Miguel Abensour = gros beurk
Alain Soral = beurk aussi, mais un peu moins
- Est-ce qu’on pourrait m’expliquer le rapport induit entre K. Marx et Miguel Abensour ? Qu’on rigole un peu

Miguel se sert de Marx pour donner une caution à son discours. Ça s’arrête là.
- M. Abensour a écrit une Philosophie politique critique . S’il était honnête, il aurait dû écrire une Critique de la philosophie politique... Désolé, mais ça va être un 0 pour Miguel, copie à revoir.
- M. le Professeur, quelle pédagogie ! C’est sûr que passer de Soral à Abensour, la transition pour vos étudiants va être dure. À ce compte là, redirigez-les directement vers Aymeric Cayron, il s’exprime autrement mieux et son livre
Utopia risque lui d’être lu au moins...
Conclusion : nous avons là une parfaite illustration de ce qu’est l’université française contemporaine. Un cimetière.
Ne lui jetons pas la pierre pour autant. Les travaux de Miguel Abensour méritent un coup d’œil bienveillant, comme pour toute personne qui se présente à nous avec des choses à dire. Il y a juste un problème dans sa démarche.
Le concept d’utopie en soi n’est pas inintéressant. Mais le nec plus ultra, ce qu’on ne trouve rien de mieux à faire, c’est de lui tirer une balle dans la nuque, puis de l’étudier tous ensemble en amphi le mardi après-midi. On se concentre exclusivement sur le prunus au lieu de regarder l’arbre dans son entier. Et ça finit par faire des têtes comme des ballons, complètement centrées sur leur ego, et qui finissent donc par cultiver l’onanisme intellectuel.