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abolab

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  • Premier article le 30/09/2019
  • Modérateur depuis le 08/10/2019
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    abolab 14 octobre 2019 07:47

    @sls0 Vous vous perdez encore une fois dans des détails sans rapport, pour noyer lepoisson.

    Pour l’INERIS, le nuage de toxiques s’est arrêté aux frontières de ROUEN, avant d’être dilué, alors qu’en réalité, il a traversé la Belgique le 26 septembre puis les Pays-Bas le 29 septembre. Le nuage de Lubrizol est un concentré de toxiques formés lors de l’incendie, dont beaucoup ne sont même pas répertoriés.

    Les premiers tests évalués par les camions NRBC ne concernent que quelques molécules, et donc des tests molécules à ces quelques tests ne veulent pas dire, comme l’ont répété les autorités de l’Etat à la fois pour Lubrizol et pour Achères, que ce nuage n’est pas toxique.

    C’est pourquoi l’expert judiciaire et ingénieur chimiste Frédéric POITOU affirmait à juste titre :

    Quand la préfecture dit que lorsqu’il n’y a pas de traces, il n’y a pas de toxicité, c’est scandaleux.

    Frédéric Poitou,  BFMTV

    En ce qui concerne la dioxine, ce n’est pas seulement la dose qui fait le poison, comme avec le chlore, car tant à forte dose qu’à dose infinitésimale, il est un toxique très dangereux avéré, nuisant aux êtres vivants et à l’environnement : c’est un polluant organique persistant (POP) dont le gouvernement, qui a pourtant ratifié et signé la convention de Stockholm de 2001, semble se moquer éperdument et cherche coûte que coûte à minimiser, pour ne pas révéler la pollution habituelle de notre environnement à ces dioxines et aux POPs, contre lesquels il ne fait rien.


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    abolab 13 octobre 2019 21:58

    @sls0 Dans l’étude toxicologique que vous m’avez montré précédemment :

    Il a été montré que les concentrations de dioxines dans l’air variaient en fonction de la trajectoire de la masse d’air à laquelle elles étaient associées, ce qui implique que les dioxines peuvent être transportées sur de longues distances.

    INERIS Etude toxicologique p.18


    Pourquoi donc l’INERIS ne prend-il donc pas en compte cette donnée de leur propre rapport toxicologique, et pourquoi considère-t-il que 20 prélèvements locaux de suie via des lingettes est suffisant pour évaluer la formation de dioxines ?

    L’INERIS, s’il s’agit de professionnels du risque chimique, n’est pas non plus sans connaître le phénomène des matériaux "binaires", ou même "ternaire", c’est-à-dire, des matériaux tout-à-fait anodins considérés individuellement, mais qui une fois mis ensemble, notamment dans le contexte d’un incendie, peuvent générer des matériaux autrement plus dangereux que ces produits individuels. Alors pourquoi considère-t-il que les milliers de tonnes supplémentaires de produits chimiques de Normandie Logistique n’apportent aucun élément nouveau, alors que nous n’avons pas moins de "617 références différentes pour un tonnage de 9419 tonnes..." sur le site  ?



  • 2 votes
    abolab 13 octobre 2019 21:34

    @ETTORE Tout dépend de quels scientifiques, l’on parle. Les scientifiques travaillant pour le gouvernement établissent des études qui vont, très généralement, dans le sens de ce que veut le gouvernement...



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    abolab 13 octobre 2019 19:31

    @sls0 Je parle de vrais scientifiques, pas de scientifiques techniciens à la solde d’un gouvernement et qui produisent des analyses allant dans le sens de ce que veut le gouvernement. Il est très facile de biaiser la science, mais plus difficile de faire de la vraie science.



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    abolab 13 octobre 2019 19:16

    @sls0 Vous continuez à vous perdre dans des détails sans rapport. Tout produit qui brûle et qui contient du chlore, notamment dilué comme dans les produits inflammables de Lubrizol, et ce d’autant plus dans un mélange chimique aussi propice que cette usine, qui contient énormément de polymères à base de benzène, peut générer à haute température des dioxines/furanes et d’autres composés très dangereux.

    Ces dioxines ont par exemple été retrouvées dans l’eau de pluie sur le passage du panache de fumée à Préaux en quantité significative.

    Vous pouvez continuer à nier, comme les autorités, dont l’INERIS, le font encore actuellement, qu’un site SEVESO en feu avec plus de 9000 tonnes de produits chimiques hautement dangereux produisent des toxiques, mais cela ne montrerait qu’une volonté bornée de votre part de ne faire preuve ni d’humilité (par rapport à vos connaissances limitées), ni d’intelligence, ni de précaution en ce qui concerne la santé de la population et celle de l’environnement.

    Vos modèles théoriques limités ne sont pas du tout le reflet de la réalité.

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