Rédaction | Depuis | Articles publiés | Commentaires postés | Commentaires reçus |
---|---|---|---|---|
L'inscription | 1 | 88 | 13 | |
1 mois | 0 | 0 | 0 | |
5 jours | 0 | 0 | 0 |
4292 visites 5 oct. 2013 | 13 réactions | lloyd henreid + Partager
Pas encore vu la vidéo mais je me suis encore bien régalé avec les commentaires :)
J’ai
le sentiment que chacun porte un bout de vérité, et que cette vérité —
ironiquement — est dans l’union de vos contraires comme l’insinuait
(volontairement ?) Gollum parlant du Taoïsme. Gaspard dont les longs
posts sont aussi excellents que ses blagues prétend que les "symboles"
qu’on voit partout ne seraient pas nécessairement, consciemment et/ou
volontairement satanistes : je le rejoins sur cette idée que dans la
masse d’idiots utiles au "système" tous ne sont pas et/ou ne peuvent pas
être "initiés" et participer d’un projet dont ils seraient délibérément
acteurs. Il y a sans doute une part d’ignorance, de sensationnel, de
mimétisme et au final : de manipulation. Ceci vaut tant pour les
propagateurs de cette symbolique que pour ceux qui la dénoncent sans
discernement en prétendant que tous seraient adeptes voire gourous de
haut niveau d’un culte obscure ou lumineux — au choix — dont ils
seraient autant d’âmes conscientes et de têtes pensantes. Toutefois et
en gardant bien cette mesure dans un coin de ma tête, je partage cette
idée émise par Nigari que ce renversement du sens, des valeurs et des
repères dont nous sommes les témoins en ces temps troublés sont
préoccupants et ce qu’ils soient ou non le fait d’un projet de tous ou
seulement de quelques-uns. Il semble évident en tout cas et compte tenu
de l’effet de masse que tout cela participe d’une volonté. La question
est peut-être davantage de savoir si Lady Gaga fait partie de cette
volonté ou des effets induits par elle.
En tant qu’agnostique,
je m’étonne de ce que beaucoup de ceux qui critiquent les obsédés du
symbole "illuminati" le font en faisant souvent référence à la Bible ou à
d’autres mythologies. Peut-être ma connaissance en est-elle trop
limitée, mais j’ai le sentiment qu’elles font partie du problème. Le
Dieu que l’Ancien Testament nous présente comme miséricordieux fait par
exemple preuve d’assez peu de compassion, suffit de lire la Genèse pour
s’en apercevoir. Sa colère est terrible, son courroux éternel, et il
châtie non seulement le pécheur mais avec lui toutes les générations
qu’il engendre. Il n’aime pas que l’homme accède à la connaissance. Et
pour éviter qu’il n’y accède de nouveau, ou qu’il s’affranchisse de sa
condition de mortel — pour éviter en fait que l’homme ne devienne Dieu
ou que ceux qui sont en bas "au sol" ne s’élèvent —, il le contraint à
travailler chaque jour de sa vie. (Sauf le dimanche : "jour du Seigneur"
donc voué à la commémoration de Dieu et de "notre" offense.) C’est la
punition éternelle de ce Dieu-là pour avoir accédé malencontreusement à
la connaissance qu’Il se réservait.
Je trouve ce Dieu bizarre et
pour être très franc : j’ai le sentiment que cette mythologie
monothéiste pose les bases d’une condition de crainte, d’interdiction
d’accès à la connaissance, et de travail pour empêcher d’y revenir.
