Après avoir vu le film Hold-Up j’ai cliqué sur un titre annonçant une opposition à ce film. J’ai accès à un plateau sur une chaîne que je vois fréquemment, beaucoup plus riche, semble-t-il, que celle qui montre ici le "Débat".
L’animatrice donne la parole à un jeune homme qui va démontrer un "énorme mensonge" de Hold-Up. On voit un extrait dans lequel une intervenante dit que l’OMS ne préconise pas le port du masque. Puis on voit un texte dans lequel il est manifeste que l’OMS préconise le port du masque. La "preuve" du mensonge contenu dans le film est "flagrante".
Mais je me souviens très bien des deux extraits de l’intervenante : le premier, reproduit pour "démontrer" le mensonge, puis le second où elle dite clairement que l’OMS, maintenant, préconise le port du masque. Cet autre extrait n’est pas reproduit. L’intervenante a montré l’évolution de l’OMS et le jeune homme qui l’accuse en ne montrant pas sa seconde intervention ment de manière manifeste.
Quand l’animatrice reprend la parole elle ne dit rien sur ce vrai énorme mensonge.
Je quitte, écoeuré, cette vidéo et, comme je le fais souvent pour me remonter le moral, je cherche des images de mes peintres préférés...
La "Fraternité Saint Pie X" (FSSPX) rejette encore moins que le Vatican la terrible croyance anti-chrétienne dans les prétendus "bons appels à massacrer" prétendument énoncés par Dieu pour de prétendues "bonnes raisons".
Ce n’est pas dans cette mouvance qu’il faut chercher les moyens de redonner au christianisme sa réalité pacifiante originelle.
Une des raisons pour lesquelles je ne suis plus catho, c’est précisément l’acharnement de l’Église à maintenir la monstrueuse tricherie sur ce point précis.
Cet acharnement est tel que le pape François, dans sa récente encyclique, par ailleurs très riche en spiritualité humaniste, éprouve le besoin de répéter une fois de plus l’énorme mensonge de cette manière :
“La vérité, c’est que la violence ne trouve pas de fondement dans les
convictions religieuses fondamentales, mais dans leurs déformations“.
.../... Il s’en est suivi deux graves dérives théologiques au sein du christianisme :
1/ la haine des Juifs qui n’ont pas suivi Jésus, et
2/ la croyance en "de bonnes violences" à pratiquer en vue du triomphe du christianisme, c’est-à-dire de l’amour dans toute la société humaine. Cette folle conception théologique a bien donné, hélas, de nombreuses pratiques criminelles exercées par des "chrétiens".
La première dérive, l’antisémitisme a enfin, après 19 siècles de pratique, été reconnue et fermement condamnée, rejetée, par le concile Vatican II.
Mais la seconde dérive n’a toujours pas, elle, été reconnue, alors qu’elle est toujours très largement présente dans des pensées et expressions faussement chrétiennes.
C’est au point que le pape François tient à la nier une fois de plus dans son encyclique, alors qu’il devrait se consacrer à la faire disparaître.