Sonya V...

Ils ont toutes les cartes en main pour provoquer le désastre...

Qu’on se doute de leurs mauvaises intentions n’y changera rien, j’en ai bien peur...

Pandémie due au virus ebola. John Kerry prononce un discours au Conseil de sécurité des Nations Unies, brandissant un flacon contenant une souche du virus : "Nous avons la preuve que ce virus vient d’un laboratoire militaire russe".

 

Ouf ! ce n’était qu’un mauvais rêve ; toute ressemblance avec des personnes ou des faits réels ne serait que pure coïncidence...

 

Si Poutine ne fait que répondre aux coups, ils vont continuer à augmenter la mise. Si Poutine prend les devants et fait un pas de travers, il sera tenu responsable du "dérapage fatal". 

 

Il se murmure que la propagation d’un virus type ebola aux USA, pourrait faire passer le pays sous Loi Martiale. 

On dirait bien que ça sent le roussi... (l’escalade avec la Russie + un virus dévastateur qui se réactive juste au bon moment + la dette US ingérable + le dollar et le casino financier qui ne demandent qu’à imploser + la solution désastreuse des gaz et pétrole de schiste...)

   

Free you mind, comme dirait Morpheus. You have to let it all go.

(*) «  Je souhaiterais vous faire part d’une révélation surprenante, j’ai longtemps observé les humains, et ce qui m’est apparu quand j’ai tenté de qualifier votre espèce, c’est que vous n’étiez pas réellement des mammifères… Tous les mammifères sur cette planète ont contribué au développement naturel d’un équilibre avec le reste de leur environnement, mais vous les humains vous êtes différents. Vous vous installez quelque part, et vous vous multipliez, vous vous multipliez, jusqu’à ce que toute vos ressources naturelles soit épuisées, et votre espoir de réussir à survivre, c’est de vous déplacer jusqu’à un autre endroit… Il y a d’autres organismes sur cette planète qui ont adopté cette méthode, vous savez lesquels ?... Les virus. Les humains sont une maladie contagieuse, le cancer de cette planète, vous êtes la peste et nous, nous somme l’antidote !  »

Une partie de moi y aspire.

C’est d’ailleurs là qu’est le problème.

Car une autre partie de moi n’y aspire pas.