physique. C’est à dire, que selon ce point de vue, toute particule est l’expression d’une relation de causalité et seulement cela.
Bref, il existe quatre grands groupes de particules disons causales (avant j’en étais à trois). Les particules avec la propriété de récursion, celles avec les propriétés de récursion et de récurrence, puis qui ajoute la propriété d’itération et enfin, les particules les plus complexes qui ont la propriété de fractatlisation et ce sont les atomes. Car seule la fracatalisation permet de changer d’échelle qui fait ce qu’on appelle la flèche du temps dans la complexité.
Là où tout devient très complexe c’est qu’il y a des effets kaléidoscopiques.
@yoananda2
L’expérience d’Aspect ne viole pas la causalité, elle établie seulement que l’intrication quantique s’affranchit de la vitesse de la lumière.
De mon point de vue, cette expérience prouve le principe de causalité, puisque l’ordre logique est respecté. Pour violer la causalité il faudrait que l’ordre logique ne soit pas respecté, or, il l’est systématiquement. Car voyez vous, selon mon point de vue, un ordre logique n’a pas de vitesse, or, le principe de causalité c’est d’abord le respect de l’ordre logique (bon, c’est un tout petit peu plus complexe).
La vitesse apparaît au niveau des relations causales impliquant la courbure de la géométrie ou espace-temps. S’il n’y a pas de courbure dans une relation causale, il n’y a que l’ordre logique et la vitesse est alors infinie.
Le hic avec ces expériences, est quelles impliquent deux échelles à des niveaux dont on peut seulement rendre compte des effets. Or, il se trouve que le principe de fractalisation de l’espace-temps dit qu’une échelle devient discrète à l’échelle suivante ou si vous voulez, passe du premier plan au second plan pour l’observateur que nous sommes situé au second plan (mais qui est pour nous le premier plan d’observation possible). Conséquence, pour "voir" l’échelle précédente il faut nécessairement rendre discrète l’échelle suivante, seulement comme dit juste avant, il existe aucun moyen physique pour observer l’échelle antérieure ou se passent les évènement. Bon, je vais pas développer plus !
La causalité n’est pas violé, c’est le raisonnement des scientifiques qui est biaisé.
Pour ce qui est de l’autre expérience, je ne la connais pas et donc il me faudrait l’étudier.
De mon point de vue, le problème des scientifiques avec la mq (et non la mq avec les scientifiques !) c’est qu’il y a un biais de raisonnement au niveau élémentaire qu’ils ne voient pas.
je ne vais pas vous l’expliquer plus ici, vous pouvez donc ignorer ce que j’écris.
Toutefois, notez bien que toute observation implique la désintrication quantique et d’autre part, si la causalité n’était pas vrai au niveau quantique, on ne pourrait pas faire fonctionner un ordinateur et à plus forte raison penser faire fonctionner un ordinateur quantique. Pour qu’ils fonctionnent, la condition absolue est qu’ils obéissent à la causalité. C’est à dire, l’ordre causal.
En fait, il existe une seule exception au principe de causalité et qui permet tous les phénomènes dits "paranormaux". Mais cette exception à sa règle d’exceptionnalité.
Je pense d’ailleurs avoir trouvé un moyen de démontrer la supériorité du mode de pensé que je suis via les mathématiques. Me reste plus qu’à finaliser le papier et le rendre public pour le mettre à l’épreuve !
@nono le simplet
Mais si tu veux !
de mon point de vue c’est l’inverse j’ai démontré à maintes reprise ta propre bêtise. cela dit, il m’arrive de faire preuve de bêtise, nul n’est à l’abri. Mais ce qui est l’exception chez moi et la règle chez toi.
Le problème dans ce cas là c’est qu’il faut un juge extérieur, neutre et dont les deux parties conviennent de s’en remettre à son jugement.
Comme il n’y en a pas, tu pourra toujours être convaincu de ta propre intelligence et moi de la mienne.
@yoananda2
Moi je vous dis que la causalité n’est pas violée, c’est le raisonnement qui est biaisé.
Si vous écrivez que c’est "établi", donnez moi donc l’expérience qui l’établit.
Tant qu’on est dans la physique, quelle que soit l’échelle, c’est la causalité qui commande, ce n’est que lorsqu’on passe dans l’imaginaire que la causalité peut être violée autant que l’on veut puisqu’elle obéit à l’imaginaire. Dans la réalité, l’imaginaire doit obéir à la causalité.sans cette condition absolue il ne peut pas y avoir de réalité physique qui tienne.
