@Qamarad, Nous gagnerions à ne pas nous laisser envahir par nos émotions primaires En ce qui me concerne, il ne s’agit pas de céder aux émotions primaires mais de répondre à la problématique d’intégration. Et cela n’a rien de primaire que d’évoquer l’influence culturelle et politique des décisions gouvernementales sur une éventuelle adaptation de nos règles au bénéfice d’une communauté dont certains membres (pas tous) n’en acceptent pas les règles. Ces mêmes membres qui ont une influence non négligeable au sein de la communauté musulmane, et nous savons aussi que le musulman lambda en subit les pressions. Ces caricatures ne m’ont pas fait rires, je les ai trouvé blessantes, crées dans le seul but de blesser... Mais bordel, ça fait des lustres que les chrétiens s’en prennent plein les gencives ! La poussière sous le tapis on va la sortir. J’ignore dans quelle banlieue vous vivez, je vous cite le simple exemple de ne pas pouvoir prendre un café en terrasse en période de Ramadan sans qu’un islamiste ne vienne armé d’une bombe lacrimo pour vous rappeler à l’ordre dans le 93 (Saint Denis). Idem pour la cigarette dans la rue à la même période que vous soyez babtou ou pas d’ailleurs. Ce n’est pas primaire, c’est juste impossible. Et que Todd vienne nous expliquer que le catho zombi est islamophobe et qu’il faudrait réadapter éventuellement la loi parce que ça devient chaud, ce n’est pas acceptable (et je ne suis pas catho). Cette loi sur le blasphème fait partie du décor : ou on l’accepte ou on dégage. Elle est un excellent garde-fou.
Les musulmans veulent pour la plupart vivre tranquillement comme tout le monde. Mais l’islam est cependant une religion qui a été conçue pour absorber les Etats.
Absolument, donc lorsque vous évoquez la volonté de vivre "tranquillement" pour la majorité des musulmans, dois-je comprendre que c’est selon ces mêmes préceptes religieux, leur "tranquilité" passe avant la mienne ? Vous vous rendez compte de ce que vous me dites ?
Avant même de parler de déportation ou de guerre de religions, il parait évident que nous nous dirigeons vers un conflit qui aboutira à des décisions à venir que le politiquement correcte qualifie d’injustes si de leur propre chef il ne prennent pas les mesures qui conviennent dans leur obligation de s’intégrer.