@QAmonBra Parfaitement d’accord, on est dans les dernières phases d’un plan ordi de longue date par une oligarchie financière mafieuse dont les agissements occultes ou pas révèlent la trame d’un agenda qui s’accélère.
@sls0 malgré vos explications je n’arrive pas à comprendre comment la troisième tour a pu s’écrouler selon les mêmes caractéristiques qu’une démolition contrôlée et, de plus, sans avoir été impactée par un avion. D’où est venu la chaleur pour faire éffondrer cet édifice ?
Dans le cas de la question qui
nous occupe, : < Quelle est la probabilité qu’un « Créateur »
soit à l’origine du monde et responsable de sa pérennité et la probabilité de
son « événement contraire », tout émerge de rien du tout, (c’est à
dire n’émerge pas du tout mais parvient à nos consciences, elles-mêmes
illusoires et sans réalité signifiante ...)> on peut considérer que
l’ensemble des paramètres qui structurent l’univers et identifiés comme
constants sont les éléments de la distribution aléatoire ( dans le cas ou il
n’y a pas de Créateur) ou du mécano utilisés par le Créateur dans le cas d’un
monde organisé par une intelligence supérieure.
Ces éléments sont très nombreux dans l’univers : la vitesse de la lumière,
de toutes les autres ondes ( il y en a
un nombre infini ) visibles et invisibles,
avec toutes leurs caractéristiques précises 10 puissance 23 chiffres
après la virgule et qui sont les éléments indispensables à la structure du
monde.
On va appeler événement A,
l’hypothèse : « Le monde est issu et organisé par une entité
supérieure avec un shéma parfaitement immuable » et l’événement B,
l’hypothèse :< le monde est le produit d’un hasard, d’une distribution
complètement aléatoire et rien ne peut permettre d’en deviner le résultat à
aucun moment>. Ces deux événements sont contraires,
c’est à dire que l’addition de leurs deux probabilités fait 100 % ou un (
ce qui est la même chose en statistique).
La probabilité qu’un univers se perpétue de façon aussi harmonieuse et immuable
depuis des milliards d’années sans changer quoique ce soit aux constantes qui
le composent par une distribution aléatoire, c’est à dire régit par un hasard
« absolu » est nulle. Trinh Xuan Thuan, un des plus grands
astrophysiciens contemporains compare cette probabilité à celle qu’un archer
avec un arc suffisamment puissant, lance une flèche depuis la Terre et, sans
viser, atteigne une cible de 10cm de côté en plein centre située au fin fond de
notre univers !
Quand la probabilité d’un
événement est nulle, la probabilité de son événement contraire est certaine,
c’est à dire qu’il n’y a aucune raison logique que ce ne soit pas.
Par conséquent, par le calcul mathématique, on démontre que l’existence de
« Dieu » est certaine.
Je trouve curieux qu’on dise que les vibrations, les ondes, ce n’est pas de la matière, c’est du vide, du rien ! Les vibrations sont des conséquences observables d’un fait ( une explosion, une tape dans l’eau, un claquage de langue qui déforme l’air…) qui déforme un milieu, l’air, l’eau ou un milieu beaucoup plus subtile mais dont on peut quand même observer la déformation.
C’est comme la question commune de savoir si la lumière est ondulatoire ou particulaire. C’est comme comparer des carottes et des chaussettes.
@BlueMan bonjour Blueman, je pense aussi que la compréhension de ce sujet dépasse largement les capacités de ceux qui pensent " dans le cadre". Maintenant je ne ferai pas référence aux Evangiles même si je fût fervent catholique et que, grâce à Dieu j’en suis revenu, mais à la physique quantique qui prouve que tout ce qui existe est vibratoire et que nous sommes traversés, " à l’insu de notre plein gré ", par quantité d’ondes qui pourraient tout à fait avoir la capacité de nous influencer et de stimuler les zones d’audition de notre cerveau et de faire résonner des voix en nous. Ce que nous percevons de l’enchevêtrement des ondes qui constituent le réel dont nous faisons partie est infime et nous pensons cependant pouvoir comprendre… " Vanité des Vanités…" Effectivement l’interpellation de Socrate est toujours d’actualité mais le débat tourne souvent au dialogue de sourd car, comme disait Descartes :< Le bon sens est au monde la chose la mieux partagée car chacun s’imagine en être suffisamment pourvu >. Mon père aurait dit lui :< on ne peut pas faire boire un âne qui n’a pas soif>.