Pauvres chevaux, introduits dans une bataille dont ils n’ont rien à voir : ce n’est pas leur faute si le système prôné par les BANKSTERS est en train de nous amener aux cessations de paiement des Etats, une minorité étant toujours et toujours plus riche.
Ce n’est pas de leur faute, à ces chevaux, si les économistes ayant pignon sur rue ne parle jamais de l’augmentation exponentielle de la dette, qui est inéluctable. Ce n’est pas leur faute, si les journalistes ne savent pas ce qu’est une exponentielle !
Quant aux gens qui critiquent la violence, il faudrait qu’ils commencent à comprendre qu’il n’y a que cela qui marche, contre le pouvoir et les BANKSTERS. Et il va falloir être encore beaucoup plus violent pour que ça bouge.
Qu’ils installent un plan d’austérité en France, et ils vont voir ce qu’est la violence. Oui, les Anglais ont leurs hooligans, mais ce n’est rien comparé aux jeunes de nos banlieues.
Pour ma part, j’ai arrêté les produits laitiers complètement.
En effet, ils me provoquent une allergie (nez qui coule, éternuements) de plus en plus forte au fil de jours (au départ ça commence doucement, cela met plusieurs jours à se mettre en route).
Test au centre anti-allergie de Nancy : négatif. En fait, ils ont trouvé que je suis allergique à ... rien !
Sauf que, sûr que c’est une allergie, puisque si je prends des anti-histaminiques, la violente crise est stoppée au bout de 5 minutes.
Je pense que le problème de ces médecins, c’est qu’ils m’ont cherché une allergie au lactose, alors que c’est sûrement une allergie aux PROTEINES de lait. Je ne le saurai pas, puisque le médecin ne m’a visiblement pas pris au sérieux (1 mois avant de recevoir le bilan allergique, avec mes propos complètement transformés).
Bref, se méfier des certitudes inculquées par la bien-pensance environnante, encore une fois !
Non seulement elles prêtent notre argent, mais elles le prêtent plusieurs fois, via le processus de multiplication du crédit.
Par ailleurs, les banques n’ont en réalité pas besoin de dépôts pour prêter : ce sont les crédits qui font les dépôts, pas l’inverse. Alors que pour les établissements financiers (Caisse d’Epargne, par exemple), ce sont les dépôts qui font les crédits. Mais cela ne change pas grand chose à mon avis, sinon qu’on peut être révolté que les banques puissent prêter de l’argent qu’elles n’ont même pas en dépôt (c’est du vol pur et simple). Voir ici :
Le vrai problème n’est pas là, il est dans les intérêts. Pour que tout le monde puisse les payer, il faut une circulation optimale de l’argent (que l’argent des intérêts retourne vers la poche des travailleurs qui sont endettés), ce qui n’est pas toujours le cas. On assiste donc à une augmentation exponentielle de la dette globale (particuliers+entreprises+Etats), du fait des intérêts impossibles à payer, car il faut à nouveau emprunter pour payer les intérêts.
Rien à voir avec ce que raconte l’individu sur le plateau (que c’est parce que l’Etat dépense trop). Si l’Etat ne s’endettait pas toujours plus, ce serait certains particuliers qui ne pourraient pas payer les intérêts de leurs crédits, et parallèlement, le taux de chômage monterait encore plus, du fait de la baisse des crédits à la consommation (moins d’aides de l’Etat, personnes non solvables, etc.).
Bon, visiblement Gaccio connaît très bien le sujet, il monte dans mon estime, quand il dit que les banques ont distribué des avoirs correspondant à 100 fois plus d’or qu’il n’en existe vraiment.
Quant à tous les autres, il faut qu’ils essaient de répondre à ce genre de questions :
* d’où vient l’argent ?
* quand je paye des intérêts, ils viennent d’où ? (à mettre en relation avec la première question).
* quand la banque prête mon argent, que se passe-t-il ?
Evidemment, aucun soit disant "intellectuel" de ce plateau n’a une vision claire sur ces questions fondamentales. Cela demande de réfléchir.
Pour ma part, je ne crois pas à la vraie gratuité : même quand vous rendez service à votre voisin, vous attendez quelque chose en échange, qu’il vous rende service plus tard par exemple. Vous ne lui rendrez pas service en permanence s’il ne vous donne rien en retour. En fait, la principale cause de ce tempérament, c’est la finitude, la condition animale. Si l’on était immortel, les choses seraient différentes.
Mais cela n’empêche pas de la gratuité donnée par la collectivité à elle-même, de manière anonyme : c’est le revenu universel du crédit social. Donc la gratuité collective est possible, et est même souhaitable d’un point de vue économique (rente correspondant au travail des robots).