"Oui, les troupes de Bachar tuent et massacrent également les civils, c’est une réalité, ce n’est pas parce que les atlanto -sioniste soutiennent les rebelles qu’il faut le nier. Il n y a pas des méchants d’ un coté et des gentils de l’autre !"
.
Il y a quand même une différence au niveau des intentions et de la finalité.
D’un côté, défendre un pays, certe aux mains d’un régime corrompu et imparfait, mais qui a apporté beaucoup au peuple syrien.
De l’autre côté, semer la misère et le chaos au profit des puissances occidentales (Israel en particulier), et mettre en place un régime islamiste des plus rétrogrades.
Avant, l’immigration était accompagnée d’intégration. C’est impossible maintenant.
Depuis 1981 (1 million de chomeurs) la situation de l’emploi n’a cessé de se détériorer. Et l’immigration a continué.
Comment intégrer une population d’origine étrangère (particulièrement de deuxième génération) quand le chômage augmente et que le flux de l’immigration continue ?
Les rassemblements, quels qu’ils soient, deviennent l’exutoire de cet ostracisme. D’une jeunesse qui n’a aucun avenir et aucune possibilité d’intégration.
Et pendant ce temps, la "gôche" bien pensante s’occupe des sans papiers. Un combat plus "noble" et plus en rapport avec ses aspirations au cosmopolitisme.
"En 1993, lorsque des pouvoirs publics aux abois ont cherché de l’argent frais pour renflouer l’établissement, il a suffi à ces mêmes milliardaires de racheter, à vil prix, les participations de la banque dans leurs affaires. En engrangeant au passage les très coquettes plus-values qui leur ont permis d’arrondir leur fortune. Faillite publique, richesses privées : voilà l’autre histoire du « scandale bancaire du siècle ». (...)
C’est ça qui nous a coûté cher, et pas les 20 milliards qu’évoquait Catherine Ney sur Europe 1 samedi matin en prenant la défense de Tapie.
.
Quant à l’islamisme / l’immigration, c’est une affaire qui nous dépasse totalement, entre les saloperies que les occidentaux font subir aux pays musulmans et le "communautarisme forcé" que l’on subit.
"Les desseins de l’Allemagne sont clairs : au sein de la Convention sur l’avenir de l’Europe, elle va essayer d’imposer une Constitution européenne, sur la base de principes fédératifs. Elle est pour une Europe des régions à caractère " ethnique ", en contradiction avec les principes républicains français."