@TchakTchak Oui, j’avais entendu ce gars parler, mais pour les 2, 3, ou 4 heures où l’eau n’est pas descendue, on ne peux pas conclure quoi que ce soit de là où nous nous trouvons nous. Le système fonctionne par gravité, comme souvent, et il faut ouvrir les bonnes vannes. Il me semble qu’à Fukushima, il y a eu aussi un retard dans des ouvertures de robinets pour assurer le refroidissement, mais il n’y avait rien d’intentionnel dans ce délai malheureux de la part des japonais. Procédure qui foire au mauvais moment. Shit happens, comme il se dit parfois ... ou pire.
@TchakTchak Oui, oui, je regarde toutes les informations concernant l’affaire depuis le début, parce que c’est particulier, et que ça peut déclencher un Streisand effect.
Mais comme beaucoup de faits insolites sont révélés dans cette affaire, je fais exprès d’essayer d’un peu éviter la polémique, et de m’en tenir à du factuel.
Un autre fait avéré qu’on peut vérifier avec Google earth, est le réseau d’eau d’irrigation, qui est facilement alimenté par le ruisseau qui descend dans la petite vallée juste au nord. Il y a plusieurs bassins reliés par des canaux au dessus de Lahaina, mais la coupure d’eau peut être due à la vidange du premier bassin, quand tout le monde a tiré sur ses tuyaux ??? Il a suffit de très peu de temps pour tout brûler. Si la décision d’ouvrir les vannes pour réalimenter les bassins au dessus de la ville tarde, ça fait certainement la différence, mais de là où on regarde, on ne peut pas affirmer que ceci ait été une intention ... ni le contraire. Mais c’est bien pour mettre ça sur le dos du "fortuit".
Pour le reste, le faisceau de suspicions ne fait que s’agrandir, effectivement.
La dépression qui passe au sud est de l’ordre de 1000hpa, ce qui correspond à une dépression tropicale, pas un ouragan.
Ceci accélère le régime des alizées arrivant par le nord-est de l’ile. Cette côte est donc exposée à de plus fortes "poussées" d’air, mais Lahaina est située sur le versant inverse de crêtes culminant à 1500 mètres d’altitude, avec des cols en contrebas.
Ceci ne change pas la direction principale du vent, par contre, va forcement créer des turbulences à la redescente. Notons, que sur un versant descendant, le vent est beaucoup moins fort que lorsqu’il pousse dans la montée et passe par les cols. On a plutôt un effet Venturi inverse. Les MSM ont annoncé des vents à 75mph pour renforcer le récit de la catastrophe inévitable et incontrôlable.
Il y a du vent, notamment induit à cause de l’incendie de maison, mais absolument pas une soufflerie en continue à plus de 100 km/h.
Le vent souffle néanmoins depuis le nord-est en redescendant sur les flancs volcaniques, mais l’ensemble (presque) de Lahaina est brulé jusqu’à la mer, la ville s’étendant dans une direction perpendiculaire au vent. L’ensemble de la ville brûle dans la soirée en quasi-simultanéité. Il n’y a donc pas un départ d’incendie unique, mais toute la ligne au dessus de la ville.
C’est un incendie d’herbe sèches au départ (flanc sud d’un massif sur une ile en hémisphère nord) qui est passé aux maisons, alors qu’il est parfois reporté sur le net ou les MSM qu’il s’agit d’un feu de forêt. Or la végétation de type tropicale va plutôt constituer là, des écrans à mauvaise combustion, entre les maisons en bois qui sont entièrement consumées. L’arrêt de l’incendie entre 2 maisons est difficile à interpréter sans avoir d’information précise, ou avoir été présent en place et en heure.
Je doute aussi qu’on puisse faire confiance aux autorités, pour obtenir un rapport d’expertise bien fondé, parce que ça a déjà mal commencé.
Ah
mais je vois que vous aviez déjà une réponse toute prête
Tous
les problèmes qu’on se pose, d’autres se sont déjà posé la
question avant.
Mais
Flatland n’est pas un espace à 2 dimensions, mais à 3 dimensions,
et à l’évidence, 1 ou 2 dimensions n’est pas très distrayant si
on veut créer un dessin animé.
Par
contre (bon, je me suis pas tapé une heure et demi à regarder des
carrés qui parlent), le problème spécifique de la vibration dans
un espace ne doit pas y être traité.
Flatland
doit pouvoir être classé parmi les ouvrages de philosophie.
Les
espaces de N dimensions, et leur population induite, doit relever de
l’algèbre. Sans doute dans l’ouvrage de Jean-Marie Souriau (que je
n’ai certainement pas lu, il ne manquerait plus que ça), où il doit
embrayer sur la géométrie.
La
vibration devient un problème de physique, mais les outils de
compréhension à utiliser doivent avoir été précédemment décrits
par des matheux.
Désolé d’interférer, alors que vous étiez déjà partis à la vitesse de la
lumière sur un sujet connexe, mais puisque je reviens sur le sujet
du balancier … après tout … Je vais vous charger la gamelle.
A
propos de « dimension ». Le problème est probablement sémantique, d’abord.
Je
concède que si une dimension vibre, l’espace qu’elle contribue
à définir vibre aussi, et c’est donc le concept qu’une vibration
puisse vibrer, que je n’arrive pas encore à embrasser.
Pour
définir les dimensions, nous avons peut-être fait (« nous »
de la communauté des matheux à laquelle je n’appartiens
personnellement pas, donc abus sur le « nous »généralisé)
le chemin inverse depuis une position de facto, qu’il semble que nous
occupions, où 4 dimensions sont évidentes pour que le processus de
notre vie fasse sens.
On
n’est donc pas naturellement passé par l’observation d’un non-espace
à zéro dimension, puis, le premier espace à 1 dimension …
jusqu’à N dimensions.
1
dimension doit pouvoir vibrer par rapport à une deuxième dimension,
mais je ne sais pas encore ce qui se passe pour un espace à 1
dimension.
Pour
nous, le plus facile pour conceptualiser ça, est d’imaginer une
ligne de temps qui balance entre le présent et le passé, mais où
il ne se passe rien. Cet espace vibre t-il ? Hah ?
La
vibration est-elle le lien entre 2 dimensions d’un même espace, un
transfert d’information binaire correspondant aux 2 positions
extrêmes de oscillation ?
Je
vous remercie de ne pas m’avoir posé la question, parce que je m’en
serais trouvé bien emmerdé.