je me posais la question de la sincérité de Denis Robert depuis une vidéo paru il y a 6 mois, qui suggérait que le type était un collabobo de 1ere, c’est maintenant une évidence.
Quand à Chouard le pauvre petit, trop gentil, il s’est laissé avoir par les questions de merde du tribunal médiatique des gauchistes.
c’est triste pour lui mais par forcément des plus dommageable, ses différentes interactions avec d’autres personnes comme C Gave soulignent que ce gentil monsieur tourne en rond avec sa constituante et manque cruellement de billes sur le reste (il a déjà tout donné en fait, preuve que dans le camp des collabobos ils sont à la traîne).
il aura permis au moins à démasquer les collabobos par encore assumés comme ceux du Media et autres Denis Robert, typique des faux nez encore plus méprisables que les putains qui s’assument comme tel.
le monde se divise désormais en 3 catégories :
ceux qui vivent dans le passé, pour imposer leur domination avec leur outils de pleurnicherie,
ceux qui se soumettent, en bon indignés à 2 sous, à leur injonction et qui dénonceront / accuseront éventuellement ceux de la dernière catégorie
et enfin
ceux qui n’en ont plus rien à foutre car il faut aller de l’avant pour bâtir l’avenir avec toutes les âmes de bonne volonté.
« Ah oui et ce fut le cas pour qui concrètement ? »
Ce fut le cas pour des gens qui étaient catégorisé comme bobo dans les milieux sarkozystes.
les gens ? c’est qui les gens ? des noms ?
vous n’avez en fait aucun exemple concret pour valider votre hypothèse, pour une raison tout simple que vous prenez bien la peine de mettre de coté car elle bousille à la fois votre théorie et celle du sociologue à paillette mandaté par la classe dominante.
Les « fachos » et les « beaufs » sont excommuniés et bannis c’est d’ailleurs ce qui fait de ces termes des anathèmes contrairement à celui de bobos qui n’entraine aucune disgrace sociale de la part des milieux dominants,
Aucun anathème dans mon commentaire, le percevoir comme tel est par contre en soi un marqueur,
En effet, Les seuls qui sont agacés par le terme au point de nier l’existence même du phénomène et d’y consacrer un ouvrage pour en nier l’existence, puis d’en diffuser le contenu, sont ceux là même que le terme décrit.