Comme autant de choses qui président à la manière dont nos élites nous
gouvernent encore aujourd’hui, càd par la crainte que les choses ne
s’enveniment si d’aventure il nous prenait l’envie de penser par
nous-mêmes, ce dont le travail — heureusement ! — nous empêche par
manque de temps pour méditer ou réfléchir. Je me demande parfois si la
grande "révélation" promise par le Nouveau Testament ne consisterait pas
à dire que tout ce qui nous a été présenté comme vrai depuis la Genèse
est faux et inversement. Que Dieu serait en fait cruel, pas
miséricordieux ; et que Satan peut-être à l’instar de Prométhée (l’un
portant la lumière et l’autre le feu) ne voulait après tout que le
meilleur pour nous autres, pauvres mortels. Que le Dieu dont on nous
prédit le règne après cette révélation serait en fait plus proche de
notre représentation du Mal que du Bien, induite — ironiquement — par
l’étude du Livre et des repères qu’il installe. Et surtout : que ni ce
Dieu ni Satan n’existent, mais qu’ils ont été des mythes fort utiles
pour nous asservir en jouant sur la crainte d’un "au-dessus" qui
n’existe pas. Ou s’il existe : sous une forme et un nom différents de
ceux que des hommes ont décidé de lui donner.
Mon sentiment en
gros et à ce jour, c’est que le Dieu unique introduit par la Bible n’est
pas celui qui viendra chasser le mensonge : Il est lui-même la première
pierre de ce mensonge. Une construction humaine posant les bases d’un
schéma social — au sens large — qui serait un peu le mode d’emploi des
outils de domination. Il est à noter aussi que l’individualisme résulte
en partie de cette influente mythologie, Dieu donnant à l’homme l’ordre
de "dominer" sur toutes les espèces de la terre, de l’air et des mers,
ainsi qu’accessoirement sur sa propre femme. (Figure pécheresse par
excellence aux yeux de Dieu ; aux miens : figure d’amour et de
tempérance.) Dire que l’individualisme serait un signe de la présence du
Diable parmi nous me semble donc en ce sens discutable : ce pourrait
être aussi bien et simplement le résultat de notre obéissance au
commandement de Dieu que de placer l’homme — en tant qu’espèce ou en
tant qu’individu — au centre de notre paradigme social et cosmique. Soit
dit sans intention d’offense et d’avance pardon pour ce que mon post
peut avoir d’inculte, d’HS ou de brouillon — j’ai juste l’impression que
les mensonges d’aujourd’hui sont un peu les vérités d’hier et
inversement.
« Quelque chose qui était une religion et un élan se change en une
idéologie, et une idéologie totalitaire, et il faut avoir le courage de
dire que l’islam est devenu une idéologie totalitaire. »
C’était
également le cas du christianisme avec les croisades et autres
tentatives d’évangélisation forcée. Je concède que le pire de cet "élan"
appartient à l’histoire, c’est du passé, mais c’est aussi le cas du
judaïsme et de l’idéologie sioniste qui aujourd’hui s’exprime de façon
vigoureuse. Il faut aussi avoir le courage de le dire, et pas seulement
répéter ce dont "tout le monde parle" — pour reprendre le titre de
l’émission.
« Allah dit ceci : "Si tu crains que ta femme puisse
te désobéir, enferme-la dans sa chambre et frappe-la." Il faut le
savoir, c’est dans le Coran. »
Il faut savoir aussi que dans les textes judéo-chrétiens de l’Ancien Testament, il est écrit :
« Il [Dieu] dit à la femme : J’augmenterai la souffrance de tes
grossesses, tu enfanteras avec douleur, et tes désirs se porteront vers
ton mari, mais il dominera sur toi. Il dit à l’homme : Puisque tu
as écouté la voix de ta femme, et que tu as mangé de l’arbre au sujet
duquel je t’avais donné cet ordre : Tu n’en mangeras point ! le sol sera
maudit à cause de toi. C’est à force de peine que tu en tireras ta
nourriture tous les jours de ta vie, il te produira des épines et des
ronces, et tu mangeras de l’herbe des champs. C’est à la sueur de ton
visage que tu mangeras du pain, jusqu’à ce
que tu retournes dans la terre, d’où tu as été pris ; car tu es
poussière, et tu retourneras dans la poussière. Adam donna à sa femme le nom d’Eve : car elle a été la mère de tous les vivants. » (Genèse 3.16 à 3.20, je souligne.)
