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démosthène

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  • 47 votes
    démosthène 12 mai 2014 11:11

       
    Oh le bel enfumage que voilà...
     
    Quelle belle interprétation des chiffres...
     
    Ah ben si.
     
    Si vous vous laissez enfumer par les postulats des patrons, vous pouvez même vous dire que les retraités devraient retourner au turbin.
     
    Pourquoi les retraités ?
     
    Bah parce que c’est justement le foutage deggle du jour de erwanaze...
     
    Ah ben si...
     
    Parce que dans la réalité, si on ne tient pas compte des retraités ( bah oui, le principe de l’ultralibéralisme est d’amalgamer n’importe quoi pour mieux tenter ensuite de stigmatiser la plus grosse connerie possible... ) les Français sont plus productifs que les Allemands...
     
    Mais ça, ça ne ferait pas les ’ affaires ’ de nos petites chèvres de garde meRdiacratiques, qui ne peuvent que bégueter les mensonges de leurs ’ employeurs ’, sans quoi elles seraient tout simplement remplacées par d’autre petites chèvres de garde meRdiacratiques plus ’ dociles ’...
     
    Pas compris ?
     
    Une tite analogie rien que pour ceux qui n’ont pas compris :
     
    Prenons le nombres de chômeurs, ce sera plus facile pour que vous compreniez...
     
    Combien de chômeurs en France ?
     
    Le nombre n’a pas d’importance pour la démonstration.
     
    La démonstration tient dans le fait que le ’ gouvernement ’, pour ne pas avoir à reconnaître le véritable nombre de chômeurs, et donc ne pas avoir à s’en occuper réellement, crée des ’ catégories ’ de chômeurs.
     
    Peu importent les catégories, peu importe le nombre réel de chômeurs totalement sortis de leur comptabilité par radiation.
     
    Ils ont tout simplement réussi à diminuer le nombre de chômeurs ’ officiels ’...
     
    Et là, erwanaze et les petites chèvres de garde meRdiacratiques pratiquent l’inverse.
     
    Toujours pas compris ?
     
    Imaginez qu’ils comptabilisent les décédés depuis 10 ans dans leur calcul, à l’ OCDE...
    Comment ça, ça n’a aucun rapport ?
     
    Ben voui, pas plus que dans leur postulat pour débiles essayant d’amalgamer les retraités et les actifs, pour effectuer leurs ’ statistiques ’...
     
    Merci, erwanaze, de nous gratifier à chaque fois d’un exemple de ce que l’ultralibéralisme est capable de faire pour tenter d’enfumer le pécore...
     



  • 36 votes
    démosthène 11 mai 2014 20:59

       
    L’action est un investissement.
    Contrairement à un emprunt, qui a une durée établie, et généralement un taux fixe ( à moins d’être stupide...), une action ne fournit des liquidités qu’une seule fois à l’entreprise émettrice.
    Lors de l’introduction en bourse de l’entreprise.
    Une fois l’action vendue, l’entreprise ne retire plus rien des actions mises en vente.
    Par contre, elle doit générer des revenus pour rémunérer les propriétaires des actions.
     
    Non, il ne s’agit pas de vendre sa propriété.
    C’est là le grand mensonge de la bourse.
    Une entreprise peut parfaitement être retirée de la bourse sans pour autant être mise en liquidation...
     
    Aucun rapport avec les emprunts conventionnels.
     
    Vous confondez.
     
    L’entreprise cotée en bourse se finance presque toujours en empruntant, une fois la vente initiale de ses titres effectuée...
     
    Que représentent les hausses de titres en bourse par rapport aux fonds obtenus par les entreprises lors de leurs introductions ?
     
    Absolument rien...
     
    Cela n’a strictement aucun rapport.
     
    Vous confondez le commerce de titres sur valeurs et vente de titre initiale, à l’introduction en bourse.
     
    Le seul rapport est que l’entreprise ayant été introduite en bourse DOIT impérativement rémunérer ses actionnaires.
     
    Si elle ne le fait pas, ses actions chutent...
     
    J’ai peur que vous n’ayez pas très bien compris le mécanisme boursier.
     
    Pour la suite, reprenez mon commentaire initial.
     
    Tout y est.
     



  • 39 votes
    démosthène 9 mai 2014 14:31

            
    Les marchés sont effectivement difficilement justifiables.
     
    Pas au regard des sornettes béquetées par la chèvre de garde éconocomique de merdeFNtv.
     
    Mais bien à cause de ce que le revenu actionnarial EST.
     
    Comment fonctionne l’actionnariat ?
     
    Dans les faits, il s’agit d’un endettement de l’entreprise qui est introduite en bourse.
     
    Un endettement perpétuel pire qu’un crédit.
     
    L’entreprise qui est introduite en bourse doit obligatoirement générer toujours plus de bénéfices, pour pouvoir rémunérer l’actionnaire.
     
    Alors bien sur, vous avez une tripotée d’entreprises qui sont capables de générer énormément de richesses, au point de ’ capitaliser ’ des sommes supérieures aux PIB de nombreux pays.
     
    Tout comme il y en a de nombreuses qui sont capables de rémunérer l’actionnaire sur les bénéfices qu’elles font.
     
    Oh pas à hauteur des bénéfices qu’elles ont fait.
     
    Il leur faut au préalable capitaliser toujours plus pour se garantir d’une OPA hostile, tout en ’ assurant ’ leurs arrières dans des ’ garanties ’ ( immobilières et financières, entre autres... ).
     
    Alors comment font-elles ?
     
    Concernant leurs ’ coûts ’ de production, pas de mystère :
     
    Ils ont inventé un mot magique.
     
