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berphi

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  • vote
    berphi 3 février 14:50

    @Gollum

    Il est intéressant de relire Jean 21:18, seule référence faite au cheminement géographique de Pierre cité dans l’article qui est en réalité une prophétie du Christ faite à son apôtre après sa résurrection. Elle sous-entend un hold-up, une utilisation de sa personne contre sa volonté.^^

    "Il lui dit pour la troisième fois : Simon, fils de Jonas, m’aimes-tu ? Pierre fut attristé de ce qu’il lui avait dit pour la troisième fois : M’aimes-tu ? Et il lui répondit : Seigneur, tu sais toutes choses, tu sais que je t’aime. Jésus lui dit : Pais mes brebis. 18En vérité, en vérité, je te le dis, quand tu étais plus jeune, tu te ceignais toi-même, et tu allais où tu voulais ; mais quand tu seras vieux, tu étendras tes mains, et un autre te ceindra, et te mènera où tu ne voudras pas. 19Il dit cela pour indiquer par quelle mort Pierre glorifierait Dieu. Et ayant ainsi parlé, il lui dit : Suis-moi."



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    berphi 3 février 14:33

    @Gollum

    Nous savons que le catho sait lire mais ne comprend ce qu’il veut bien comprendre, et entend ce qu’il veut bien entendre, c’est un client rêvé.  smiley 
    Le moins que l’on puisse dire c’est qu’il participe de façon non négligeable à la bonne tenue de la maison d’édition de Jova.



  • vote
    berphi 3 février 13:10

    Ce que ne dit pas Jonanovic pour ne pas s’y être intéressé et nonobstant l’entente si cordiale, tellement délicieuse, qui régnait entre les chefs de églises et Saul, matérialisée par la lettre des faux docteurs de Jean, évoquée précédemment dans un échange avec ezechiel. 

    Un article nous dit ceci :" Le pape Benoît XVI a ramené le sujet sur la scène publique depuis son arrivée à la tête de l’Église catholique, mais il n’est pas le seul à avoir agi ainsi ces dernières années. Au grand embarras de certains, des archéologues de l’Église catholique romaine découvrirent dans les années 50 un tombeau à Jérusalem contenant un ossuaire – une boîte d’ossements utilisée lors des inhumations juives du premier siècle – qui portait le nom gravé de « Siméon Bar Jonas » (nom sous lequel est connu l’apôtre Pierre dans le Nouveau Testament). Pour ne pas être battu, le Vatican fournit rapidement ses propres preuves archéologiques que le tombeau et les restes de Pierre étaient ensevelis sous le grand autel de la basilique Saint-Pierre de Rome. Au cœur de cette dispute se tenait un sarcophage découvert lors de la première moitié du siècle, que les autorités commencèrent à examiner de plus près juste après la Deuxième Guerre mondiale. (...) Il est généralement reconnu que le Nouveau Testament ne dit rien sur les endroits où se trouvait Pierre après son arrestation et son exécution planifiée par le roi Agrippa vers l’an 40 de notre ère (Actes 12). Pierre réapparaît brièvement à Jérusalem quelques années plus tard (en 49 environ) pour une conférence à laquelle participent les apôtres et d’autres chefs de l’Église, comme Luc le rapporte dans Actes 15 (@ ezechiel : il n’est pas utile de vous rappeler que les Actes furent rédigés par Luc secrétaire de Saul, non, je ne vous le rappelle pas). Ensuite, le Nouveau Testament ne précise plus rien sur le lieu où se trouve Pierre, à part un commentaire dans sa propre épître : dans 1 Pierre 5 : 13, il transmet les salutations des membres de l’Église de Babylone.

    Ceux qui souhaitent vraiment voir Pierre à Rome considère l’utilisation du terme Babylone comme un code pour Rome. Cependant, d’autres insistent sur le fait que l’épître n’utilise pas de langage codé pour parler des lieux où l’apôtre se situait.

     (...) Sur la base du récit de l’Ancien Testament, Pierre aurait très bien pu rédiger son épître de la ville ou de la province de Babylone. Son ministère était pour les Juifs et comme les écrits des siècles suivants le confirment, Babylone était un centre du judaïsme à la fois avant et bien après Pierre.

    Ceci représenterait certainement une meilleure solution concernant ses lieux de séjour, plutôt que l’alternative – que Paul ne mentionna même pas Pierre dans son épître aux Romains, et que Luc ne remarqua pas la présence de Pierre lorsqu’il arriva à Rome avec Paul, après que ce dernier eût fait appel à César (Actes 28), apparemment vers l’an 60 de notre ère. La preuve interne de l’épître aux Romains, écrite vers l’an 57, établit que Paul n’avait pas connaissance qu’un apôtre quelconque, et encore moins Pierre, ne l’eût précédé à Rome. Comme les Vaudois le firent remarquer, le silence du Nouveau Testament sur le sujet est pesant.

    Donc si le Nouveau Testament ne fournit pas la preuve que Pierre a bien séjourné à Rome, quelles sont les autres preuves ?

    (...) Concernant Pierre, aucune source du premier siècle ne donne d’informations sur sa mort, si ce n’est le dernier chapitre du quatrième Évangile. Jean 21 : 18 le décrit comme étant mené là où il ne veut pas aller. La tradition non vérifiée selon laquelle il aurait été crucifié la tête en bas date de la fin du deuxième siècle, presque 150 ans après sa mort."

    Sources : foundations.vision.org / Pierre s’est-il rendu à Rome ?



  • 5 votes
    berphi 27 janvier 13:57

    @nono le simplet
    Trump s’est entouré de complotistes, de fachos, de cinglés, de mégalos et d’alcooliques ...

    Ne manquait que l’accusation de pédo dans cette litanie ; c’est bien normal, ils sembleraient qu’ils soient chez les démocrates.  smiley  



  • 3 votes
    berphi 27 janvier 13:50

    Que Weber ait des griefs contre Trump est une saine disposition qui au nom de la démocratie n’a pas être discutée  il en a le droit et je défends cette liberté de parole qui refait enfin son apparition sans passer par les fourches caudines de nos fact-checkers mais il faut seulement rappeler que ce monsieur est un grand soutient de LFI dont les députés européens viennent justement de voter contre la libération d’un autre homme ; les autorités qui le détiennent estiment aussi qu’il faut le supprimer. 

    Vive la liberté d’expression. Se faisant, que Weber qui, par cette envolée lyrique contre Donald, se rapproche un peu plus du poulain du système Gluksmann à peu de frais, ne vienne surtout pas s’élever sur celle du camp d’en face si le verbe employé se trouvait être excessif et que ses oreilles venaient à saigner.

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