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lloyd henreid

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misanthrope

Tableau de bord

  • Premier article le 05/10/2013
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Derniers commentaires




  • 3 votes
    lloyd henreid lloyd henreid 25 juillet 2013 15:22

    Pas encore vu la vidéo mais je me suis encore bien régalé avec les commentaires :)
     
    J’ai le sentiment que chacun porte un bout de vérité, et que cette vérité — ironiquement — est dans l’union de vos contraires comme l’insinuait (volontairement ?) Gollum parlant du Taoïsme. Gaspard dont les longs posts sont aussi excellents que ses blagues prétend que les "symboles" qu’on voit partout ne seraient pas nécessairement, consciemment et/ou volontairement satanistes : je le rejoins sur cette idée que dans la masse d’idiots utiles au "système" tous ne sont pas et/ou ne peuvent pas être "initiés" et participer d’un projet dont ils seraient délibérément acteurs. Il y a sans doute une part d’ignorance, de sensationnel, de mimétisme et au final : de manipulation. Ceci vaut tant pour les propagateurs de cette symbolique que pour ceux qui la dénoncent sans discernement en prétendant que tous seraient adeptes voire gourous de haut niveau d’un culte obscure ou lumineux — au choix — dont ils seraient autant d’âmes conscientes et de têtes pensantes. Toutefois et en gardant bien cette mesure dans un coin de ma tête, je partage cette idée émise par Nigari que ce renversement du sens, des valeurs et des repères dont nous sommes les témoins en ces temps troublés sont préoccupants et ce qu’ils soient ou non le fait d’un projet de tous ou seulement de quelques-uns. Il semble évident en tout cas et compte tenu de l’effet de masse que tout cela participe d’une volonté. La question est peut-être davantage de savoir si Lady Gaga fait partie de cette volonté ou des effets induits par elle.
     
    En tant qu’agnostique, je m’étonne de ce que beaucoup de ceux qui critiquent les obsédés du symbole "illuminati" le font en faisant souvent référence à la Bible ou à d’autres mythologies. Peut-être ma connaissance en est-elle trop limitée, mais j’ai le sentiment qu’elles font partie du problème. Le Dieu que l’Ancien Testament nous présente comme miséricordieux fait par exemple preuve d’assez peu de compassion, suffit de lire la Genèse pour s’en apercevoir. Sa colère est terrible, son courroux éternel, et il châtie non seulement le pécheur mais avec lui toutes les générations qu’il engendre. Il n’aime pas que l’homme accède à la connaissance. Et pour éviter qu’il n’y accède de nouveau, ou qu’il s’affranchisse de sa condition de mortel — pour éviter en fait que l’homme ne devienne Dieu ou que ceux qui sont en bas "au sol" ne s’élèvent —, il le contraint à travailler chaque jour de sa vie. (Sauf le dimanche : "jour du Seigneur" donc voué à la commémoration de Dieu et de "notre" offense.) C’est la punition éternelle de ce Dieu-là pour avoir accédé malencontreusement à la connaissance qu’Il se réservait.
     
    Je trouve ce Dieu bizarre et pour être très franc : j’ai le sentiment que cette mythologie monothéiste pose les bases d’une condition de crainte, d’interdiction d’accès à la connaissance, et de travail pour empêcher d’y revenir. Comme autant de choses qui président à la manière dont nos élites nous gouvernent encore aujourd’hui, càd par la crainte que les choses ne s’enveniment si d’aventure il nous prenait l’envie de penser par nous-mêmes, ce dont le travail — heureusement ! — nous empêche par manque de temps pour méditer ou réfléchir. Je me demande parfois si la grande "révélation" promise par le Nouveau Testament ne consisterait pas à dire que tout ce qui nous a été présenté comme vrai depuis la Genèse est faux et inversement. Que Dieu serait en fait cruel, pas miséricordieux ; et que Satan peut-être à l’instar de Prométhée (l’un portant la lumière et l’autre le feu) ne voulait après tout que le meilleur pour nous autres, pauvres mortels. Que le Dieu dont on nous prédit le règne après cette révélation serait en fait plus proche de notre représentation du Mal que du Bien, induite — ironiquement — par l’étude du Livre et des repères qu’il installe. Et surtout : que ni ce Dieu ni Satan n’existent, mais qu’ils ont été des mythes fort utiles pour nous asservir en jouant sur la crainte d’un "au-dessus" qui n’existe pas. Ou s’il existe : sous une forme et un nom différents de ceux que des hommes ont décidé de lui donner.
     
