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ilias ben

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    ilias ben 20 octobre 2018 12:13
    Le leader de LFI était dans son droit de réagir promptement et fermement sur l’affaire des perquisitions d’office, toutes ordonnées par le parquet et non par un magistrat du siège sur de prétendues infractions aux textes légaux et réglementaires relatifs au financement de la campagne électorale des présidentielles 2017. On ne procède pas pour de tels délits de financement de campagnes électorales, par des perquisitions parquet d’office.Conformément au corpus juridique et jurisprudentiel relatif à l’action pénale, le recours à une telle procédure doit être l’exception et non la règle. Elle doit être réservée à des affaires criminelles à règlement d’urgence pour prévenir toutes retombées forts probables sur la sécurité collective/ sociétale générale et la sûreté collective/individuelle des biens et des personnes. N’étant pas estampillée par la magistrature siège, la perquisition parquet relève de ce qu’on appelle les mesures conservatoires de l’ordre pénal, donc des mesures à caractère provisoire enclenchées pour des considérations d’urgence de défense/sauvegarde de la paix civile au sein de la société.
    Et à l’occasion de cette affaire, le

    fonctionnement des médias en France n’a pas été du tout honorable, de la part de la majorité des chaînes TV, de la presse quotidienne et de certains magazines. Ils ont tous montré une partialité insidieuse, assise sur un formatage moutonnier sur l’information à distiller presque copie conforme dans le fond, par les supports médiatiques tous bords politiques/idéologiques confondus : gauche/droite/centre gauche/centre droit/extrême droite/people et genre.



  • 4 votes
    ilias ben 20 octobre 2018 12:08
    Le leader de la FI a fait une belle prestation lors de son point de presse. Une prestation sincère et pleine de vérités, avant tout sur l’affaire des perquisitions d’office, toutes ordonnées par le parquet et non par un magistrat du siège sur de prétendues infractions aux textes légaux et réglementaires relatifs au financement de la campagne électorale des présidentielles 2017.Et à l’occasion, la prestation a bifurqué intelligemment via une virée pertinente sur le fonctionnement des médias en France, à commencer par Le Point, France Info, le Nouvel Obs., etc., tous marqués par une partialité insidieuse, assise sur un formatage moutonnier sur l’information à distiller presque copie conforme dans le fond, par les supports médiatiques tous bords politiques/idéologiques confondus : gauche/droite/centre gauche/centre droit/extrême droite/people et genre. On ne procède pas pour de tels délits de financement de campagnes électorales, par des perquisitions parquet d’office.Conformément au corpus juridique et jurisprudentiel relatif à l’action pénale, le recours à une telle procédure doit être l’exception et non la règle. Elle doit être réservée à des affaires criminelles à règlement d’urgence pour prévenir toutes retombées forts probables sur la sécurité collective/ sociétale générale et la sûreté collective/individuelle des biens et des personnes. N’étant pas estampillée par la magistrature siège, la perquisition parquet relève de ce qu’on appelle les mesures conservatoires de l’ordre pénal, donc des mesures à caractère provisoire enclenchées pour des considérations d’urgence de défense/sauvegarde de la paix civile au sein de la société.


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    ilias ben 20 octobre 2018 02:41
    A l’entame de mon commentaire, je précise que je ne suis pas du bord politique FI, et que j’ai été parmi les sympathisants du MODEM, et que je suis pour une économie ( sociale, par défaut d’appellation acceptée par tous ) sans des laissés pour compte ( petites gens ou autres ),en endogeinisant leurs besoins et leur part de la richesse nationale ( valeur ajoutée oi surplus ) ; et pour un libéralisme politique à large participation verticale et représentation citoyenne de proximité. C’est clair et net que c’est une machination politique, colorée d’une procédure formaliste.Et cela comme revanche des macroniens, adeptes et sympathisants, sur les positions de la FI et Mélenchon sur l’affaire Benalla et sur certains projets de loi. A ce que je pense, c’est pas pour des affaires à qualification de délit pénal, qu’on ressort tout d’un coup, le procédé de la perquisition d’office, et de plus à l’encontre d’un homme politique, chef d’un mouvement FI, député, ancien ministre et candidat Président de la République.Il y’a sûrement anguille sous roche de règlements de compte politiciens de la part de Macron et le mouvement LREM majoritaire dans l’executif, dans l’Assemblée et par sympathisants cooptés ou copinés ou clientélisés, dans les strates de la haute Administration publique et même le parquet, la police et la gendarmerie. C’est gravissime comme dérapage de l’autoritarisme improductif macronien ; et il est du devoir de chaque français d’honneur de dénoncer cet abus intempestif de pouvoir de la part du Pdt Macron et de sa clientèle politique. Le leader de la FI a entièrement raison sur la rocambolesque injuste perquisition. Ces cancres de LREM blottis au parquet et dans les services de sécurite ont sévi outrageusement sur cette affaire, sur signaux de leurs mentors.Lesquels agissent pareillement comme MBS de l’AS, à la différence d’ un moindre degré dans l’horreur macabre.


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    ilias ben 20 octobre 2018 02:39
    "Les perquisitions ne sont pas illégales, contrairement à ce qu’il dit." dixit l’auteure de ce torchon.
    Le leader de LFI était dans son droit de réagir promptement et fermement sur l’affaire des perquisitions d’office, toutes ordonnées par le parquet et non par un magistrat du siège sur de prétendues infractions aux textes légaux et réglementaires relatifs au financement de la campagne électorale des présidentielles 2017. On ne procède pas pour de tels délits de financement de campagnes électorales, par des perquisitions parquet d’office.Conformément au corpus juridique et jurisprudentiel relatif à l’action pénale, le recours à une telle procédure doit être l’exception et non la règle. Elle doit être réservée à des affaires criminelles à règlement d’urgence pour prévenir toutes retombées forts probables sur la sécurité collective/ sociétale générale et la sûreté collective/individuelle des biens et des personnes. N’étant pas estampillée par la magistrature siège, la perquisition parquet relève de ce qu’on appelle les mesures conservatoires de l’ordre pénal, donc des mesures à caractère provisoire enclenchées pour des considérations d’urgence de défense/sauvegarde de la paix civile au sein de la société.
    Et à l’occasion de cette affaire, le fonctionnement des médias en France n’a pas été du tout honorable, de la part de la majorité des chaînes TV, de la presse quotidienne et de certains magazines. Ils ont tous montré une partialité insidieuse, assise sur un formatage moutonnier sur l’information à distiller presque copie conforme dans le fond, par les supports médiatiques tous bords politiques/idéologiques confondus : gauche/droite/centre gauche/centre droit/extrême droite/people et genre

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