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njama

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  • Premier article le 22/02/2016
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    njama 8 avril 2014 08:12

    les filles sont en général beaucoup plus piplette que les garçons ... ce qui suppose une plus grande habilité du langage oral, donc d’avoir des ressources en vocabulaire plus importante ...
    c’est peut-être là que se joue la différence avec les garçons, mais on ne peut pas dire que ce soit une question de sexe proprement dite, parce qu’il y a des garçons très bavards aussi.



  • 2 votes
    njama 8 avril 2014 08:05

    d’après ce que j’ai lu de son profil, JL Auduc est directeur adjoint de l’IUFM de Créteil
    .
    Ce qu’il constate en banlieue (parisienne) n’est pas forcément constaté ailleurs, c’est là que sa thèse est très caduque.

    .

    dont la méthode mixte de lecture, dite semi-globale, semblerait exacerber ces différences garçons-filles.

    beaucoup d’enseignants de CP ne pourraient cautionner cette projection. Tous les enfants savent déchiffrer, mais un bon nombre ânonnent et ne comprennent pas ce qu’ils lisent. Quand on dit et entend que les élèves ne savent pas lire en fin de primaire, c’est de cela qu’on parle, parce qu’il savent tous déchiffrer, mais ils captent plus ou moins bien le sens de ce qu’ils lisent. Alors, oui, forcément c’est problématique pour la suite !

    .

    Le but de la lecture est quand même et surtout de "comprendre". Les enfants qui intègrent le plus vite la lecture sont simplement ceux qui ont le plus de vocabulaire à la base, soit parce qu’ on leur a lu beaucoup d’histoires quand ils étaient petits, ou parce ils ont été beaucoup en contact avec le langage des adultes, dans des situations variées ..., ou pour d’autres raisons qui font qu’ils disposent déjà d’un bon capital de mots ...  le sexe n’a rien à voir là-dedans. Le milieu social pas vraiment non plus, enfin, pas au point d’en faire un facteur déterminant du succès ou de l’échec d’une méthode de lecture ou d’une autre.



  • 6 votes
    njama 7 avril 2014 17:25

    Je n’ai pas lu le livre "Sauvons les garçons", mais un résumé m’en dit qu’apparaît aujourd’hui que les garçons seraient devenus le sexe faible de l’école ... moins bonnes réussites dans les apprentissages que les filles (ah le pôôôvres petits choux ! )

    la méthode mixte de lecture, dite semi-globale, semblerait exacerber ces différences garçons-filles.
    c’est marrant cette attitude systématique de s’en prendre à l’école dès que quelque chose ne fonctionne pas, alors que ces enfants aujourd’hui éduqués dans la mixité depuis les années 70 seulement ont subi eux-mêmes les influences patriarcales de leurs différents milieux qui en avaient gardé pour beaucoup encore un certain nombre de vieux réflexes machos batailleurs...
    L’atavisme a la dent dure, et au plus le milieu véhicule une culture traditionnelle forte, au plus la dent est dure. Aussi, de trouver comme bouc-émissaire une méthode de lecture (qui fonctionne très bien du reste, mais JL Auduc tout directeur adjoint de l’IUFM qu’il est et Agrégé d’histoire est mal placé pour en parler car il ne l’a jamais enseignée) c’est un peu fort facile, car c’est isolé la problématique "intra-muros", abstraction faites de tous facteurs extérieurs familiaux ou non qui pourraient l’influencer. JL Aubrac nous dit que le coupable est à l’intérieur ! ... ce qui est un postulat réducteur à la base !
    .
    On ne sera donc pas surpris que JL Auduc participe à des débats sur la mixité à l’école, ce qui est tout naturel dans l’esprit de sa thèse,  comme celui pour la « Fondation pour l’Ecole », une association libérale, militant pour la création d’écoles « indépendantes » hors-contrat et pour le système du « chèque -éducation », et par l’« Institut libre de formation des maîtres », une structure proche, où il partage l’affiche avec le pdg de l’ EASSE une Association "off-shore"qui fait la promo "all about single-sex education" !
    .
    Les deux principales têtes d’affiche de cet événement sont Jean-David Ponci, délégué général de l’ «  European Association Single Sex Education  », une dénomination exprimant clairement un choix anti-mixité, et... Jean-Louis Auduc, directeur adjoint de l’IUFM de Créteil, auteur notamment de « Sauvons les garçons  » (Descartes & Cie, 2009).

    Jean-David Ponci, 40 ans, est un philosophe suisse, « expert en éducation » et membre « numéraire » de l’Opus Dei (les « numéraires » s’engagent à une vie de célibat et consacrent tout leur temps libre aux activités de l’Oeuvre).

    Il interviendra sur « Les fondements biologiques de l’approche pédagogique garçons - filles ».
    http://education.blog.lemonde.fr/2011/02/17/un-debat-sur-la-mixite-ou-jean-louis-auduc-partage-laffiche-avec-lopus-dei/
    .
    grosso-modo je comprends que l’exposé de JL Auduc qui n’est en rien une thèse universitaire, participe à des visées pour démanteler le principe de la mixité à l’école ...



  • 8 votes
    njama 7 avril 2014 10:09

    je te dis simplement le geste de la quenelle, tu vois, c’est bête que ce mec là, ne le fasse pas devant les organismes bancaires 
    .
    ça va dépendre devant quelles banques il la ferait sa quenelle. Devant le Crédit Patate, ou la Banque Populace, pas de problème, mais devant quelques autres ça pourrait vite être interpré comme un geste antisémite !



  • vote
    njama 6 avril 2014 20:02

    Qui sont les "vrais" terroristes ?
    .
    ces p’tits jeunes de banlieues ne sont que des petits amateurs, des gamins immatures, souvent incultes, et surtout les idiots utiles de quelque chose qui les dépasse complétement

     Syrie : Washington se prépare à intensifier son soutien militaire des groupes armés terroristes

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    Les autorités américaines préparent un plan d’intensification du soutien militaire prêté aux groupes armés en Syrie.
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    Le gouvernement américain met la dernière main à un plan visant à former plus de combattants des bandes armées terroristes en Syrie et à leur livrer davantage d’armes légères, rapporte vendredi l’agence Reuters citant sources bien informées au Pentagone.
    .
    Selon Reuters, le plan prévoit des missions d’entraînement ainsi que des livraisons plus importantes d’armes à feu aux groupes armés terroristes qui sont basés en Jordanie près de la frontière avec la Syrie. Parallèlement, indique l’agence, il n’est pas prévu de livrer des missiles sol-air portables et les lance-roquettes antichar.

    Par ailleurs, les entraînements de ces miliciens se feront avec la participation d’instructeurs militaires en provenance de non seulement des Etats-Unis, mais également de l’Arabie saoudite, de la Jordanie, des Emirats arabes unis et de la France.

    Selon un ancien membre du gouvernement informé du projet, les formations se dérouleront par petits groupes.

    A Washington, le Congrès n’aura pas à débloquer de fonds pour financer les nouvelles aides américaines. « Nous devons maintenant finaliser les plans », a déclaré un membre de l’administration ayant requis l’anonymat.
    .
    Les forces gouvernementales syriennes regagnent du terrain et réalisent des exploits depuis plusieurs mois. Si elle admet que ses projets ne changeront pas fondamentalement le rapport de force, l’administration Obama estime qu’ils augmentent ses chances d’avoir des alliés au pouvoir au cas où le régime de Bachar al Assad viendrait à tomber, dit-on de sources officielles.

    Source : Reuters et rédaction

    http://french.alahednews.com.lb/essaydetails.php?eid=11858&cid=309

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