    Mon sentiment en gros et à ce jour, c’est que le Dieu unique introduit par la Bible n’est pas celui qui viendra chasser le mensonge : Il est lui-même la première pierre de ce mensonge. Une construction humaine posant les bases d’un schéma social — au sens large — qui serait un peu le mode d’emploi des outils de domination. Il est à noter aussi que l’individualisme résulte en partie de cette influente mythologie, Dieu donnant à l’homme l’ordre de "dominer" sur toutes les espèces de la terre, de l’air et des mers, ainsi qu’accessoirement sur sa propre femme. (Figure pécheresse par excellence aux yeux de Dieu ; aux miens : figure d’amour et de tempérance.) Dire que l’individualisme serait un signe de la présence du Diable parmi nous me semble donc en ce sens discutable : ce pourrait être aussi bien et simplement le résultat de notre obéissance au commandement de Dieu que de placer l’homme — en tant qu’espèce ou en tant qu’individu — au centre de notre paradigme social et cosmique. Soit dit sans intention d’offense et d’avance pardon pour ce que mon post peut avoir d’inculte, d’HS ou de brouillon — j’ai juste l’impression que les mensonges d’aujourd’hui sont un peu les vérités d’hier et inversement.



  • 1 vote
    lloyd henreid lloyd henreid 22 juillet 2013 15:27

    « Quelque chose qui était une religion et un élan se change en une idéologie, et une idéologie totalitaire, et il faut avoir le courage de dire que l’islam est devenu une idéologie totalitaire. »
     
    C’était également le cas du christianisme avec les croisades et autres tentatives d’évangélisation forcée. Je concède que le pire de cet "élan" appartient à l’histoire, c’est du passé, mais c’est aussi le cas du judaïsme et de l’idéologie sioniste qui aujourd’hui s’exprime de façon vigoureuse. Il faut aussi avoir le courage de le dire, et pas seulement répéter ce dont "tout le monde parle" — pour reprendre le titre de l’émission.
     
    « Allah dit ceci : "Si tu crains que ta femme puisse te désobéir, enferme-la dans sa chambre et frappe-la." Il faut le savoir, c’est dans le Coran. »
     
    Il faut savoir aussi que dans les textes judéo-chrétiens de l’Ancien Testament, il est écrit :
     
    « Il [Dieu] dit à la femme : J’augmenterai la souffrance de tes grossesses, tu enfanteras avec douleur, et tes désirs se porteront vers ton mari, mais il dominera sur toi. Il dit à l’homme : Puisque tu as écouté la voix de ta femme, et que tu as mangé de l’arbre au sujet duquel je t’avais donné cet ordre : Tu n’en mangeras point ! le sol sera maudit à cause de toi. C’est à force de peine que tu en tireras ta nourriture tous les jours de ta vie, il te produira des épines et des ronces, et tu mangeras de l’herbe des champs. C’est à la sueur de ton visage que tu mangeras du pain, jusqu’à ce que tu retournes dans la terre, d’où tu as été pris ; car tu es poussière, et tu retourneras dans la poussière. Adam donna à sa femme le nom d’Eve : car elle a été la mère de tous les vivants. » (Genèse 3.16 à 3.20, je souligne.)
     
