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Ce procédé de régulation a priori des contenus n’est pas totalement nouveau. Avant même l’irruption des IA génératives, des plateformes comme Facebook utilisaient déjà des "agents intelligents" pour détecter et filtrer automatiquement certains types de contenus problématiques, tels que les discours haineux, les images violentes ou les spams. Ces systèmes reposent sur des algorithmes capables d’analyser le texte, les images et même les métadonnées pour identifier des signaux suspects.
Récemment, l’intégration des IA avancées (comme les LLMs) a permis d’améliorer ces mécanismes. Par exemple, ces IA peuvent mieux comprendre le contexte d’un message ou détecter des sous-entendus toxiques. Cependant, leur déploiement reste prudent, car une application trop visible risquerait d’être perçue comme une forme de censure pure et simple, ce qui pourrait nuire à l’image de la plateforme.
Toutefois, généraliser ce type de régulation a priori à l’échelle mondiale pose de nombreux problèmes. D’une part, il serait techniquement difficile de modérer efficacement des milliards de messages quotidiennement sans commettre d’erreurs massives. D’autre part, cela pourrait constituer une atteinte disproportionnée à la liberté d’expression. Une approche plus équilibrée consisterait peut-être à renforcer les mécanismes de modération a posteriori tout en investissant dans des technologies capables de limiter rapidement la diffusion de contenus manifestement illégaux.
Les propriétés d’homogénéité et d’inhomogénéité dans l’expansion de l’univers, qui se manifestent à des échelles différentes, n’invalident en rien la thèse théorique, au contraire, elles viennent la renforcer. Cette thèse, corroborée par plusieurs indices d’observations solides, soutient la plausibilité de l’existence de la matière noire et de l’énergie sombre. L’expansion de l’univers, décrite par la loi de Hubble (qui stipule que l’univers est en expansion avec une vitesse proportionnelle à la distance), est homogène à grande échelle, mais à des échelles locales, les effets gravitationnels amplifient les petites perturbations de densité, créant des régions plus denses (comme les galaxies) et des régions plus vides (comme les vides intergalactiques).
Les modèles cosmologiques modernes, basés sur la relativité générale, intègrent ces deux aspects (homogénéité à grande échelle et inhomogénéité locale) dans le cadre de l’expansion de l’univers. On suppose généralement que l’univers était homogène à très petites fluctuations près lors du Big Bang, et que ces petites perturbations ont été amplifiées sous l’effet de la gravité, formant ainsi les structures complexes que nous observons aujourd’hui.
C’est dans ce contexte qu’intervient le rôle structurant de la matière noire, qui est considérée comme un élément fondamental dans l’organisation cosmique à grande échelle. Toutefois, la matière noire est présente en proportion bien moindre que l’énergie sombre. Cette dernière, quant à elle, est responsable de l’accélération de l’expansion globale de l’univers, agissant à grande échelle pour assurer cette expansion de manière homogène.
L’homogénéité de l’univers, à grande échelle, est cruciale pour le modèle cosmologique standard (modèle Lambda-CDM), qui repose sur l’idée d’une expansion uniforme. Les observations du fond diffus cosmologique (CMB), de la répartition des galaxies et de la vitesse d’expansion de l’univers (mesurée par la constante de Hubble) soutiennent ce modèle homogène à grande échelle.
Cependant, les inhomogénéités jouent un rôle central dans la formation des structures de l’univers. Elles expliquent la naissance des galaxies et des amas de galaxies, et influencent les détails de l’expansion à plus petite échelle, comme la manière dont les galaxies interagissent entre elles par la gravité.
En résumé, l’univers est homogène à très grande échelle (à partir de plusieurs centaines de millions d’années-lumière), ce qui permet de faire des hypothèses sur son comportement global, comme l’expansion continue. Cependant, à des échelles plus petites, des inhomogénéités existent sous forme de galaxies, d’amas de galaxies et de vides. Ces deux aspects, homogénéité et inhomogénéité, coexistent dans le modèle cosmologique moderne et sont essentiels pour expliquer l’univers tel que nous l’observons aujourd’hui.
L’étude des trous noirs, d’une part, et, d’autre part, les avancées théoriques de la théorie M des supercordes suggèrent une hypothèse scientifique — et non une spéculation discursive vaine — selon laquelle le multivers pourrait être de nature holographique. En ce sens, il serait une réplication d’informations encodées sur une surface bidimensionnelle, comme l’horizon des événements, projetées sur un nouvel espace dynamique tridimensionnel, grâce à un effet holographique simulé. Dans un hologramme, chaque brin ou élément constitutif renferme en lui-même l’intégralité de l’information du tout. Ainsi, tout dans le multivers, et pas seulement dans notre univers, serait intrinsèquement relié, échangeant de l’information d’une manière ou d’une autre.
Le conférencier critique les économistes traditionnels pour leur incapacité, entre autres nombreuses limitations, à anticiper et résoudre les crises économiques majeures. Il met en avant la domination croissante des acteurs financiers anonymes, souvent décrits comme un "État profond", qui influencent les décisions politiques et économiques au détriment des États souverains. Il souligne que les économistes négligent ces puissances privées dans leurs modèles et analyses, créant une déconnexion entre la théorie économique et la réalité du pouvoir économique mondial. Ce qui est remarquable est que l’intelligentsia occidentale experte ou perçue comme telle, commence à avouer, ces phénomènes d’organisations "secrètes" ou du moins opaques, et d’Etats profonds, ayant une influence décisive sur la distorsion des politiques économiques des nations.
Macron dit vrai. Ses créateurs comme président de la soumise république française sous proxénétisme sioniste et sous domination de l’oligarchisme du fric-dieu, ont pour forces politiques : 1.] Le sionisme français, international et mondial, 2.] l’oligarchisme mondialiste du fric-dieu ; et toutes deux, portées localement par les dindons de la farce que sont 3.] les forces politiques des droites traditionnistes sectaires et des extrêmes droites. L’objectif des lobbies sionistes est de mettre ainsi le pouvoir politique français sous les droites extrêmes, tout à fait en congruence avec la nature de fond du pouvoir politique d’hier, d’aujourd’hui et de demain d’israel . L’objectif des oligarques est de barrer la route à une gauche authentique de terrain, sérieuse et intelligente sachant gouverner et à programme politique et socio-économique bien travaillé, qui une fois au gouvernail, appliquera une véritable politique économique de redistribution des revenus et des richesses en fonction des capacités contributives de chaque personne physique et personne morale. Et cette gauche se trouve être aujourd’hui LFI et son leader dééterminé J. L. Mélenchon.
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