@yoananda2
Aucune expérience de mécanique quantique viole la causalité dans la réalité physique.
De mon point de vue, le problème de la mécanique quantique ce sont les biais du mode de pensé des scientifiques, mais la causalité n’est pas prise en défaut.
Donnez moi un exemple et je vous montrerai qu’il ne viole pas la causalité telle que je la connais
@nono le simplet
Moi ce qui m’énerve, c’est de voir les idiots vouloir jouer les intelligents et qui pour masquer leur bêtise utilisent le rire.
@Ouam
"c’est juste une notion d’échelle... hihihi"
te voilà devenu un nono !!!!
@herve_hum
j’oubliai une précision utile, le fait que le principe de causalité découle lui même de la géométrie de l’espace-temps (la géométrie de l’espace seul n’existe pas, car c’est un état unique et infini !)
@tobor
De mon point de vue, le principe de causalité est le seul maître de la réalité physique, celui qui en détermine les lois physiques et dont les lois fondamentales du principe de causalité s’appliquent avec la même rigueur pour les particules de matière que pour les relations humaines. Aucune échelle, aucun domaine de la réalité physique échappe à la causalité.
J’affirme qu’un Dieu tout puissant, omnipotent, omniscient et omniprésent doit se soumettre à la causalité s’il veut un Univers physique, sa toute puissance étant de pouvoir y renoncer tout comme de le vouloir, mais il n’a aucun pouvoir quand aux conditions d’existence de tout Univers physique, il doit se soumettre de manière absolu à la causalité.
Sachant que le propre de l’Univers physique est d’être le lieu commun de TOUS les imaginaires, tandis que dans la relation de sens inverse, l’Univers imaginaire est le lieu particulier de chaque être qui le domine.
Ceci expliquant tout le reste !
@JL
Mais je parle de l’Univers physique, des "choses tangibles".
On peut penser que la question de la présence de l’Univers physique avec sa matière et les lois qui la régisse permettant la création de la vie, dont celle de l’humain qui se pose la question, doit avoir une seule réponse, mais à défaut de preuve suffisante vous êtes vous même dans la croyance !
Laissons tomber la définition "d’existence".
Par contre, il y a de mon point de vue aucune énigme et/ou mystère à la question ’"pourquoi y a t’il quelque chose plutôt que rien".
Il y a quelque chose parce que nous existons en conséquence directe de ce quelque chose. Donc, la question est un non sens, une aberration du cogito humain ou si vous voulez, un piège à "cons".
une fois posé le fait qu’il y a quelque chose et que la preuve toute entière réside dans le fait que l’Univers physique existe avec nous dedans, alors, on en vient à considérer la question de sens de ce quelque chose et non pas sa présence (et peut être comprendre le comment).
Et là, ben on peut avoir deux réponses pour conduire à la même solution qu’est la réalité physique. La création ou transformation d’état de ce quelque chose par un Dieu à priori tout puissant ou bien se dire que la création de la vie dans son processus d’évolution est le fait du saint esprit magique !!!
Vous ne le verrez pas, comme tous les lecteurs sans doute, pourtant, je donne la réponse où il suffit juste de développer.
@nono le simplet
Non pas le rire, mais l’usage systématique de l’émoticon
@JL
La croyance en un dieu créateur de tout ce qui existe est respectable, mais il faut bien se mettre dans la tête que s’il existait, la question se poserait de savoir qui l’aurait créé vu qu’il ne s’est assurément pas créé lui-même.
si vous partez du principe de Lavoisier selon lequel rien ne se crée, rien ne se perd, tout se transforme.
Alors vous pouvez dire que Dieu ne saurait être crée, qu’il est cet existant incréé, mais qu’il peut s’être ou avoir transformé ce qui existe.
Vous confondez donc la notion d’existence avec celle de création, la première n’implique pas la création comme préalable, alors que la création exige qu’il y ait soit un existant, soit admettre un phénomène magique mais qui pose la question du magicien. Et s’il n’y a pas de magicien, alors ce phénomène magique à très bien pu créer Dieu ou passer directement à l’Univers physique pourvu de ses lois, mais vous devrez alors croire que tout est magique !!!
@Ouam
tiens, je vais te faire une réponse à la nono
Je condamne fermement l’auteur de l’attentat pour avoir raté sa cible !!!
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