    On peut pas dire que ce chapitre qui est l’un des premiers, donc un pilier de la mythologie judéo-chrétienne, soit un modèle en matière de respect de la femme. Ce que l’Ancien Testament s’empresse de nous dire, c’est que la femme est une pécheresse et qu’à moins de la surveiller de près, et de la dominer, son mari l’homme court à sa perte. Aussi Dieu lui ordonne-t-il de la "cadrer" et cette domination s’exerce jusqu’au nom qu’Adam lui-même (= l’homme) choisit pour Eve (= "sa" femme) comme s’il venait de s’offrir un chien et qu’il l’appelait Croquette "parce qu’il aime bien manger" — j’extrapole un peu mais vous voyez l’idée.
     
    Je ne nie pas l’existence d’une certaine forme d’intégrisme dans l’islam, et salue d’ailleurs les propos plus mesurés de l’auteur qui ensuite, précise bien que la plupart des citoyens issus de l’immigration n’en ont cure : ils veulent juste vivre tranquillement et "en paix" dans le respect des lois de la République. C’est également vrai pour certaines de mes amies algériennes qui se sentent étouffées par l’obligation de ne pas manger ni boire en cette période de ramadan. Je regrette juste comme toujours le côté partisan et finalement peu courageux d’E&D qui reste dans l’enfoncement de portes ouvertes (= "tout le monde en parle" DÉJÀ !!) en omettant soigneusement de relater ces nuances et en poussant jusqu’à une certaine forme de mystification :
     
    « Hasard ou coïncidence qu’il se soit donné la mort en plein ramadan, personne ne le saura jamais. »
     
    Personne ne le saura jamais mais je le dis quand même, et avec courage : ce sont peut-être les musulmans [sans distinction] qui ont en quelque sorte assassiné monsieur Léger. Ou comment réduire l’intelligence à la bêtise, la profondeur au superficiel, l’honnêteté à la récupération partisane, le tragique au sensationnel, la dignité à l’indécence.
     
    Pour n’être pas étranger aux idées suicidaires, je compatis et souhaite qu’il ait trouvé le repos.



  • 6 votes
    lloyd henreid lloyd henreid 17 juillet 2013 19:35

    Pas encore vu la vidéo mais rien que l’auteur et les premiers commentaires... et puis surtout l’intro : une demi-heure pour "tout comprendre" dont "toute l’histoire de la région", ouais, sûrement. On imagine bien qu’en trente minutes des millénaires seront parfaitement résumés. Intégralement bien sûr. Et surtout "sans parti pris", je fais confiance à Enquête & Débats pour ça.



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    lloyd henreid lloyd henreid 14 juillet 2013 19:36

    1) Je n’ai pas peur, c’est juste désagréable :)
     
    2) Il y aura TOUJOURS des rapports de force et des obligations, ne serait-ce parce qu’il faut manger pour vivre. Ce monde n’est pas tendre, on n’y est jamais vraiment libre. Le revenu de base permettrait d’instaurer le principe que chacun a le droit de vivre et de faire protéger ce principe par l’État càd par une autorité "élue" donc idéalement révocable. Il faut bien sûr compléter ceci par un travail sur la "vraie" démocratie à mener en parallèle.
     
    3) Merci d’avoir précisé votre définition.
     
    4) Le revenu de base permettrait à ceux qui veulent faire vivre la culture, pour reprendre l’exemple, de s’affranchir justement du système médiatique au sens large : maisons de disque, d’édition etc. — en leur donnant la possibilité de se "vendre" directement sans crainte de se retrouver sans rien du tout en cas d’échec. S’ils ont du succès et parviennent à vendre des livres, des disques ou des strings Hello Kitty ® leur revenu de base sera augmenté en fonction de leurs bénéfices. S’ils n’y arrivent pas, ils pourront au moins "tenter le coup" sans crainte de se planter et de vivre à la rue. Ceci permettrait justement aux artistes de travailler en toute liberté sans contrainte de devoir se plier aux exigences des faiseurs d’une "mode" devenue débilitante et ne faisant certainement pas honneur à l’art. Ce serait un moyen de libérer des créations qui n’entrant pas dans le moule, pour l’heure, parviennent difficilement à s’exprimer.
     