    Compétitivité.
     
    En quoi ce mot est-il magique ?
     
    Il leur permet de détourner l’attention des bénéfices qu’ils font tout en incitant les institutions et les meRdias à rabâcher aux salariés qu’il leur faut être toujours plus ’ compétitifs ’, tout en étant de moins en moins rétribués.
     
    Vous avez travaillé, l’an dernier ?
     
    Que ce soit en tant que salarié ou en tant qu’indépendant...
     
    Vous avez donc fournit plus de 595 € par mois au capital.
     
    Avez-vous été augmentés ?

    Au regard de ces 595 € ?
     
    Ben non, bien sur...
     
    Dans le meilleur des cas, vous avez été augmentés de 50 à 80 €, et je dis bien dans le meilleur des cas...
     
    Quel est le rapport avec les béguètements de la petite chèvre de garde éconocomique ?
     
    Lui prône la dévaluation de l’ Euro par des ’ QE ’ émises par la BCE.
     
    Mais qui les achèteraient, selon lui, ces ’ QE ’, pour rendre les ’ investissements ’ attractifs au sein de la traîtrise de Lisbonne ?
     
    Attention, accrochez-vous, c’est violent.
     
    Il ’ aimerait ’ que ces ’ QE ’ soient achetées par le membres de la monnaie unique.
     
    Comment ?
     
    En créant un endettement à l’échelle Européenne.
     
    Elles est bonne, sa blague, hein ?
     
    Après avoir endettés les pays membres pour financer les banques privées qui revendent l’argent emprunté aux états endettés préalablement, ils voudraient créer une nouvelle dette financée elle aussi par l’endettement des pays membres...
     
    Pas compris ?
     
    Mais si...
     
    Relisez plusieurs fois.
     
    Je sais, on a du mal à le croire, au premier abord.
     
    On se dit que le mec, il a pas tout compris.
     
    Qu’il a raté quelque chose dans la manip.
     
    Mais non...
     
    C’est bien cela et rien d’autre.
     
    Quel est le dénominateur commun à tout ultralibéral ?
     
    Rabâcher des mensonges jusqu’à ce qu’ils deviennent LA vérité dans l’esprit de ceux qu’ils veulent voler...
     
    Et ça fonctionne du tonnerre de zeus, la preuve, personne ne remet en cause la spoliation des acquis et biens sociaux par le biais de l’endettement public.
     
    Oh... si, vous avez bien quelques nationaleux qui essayent eux-aussi de vous circonvenir en vous incitant à vous isoler des autres pays signataires de la traîtrise de Lisbonne, mais aucun ne vous explique comment il compte à la fois préserver ce qu’il vous reste de biens et acquis sociaux, tout en remboursant la dette et en réindustrialisant le pays...
     
    Et ils ne peuvent pas, parce que c’est tout simplement impossible à l’échelle d’un pays.
     
    A moins d’exploiter la seule ressource dont ce pays dispose, à savoir sa population, ce qui signifie la fin de tout acquis et bien social, de toute réglementation du travail.
     
    Autrement dit, une régression sociale à l’année 1850.
     
    Merci encore à dgomez de nous donner l’occasion d’expliquer comment les chèvres de garde éconocomiques tentent invariablement de prendre leurs auditeurs / lecteurs pour des crétins clinique.
     
    Inutile de supprimer ce commentaire, il est au chaud pour un copié collé éventuel, la dernière fois, ce fut 6 fois, va-t-on battre ce record ?
     



  • 38 votes
    démosthène 8 mai 2014 18:24

     
    Oui, tu vas devoir faire un choix.
     
    Celui du libéralisme qui n’a jamais, de tous temps, que pervertit tout sens collectif pour les intérêts de quelques-uns en spoliant la masse.
     
    Ou celui du collectif.
     
    Le plus impressionnant reste de constater que tu en es conscient.
     
    Mais que tu t’entêtes à ne pas le reconnaître. 
     
    Sans doute parce que si tu le reconnaissais, tu devrais ensuite en tirer les conclusions qui s’imposent.
     
    Et elles sont nombreuses tout au long de l’histoire du monde.
     
    Ce ne sont pas les salopards qui sont à blâmer.
    Ce sont ceux qui les laisse faire.
     
    Et alors quant à ceux qui n’ont même pas compris que l’individualisme ne peut que tenter de spolier le collectif...
     
    Même plus pathétiques...
     
    Pitoyables.
     



  • 38 votes
    démosthène 8 mai 2014 18:19

    Citation :
     
    "

    James Tobin était un économiste keynésien, c’est-à-dire, entre autres, favorable à l’intervention gouvernementale comme stabilisateur de la production, ayant pour but de favoriser le plein emploi et d’éviter les récessions. Il eut une passe d’armes avec Jacques Rueff en 1948 dans The Quarterly Journal of Economics à propos de l’article intitulé Les erreurs de la théorie générale de Lord Keynes que Rueff avait écrit l’année précédente. Toutefois, alors que Keynes pensait que la préférence pour la liquidité détermine les taux d’intérêts, James Tobin défendait l’idée contraire, selon laquelle le niveau des taux d’intérêt influait cette préférence pour la liquidité2.

    James Tobin accéda à la notoriété en proposant une taxation sur certains mouvements de capitaux (transactions de change). L’objectif de cette taxation était de réduire la spéculation à court terme sur les places financières, qu’il jugeait contre-productive. Il suggéra aussi que les revenus de cette taxe soient confiés au FMI3.

    "

    Fin de citation et source :

    http://fr.wikipedia.org/wiki/James_Tobin

     

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