On
peut pas dire que ce chapitre qui est l’un des premiers, donc un pilier
de la mythologie judéo-chrétienne, soit un modèle en matière de respect
de la femme. Ce que l’Ancien Testament s’empresse de nous dire, c’est
que la femme est une pécheresse et qu’à moins de la surveiller de près,
et de la dominer, son mari l’homme court à sa perte. Aussi Dieu lui
ordonne-t-il de la "cadrer" et cette domination s’exerce jusqu’au nom
qu’Adam lui-même (= l’homme) choisit pour Eve (= "sa" femme) comme s’il
venait de s’offrir un chien et qu’il l’appelait Croquette "parce qu’il
aime bien manger" — j’extrapole un peu mais vous voyez l’idée.
Je
ne nie pas l’existence d’une certaine forme d’intégrisme dans l’islam,
et salue d’ailleurs les propos plus mesurés de l’auteur qui ensuite,
précise bien que la plupart des citoyens issus de l’immigration n’en ont
cure : ils veulent juste vivre tranquillement et "en paix" dans le
respect des lois de la République. C’est également vrai pour certaines
de mes amies algériennes qui se sentent étouffées par l’obligation de ne
pas manger ni boire en cette période de ramadan. Je regrette juste
comme toujours le côté partisan et finalement peu courageux d’E&D
qui reste dans l’enfoncement de portes ouvertes (= "tout le monde en
parle" DÉJÀ !!) en omettant soigneusement de relater ces nuances et en
poussant jusqu’à une certaine forme de mystification :
« Hasard ou coïncidence qu’il se soit donné la mort en plein ramadan, personne ne le saura jamais. »
Personne
ne le saura jamais mais je le dis quand même, et avec courage : ce sont
peut-être les musulmans [sans distinction] qui ont en quelque sorte
assassiné monsieur Léger. Ou comment réduire l’intelligence à la bêtise,
la profondeur au superficiel, l’honnêteté à la récupération partisane,
le tragique au sensationnel, la dignité à l’indécence.
Pour n’être pas étranger aux idées suicidaires, je compatis et souhaite qu’il ait trouvé le repos.
Pas encore vu la vidéo mais rien que l’auteur et les premiers commentaires... et puis surtout l’intro : une demi-heure pour "tout comprendre" dont "toute l’histoire de la région", ouais, sûrement. On imagine bien qu’en trente minutes des millénaires seront parfaitement résumés. Intégralement bien sûr. Et surtout "sans parti pris", je fais confiance à Enquête & Débats pour ça.
1) Je n’ai pas peur, c’est juste désagréable :)
2) Il y aura TOUJOURS des rapports de force et des obligations, ne serait-ce parce qu’il faut manger pour vivre. Ce monde n’est pas tendre, on n’y est jamais vraiment libre. Le revenu de base permettrait d’instaurer le principe que chacun a le droit de vivre et de faire protéger ce principe par l’État càd par une autorité "élue" donc idéalement révocable. Il faut bien sûr compléter ceci par un travail sur la "vraie" démocratie à mener en parallèle.
3) Merci d’avoir précisé votre définition.
4) Le revenu de base permettrait à ceux qui veulent faire vivre la culture, pour reprendre l’exemple, de s’affranchir justement du système médiatique au sens large : maisons de disque, d’édition etc. — en leur donnant la possibilité de se "vendre" directement sans crainte de se retrouver sans rien du tout en cas d’échec. S’ils ont du succès et parviennent à vendre des livres, des disques ou des strings Hello Kitty ® leur revenu de base sera augmenté en fonction de leurs bénéfices. S’ils n’y arrivent pas, ils pourront au moins "tenter le coup" sans crainte de se planter et de vivre à la rue. Ceci permettrait justement aux artistes de travailler en toute liberté sans contrainte de devoir se plier aux exigences des faiseurs d’une "mode" devenue débilitante et ne faisant certainement pas honneur à l’art. Ce serait un moyen de libérer des créations qui n’entrant pas dans le moule, pour l’heure, parviennent difficilement à s’exprimer.