    5) Là-dessus, je vous rejoins (encore) totalement. La question du tirage au sort pour une "vraie" démocratie peut sembler étrange de prime abord, mais je vous recommande les entretiens d’Étienne Chouard à ce sujet. Je trouvais ça risible jusqu’à ce que je l’entende... et non : je ne travaille pas pour faire sa pub ^^ au cas où vous vous poseriez la question.
     
    Merci pour vos réponses et @ bientôt peut-être !



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    lloyd henreid lloyd henreid 14 juillet 2013 19:11

    Re-bonjour micnet :) et ceci sera probablement ma dernière intervention. J’écris trop et trop long et ça me fait bobo ma tête !
     
    « Donc quand je lis que cette Europe est de tendance libérale : je me marre !! »
     
    Ça me fait aussi marrer... ou pleurer, ça dépend. Surtout quand les gens marchent à fond dans la combine. Je préfère le terme de "néo-libéral" car la concurrence n’est ni libre, ni non-faussée. Je pense que le système est analogue au fascisme — la violence en moins... pour l’instant — dans la mesure où l’État fait le jeu des corporations au lieu de jouer son rôle de régulateur. Il en résulte un "faisceau" de pouvoirs économiques, politiques et médiatiques sans plus aucun contre-pouvoir réel et efficace, qui aboutit au deuxième point sur lequel je vous réponds.
     
    « Savez-vous que M. Thatcher a toujours été opposée à cette union européenne qui a été mise en place et qu’elle a été une des seules, sinon LA seule parmi les chefs d’état d’alors à s’opposer de front à Jacques Delors ? Savez-vous qu’elle a toujours plaidé pour une Europe des états-nations indépendants ?  »
     
    Je laisse le cours d’histoire de côté, mais simplement : je faisais allusion à Maggie — paix à son âme — pour illustrer cette idée, prégnante aujourd’hui, qu’il n’y aurait aucune alternative au système en place. L’acronyme TINA nous vient bel et bien de Mme Thatcher et résume tout à fait cet état d’esprit. Je vous renvoie au post d’Éric qui me demande si je préfère perdre les transports, la police, l’armée, ou bien la santé ? Il part du principe qu’on n’a pas d’autre choix que celui de perdre quelque chose, fort bien, c’est un point de vue. Mais je ne le partage pas.
     
    « De nouveau, avez-vous lu le lien de l’article ci-dessus ? Il est notamment fait mention d’une dette de 26 milliards en 2003. Certes cela fait 10 ans maintenant mais est-on sûr que c’est mieux aujourd’hui ? Pensez-vous sérieusement qu’une entreprise privée accusant une dette pareille serait viable ? »
     
    Je répondrais que non, après tout dépend des soutiens dont elle bénéficie, de ses perspectives en termes de recettes etc. — et je ne suis pas non plus trader hein, je précise :) donc je n’ai pas réponse à tout mais essaie simplement d’exercer mon esprit critique et ma logique. Simplement et pour en revenir à votre propos : vous partez une fois de plus de l’idée selon laquelle "parce que la SNCF est endettée, la seule solution" consisterait à privatiser. Il n’y a pas d’autre choix, on en revient toujours au même. De mon point de vue l’on pourrait aussi renflouer les caisses de la SNCF — comme celles de l’État — si nous en avions les moyens. Et je pense que nous aurions davantage de moyens si au lieu de nous laisser constamment piller par des fortunes privées (pardon mais encore une fois : les milliardaires sont assez rarement fonctionnaires !) auxquelles on redemande ensuite de nous prêter des sous avec des intérêts donc de la dette et ainsi de suite — on disait "stop" et fin de l’orgie capitaliste. C’est schématique, OK — c’est de l’idéologie aussi. Mon point est simplement de vous dire, et ce, dans le respect de votre opinion, que celle-ci relève d’un choix et que d’autres sont possibles ou à tout le moins envisageables. Certains n’ont plus d’argent parce que d’autres en ont trop, et je ne pense pas qu’on résolve le problème en leur donnant le peu qu’il nous reste càd notre patrimoine.
     
    « ---> Entre idéologues, on devrait s’entendre  (je plaisante). Plus sérieusement, comprenez-moi bien : lorsque je dis qu’une privatisation OBLIGERAIT le nouvel actionnaire à plus de précautions, j’espère que vous avez bien compris que cette obligation ne vient pas d’une quelconque ’vertu’ dudit actionnaire mais bien du fait qu’il n’aurait pas d’autres choix, sous peine d’en subir de lourdes conséquences financières ! [...] Et donc lorsque je dis qu’une entreprise privée serait obligée de tout mettre en oeuvre pour que ce service fonctionne, pensez-vous sérieusement que je fasse de l’idéologie ? Moi j’ai l’impression d’avoir une approche plutôt pragmatique mais sans doute ai-je tort... »
     
    Il y a toujours une part d’idéologie dès lors qu’on "choisit" une solution plutôt qu’une autre. Je ne vous en tiens donc pas rigueur et inversement, j’espère que vous non plus. Plus jeune, ado en particulier, j’étais idéologue : sensibilité de "gauche" jusqu’à ce que je me rende compte que ça ne veut plus rien dire. Puis j’ai été contre le "libéralisme" jusqu’à ce qu’en débattant ainsi que nous le faisons, je réalise — magie de la contradiction ! — que le système en place n’a de libéral que le nom et le sacro-saint principe de liberté de s’enrichir démesurément au fond du fond. La liberté s’arrête pour vous et moi dès lors que nous nous penchons pour cueillir une fleur dont le brevet est détenu par Monsanto, si vous voyez ce que je veux dire. Mon analyse sur ce fil se veut pragmatique, il y a sans doute une part d’idéologie mais vraiment et très sincèrement, je ne défends aucun parti ni rien de ce genre. Je suis juste convaincu par le cheminement logique que je vous livre, que privatiser ne fera que nous emmener dans le mur encore plus vite. Non par le jeu de la libre concurrence mais par celui du fruit pourri qui gâte le panier. Je crois sans idéologie aucune que l’État, pragmatiquement doit jouer un rôle de contre-pouvoir et réguler un minimum l’économie. Je ne sais plus quel économiste, pourtant pas de gauche, disait qu’au fond c’est un peu comme un match de boxe : un combat mais sur un ring avec des règles et un arbitre qui veille au respect de ces règles. Il définissait le système en place partant de là en disant : on a supprimé le ring (= mondialisation), les règles (= jeu de la soi-disant concurrence "libre et non faussée"), l’arbitre (= l’État qui renonce à son rôle), et ça devient une rixe ou quelque chose de ce genre. C’est une analyse très pragmatique à laquelle je souscris et elle fait partie des éléments qui guident mon "choix" sur un plan plus idéologique. Sachant aussi que je crois surtout à l’équilibre entre pouvoirs et contre-pouvoirs : si l’État avait a contrario "trop" de pouvoirs et qu’il écrasait l’économie par exemple, je plaiderais pour un peu plus de libéralisme. En l’occurrence ce que je constate chaque jour, c’est des réformes "courageuses" qui vont TOUJOURS dans le sens de libérer — encore un peu plus — l’économie, d’alléger les charges sociales, de repousser l’âge de départ à la retraite et d’autre part : des articles expliquant qu’il y a eu plus de milliardaires cette année et que les ventes de voitures neuves ont chuté sauf haut-de-gamme et 4x4 de ville. La paupérisation est un danger et le social, une composante aussi de l’équilibre précaire. Si "vous" continuez dans l’extrême libéral en négligeant la base du social càd le nombre, les masses, les 99,9999% — alors je vous garantis que la lutte des classes deviendra à terme telle que le police et l’armée n’y pourront plus rien faire. Ordo ab chaos, c’est en tout cas ma conviction.
     
    Un grand merci pour vos réponses, votre patience, et votre ouverture d’esprit.
     
    Bien cordialement.

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