5) Là-dessus, je vous rejoins (encore) totalement. La question du tirage au sort pour une "vraie" démocratie peut sembler étrange de prime abord, mais je vous recommande les entretiens d’Étienne Chouard à ce sujet. Je trouvais ça risible jusqu’à ce que je l’entende... et non : je ne travaille pas pour faire sa pub ^^ au cas où vous vous poseriez la question.
Merci pour vos réponses et @ bientôt peut-être !
Re-bonjour micnet :) et ceci sera probablement ma dernière intervention. J’écris trop et trop long et ça me fait bobo ma tête !
« Donc quand je lis que cette Europe est de tendance libérale : je me marre !! »
Ça
me fait aussi marrer... ou pleurer, ça dépend. Surtout quand les gens
marchent à fond dans la combine. Je préfère le terme de "néo-libéral"
car la concurrence n’est ni libre, ni non-faussée. Je pense que le
système est analogue au fascisme — la violence en moins... pour
l’instant — dans la mesure où l’État fait le jeu des corporations au
lieu de jouer son rôle de régulateur. Il en résulte un "faisceau" de
pouvoirs économiques, politiques et médiatiques sans plus aucun
contre-pouvoir réel et efficace, qui aboutit au deuxième point sur
lequel je vous réponds.
« Savez-vous que M. Thatcher a toujours été opposée à
cette union européenne qui a été mise en place et qu’elle a été une des
seules, sinon LA seule parmi les chefs d’état d’alors à s’opposer de
front à Jacques Delors ? Savez-vous qu’elle a toujours plaidé pour une
Europe des états-nations indépendants ? »
Je
laisse le cours d’histoire de côté, mais simplement : je faisais
allusion à Maggie — paix à son âme — pour illustrer cette idée,
prégnante aujourd’hui, qu’il n’y aurait aucune alternative au système en
place. L’acronyme TINA
nous vient bel et bien de Mme Thatcher et résume tout à fait cet état
d’esprit. Je vous renvoie au post d’Éric qui me demande si je préfère
perdre les transports, la police, l’armée, ou bien la santé ? Il part du
principe qu’on n’a pas d’autre choix que celui de perdre quelque chose,
fort bien, c’est un point de vue. Mais je ne le partage pas.
« De nouveau, avez-vous lu le lien de l’article ci-dessus ? Il est notamment fait mention d’une dette de 26 milliards en
2003. Certes cela fait 10 ans maintenant mais est-on sûr que c’est
mieux aujourd’hui ? Pensez-vous sérieusement qu’une entreprise privée
accusant une dette pareille serait viable ? »
Je
répondrais que non, après tout dépend des soutiens dont elle bénéficie,
de ses perspectives en termes de recettes etc. — et je ne suis pas non
plus trader hein, je précise :) donc je n’ai pas réponse à tout mais
essaie simplement d’exercer mon esprit critique et ma logique.
Simplement et pour en revenir à votre propos : vous partez une fois de
plus de l’idée selon laquelle "parce que la SNCF est endettée, la seule
solution" consisterait à privatiser. Il n’y a pas d’autre choix, on en
revient toujours au même. De mon point de vue l’on pourrait aussi
renflouer les caisses de la SNCF — comme celles de l’État — si nous en
avions les moyens. Et je pense que nous aurions davantage de moyens si
au lieu de nous laisser constamment piller par des fortunes privées
(pardon mais encore une fois : les milliardaires sont assez rarement
fonctionnaires !) auxquelles on redemande ensuite de nous prêter des
sous avec des intérêts donc de la dette et ainsi de suite — on disait
"stop" et fin de l’orgie capitaliste. C’est schématique, OK — c’est de
l’idéologie aussi. Mon point est simplement de vous dire, et ce, dans le
respect de votre opinion, que celle-ci relève d’un choix et que
d’autres sont possibles ou à tout le moins envisageables. Certains n’ont
plus d’argent parce que d’autres en ont trop, et je ne pense pas qu’on
résolve le problème en leur donnant le peu qu’il nous reste càd notre
patrimoine.
« ---> Entre idéologues, on devrait s’entendre
(je plaisante). Plus sérieusement, comprenez-moi bien : lorsque je dis
qu’une privatisation OBLIGERAIT le nouvel actionnaire à plus de
précautions, j’espère que vous avez bien compris que cette obligation ne
vient pas d’une quelconque ’vertu’ dudit actionnaire mais bien du fait
qu’il n’aurait pas d’autres choix, sous peine d’en subir de lourdes
conséquences financières ! [...] Et donc lorsque je dis
qu’une entreprise privée serait obligée de tout mettre en oeuvre pour
que ce service fonctionne, pensez-vous sérieusement que je fasse de
l’idéologie ? Moi j’ai l’impression d’avoir une approche plutôt
pragmatique mais sans doute ai-je tort... »
Il y a
toujours une part d’idéologie dès lors qu’on "choisit" une solution
plutôt qu’une autre. Je ne vous en tiens donc pas rigueur et
inversement, j’espère que vous non plus. Plus jeune, ado en particulier,
j’étais idéologue : sensibilité de "gauche" jusqu’à ce que je me rende
compte que ça ne veut plus rien dire. Puis j’ai été contre le
"libéralisme" jusqu’à ce qu’en débattant ainsi que nous le faisons, je
réalise — magie de la contradiction ! — que le système en place n’a de
libéral que le nom et le sacro-saint principe de liberté de s’enrichir
démesurément au fond du fond. La liberté s’arrête pour vous et moi dès
lors que nous nous penchons pour cueillir une fleur dont le brevet est
détenu par Monsanto, si vous voyez ce que je veux dire. Mon analyse sur
ce fil se veut pragmatique, il y a sans doute une part d’idéologie mais
vraiment et très sincèrement, je ne défends aucun parti ni rien de ce
genre. Je suis juste convaincu par le cheminement logique que je vous
livre, que privatiser ne fera que nous emmener dans le mur encore plus
vite. Non par le jeu de la libre concurrence mais par celui du fruit
pourri qui gâte le panier. Je crois sans idéologie aucune que l’État,
pragmatiquement doit jouer un rôle de contre-pouvoir et réguler un
minimum l’économie. Je ne sais plus quel économiste, pourtant pas de
gauche, disait qu’au fond c’est un peu comme un match de boxe : un
combat mais sur un ring avec des règles et un arbitre qui veille au
respect de ces règles. Il définissait le système en place partant de là
en disant : on a supprimé le ring (= mondialisation), les règles (= jeu
de la soi-disant concurrence "libre et non faussée"), l’arbitre (=
l’État qui renonce à son rôle), et ça devient une rixe ou quelque chose
de ce genre. C’est une analyse très pragmatique à laquelle je souscris
et elle fait partie des éléments qui guident mon "choix" sur un plan
plus idéologique. Sachant aussi que je crois surtout à l’équilibre entre
pouvoirs et contre-pouvoirs : si l’État avait a contrario "trop" de
pouvoirs et qu’il écrasait l’économie par exemple, je plaiderais pour un
peu plus de libéralisme. En l’occurrence ce que je constate chaque
jour, c’est des réformes "courageuses" qui vont TOUJOURS dans le sens de
libérer — encore un peu plus — l’économie, d’alléger les charges
sociales, de repousser l’âge de départ à la retraite et d’autre part :
des articles expliquant qu’il y a eu plus de milliardaires cette année
et que les ventes de voitures neuves ont chuté sauf haut-de-gamme et 4x4
de ville. La paupérisation est un danger et le social, une composante
aussi
de l’équilibre précaire. Si "vous" continuez dans l’extrême libéral en
négligeant la base du social càd le nombre, les masses, les 99,9999% —
alors je vous garantis que la lutte des classes deviendra à terme telle
que le police et l’armée n’y pourront plus rien faire. Ordo ab chaos,
c’est en tout cas ma conviction.
Un grand merci pour vos réponses, votre patience, et votre ouverture d’esprit.
Bien cordialement.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération