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Les commentaires de ffi



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    ffi 13 novembre 2024 17:09

    @yoananda2
    "bah voila, on a inventé un mot spécial pour dire "je sais pas" sans dire "je sais pas" et on en fait tout un foin."
    C’est exactement ça. Et comme il y aura toujours des choses qu’on ne sait pas, alors on ne pourra jamais se passer de ce mot.
    Car, en substance, on ne saura jamais vraiment.

    Il n’y a guère que les vaniteux qui prétendent pouvoir s’en passer.



  • 1 vote
    ffi 13 septembre 2024 10:05

    Ravi de voir que le Prof Raoult sort une hypothèse que j’ai eu à 20 ans, il y a 30 ans déjà :

    L’évolution aurait un moteur. Elle reposerait sur l’incorporation d’information directement dans l’ADN des organismes par ... les virus.

    Mais c’est très dur à prouver. Il faudrait pouvoir engendrer une nouvelle espèce par ce biais, ce qui n’est pas gagné...



  • 1 vote
    ffi 30 août 2024 21:23

    @ged252
    Le bitcoin n’a aucune valeur intrinsèque, d’où sa limitation 

    L’équivalent physique des valeurs monétaires, c’est l’énergie.
    D’un point social, c’est du droit, un droit d’avoir.

    Une énergie infinie permettrait de tout avoir.
    Sans énergie, on ne peut rien produire.

    Ça ne coûte rien de produire des droits, mais ça coûte de l’énergie de produire des Biens.

    Produire des droits sans mettre de Biens en regard, et ces droits ne valent rien.

    Les États-Unis ne s’y sont pas trompés en appuyant le dollars sur le pétrole.

    Le bitcoin, c’est un droit, mais sans contrepartie énergétique, c’est trop fragile, autant à la baissé qu’à la hausse.

    L’argent virtuel est fondé sur l’information, l’argent réel sur l’énergie.



  • 3 votes
    ffi 30 août 2024 19:38

    @yoananda2
    Tu dis :
    "cette fuite en avant organisée par nos élites, militant pour l’immigration de masse pour raison économique"
    Puis tu dis :
    "L’économique c’est ce que nous pouvons constater"

    C’est contradictoire : ce que tu dit constater c’est d’abord une raison (économique), et non pas l’économique.

    Or, en vérité, une raison, déjà, c’est quelque chose qui se cache dans l’esprit de quelqu’un, donc fort difficile à constater.

    Ensuite, l’élite, ce n’est pas quelqu’un mais de nombreuses personnes. Par conséquent, il y a beaucoup de raisons, diverses, économiques ou autres, qui poussent ses membres à agir tels qu’ils agissent.

    En fait, ce qui se constate, c’est l’immigration.
    Ce qui se constate encore, c’est que la constater de manière négative, fait généralement subir un procès en racisme, donc une mise au ban de la démocratie.

    En revanche, les raisons de ce qui motivent ces procès en infamie sont inconnues à priori, et certainement variées. Entre les anti-fa, qui sont persuadés de lutter contre des réincarnations d’Hitler, des patrons qui veulent des ouvriers dociles, des cadres sup qui cherchent des domestiques, des fanatiques des droits de l’homme, qui confondent tout, où des puissances étrangères ravies de voir un ennemi s’enfoncer dans la guerre civile.

    C’est pourtant pas compliqué : les immigrés sont des hommes et des femmes, et en cela ils portent un bout de leur communauté. Toute communauté suppose des définitions communes du Bien. Le Bien, étant le but légitime. Le But commun devenant donc le Bien commun.

    C’est le véritable sens du terme "universel" : être unis vers (un Bien Commun).

    L’universel des droits de l’homme est autre : il est déduit de la nature (abstraite) de l’homme, renversant ainsi la perspective du but, vers la cause 

    Mais tout homme, pour être, doit être construit, et ça se fait toujours dans la communauté familiale. De cela, il hérite toujours de certaines conceptions de ce qui est Bien, donc d’une idée de ce que sont les Buts légitimes. S’il n’est pas construit, ses buts seront propres à lui-même, guidés par l’intérêt personnel.

    Le libéralisme, c’est l’homme non construit.
    Le communautarisme, c’est la multiplication des Biens communautaires.

    A la fin, c’est l’abolition de l’universel (le vrai, celui qui tend vers un but) dans les pays, donc la désunion.



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    ffi 27 août 2024 13:40

    @Gollum
    A ce propos, le fond diffus cosmologique représente un évènement précis après le big bang, d’une température initiale de 3000K, qui se serait refroidi à 4,7K avec le déplacement de l’espace-temps

    Déjà, comment passe-t-on d’un rayonnement à une température ?
    -> C’est par le modèle du corps noir (Loi de Planck, Loi de Wien)

    Mais qu’est-ce que ce qu’un corps noir ?
    -> Le modèle correspond à une cavité creuse, isolée dans l’espace, qui a un petit trou par lequel il rayonne vers l’extérieur en fonction de sa température, l’intégralité de ses échange thermiques étant réalisé par rayonnement.
    Le modèle de Planck suppose une infinité de petits résonateurs qui relarguent leur énergie thermique par paquets (quantas).

    Déjà notons que le corps noir transmet son rayonnement toujours vers l’extérieur.

    Mais là, si nous considérons que nous sommes situés loin à l’extérieur du corps noir en question, celui ayant émis ce rayonnement fossile (l’horizon juvénile de l’univers 380 000 ans après BB), il y a impossibilité : le rayonnement progressant, par définition à la vitesse de la lumière, cela signifierait que notre zone spatiale aurait progressé plus vite que la vitesse de la lumière, ce que la théorie interdit.

    Donc ce n’est pas un rayonnement de l’Horizon vers l’extérieur.

    Maintenant, si on considère que nous avons à faire à un corps noir dont le rayonnement se ferait vers l’intérieur de lui-même, ce qui est petite entorse avec les prémisses du modèle (le corps noir émettant vers l’extérieur), nous envisagerons donc ce rayonnement fossile comme venant de la limite externe de l’univers, son Horizon, et se faisant vers l’intérieur de celui-ci. Dans ces conditions l’horizon du trou noir progresserait plus vite que nous, et il n’y aurait donc pas la contradiction précédente.

    Mais, à moins que par un hasard extraordinaire nous soyons situés exactement au centre de l’univers, là précisément où le Big bang à commencé, l’Horizon de l’univers juvénile ne peut avoir la même vitesse par rapport à nous selon toutes les directions.

    En effet, Le point sur l’horizon de l’univers situé sur la ligne entre le point initial du Big Bang et la Terre, celui le plus proche de nous, semblera s’éloigner à une vitesse dH0/dt - dT/dt avec H0 vitesse du point de l’Horizon et T, vitesse de la terre, comptées depuis le point initial du Big Bang.

    En revanche, le point opposé, celui qui se trouve sur l’horizon de l’univers, à l’intersection de la ligne entre le point initial du Big Bang et la Terre, mais au-delà de ce point originel, semblera s’éloigner à une vitesse dH0/dt + dT/dt

    Du coup, cela se répercutera sur l’effet Doppler subit par ce champ, ce qui fait que la température du fond diffus ne peut être isotrope. Par conséquent, ce fond diffus ne peut être originaire de l’horizon du Big Bang qui émettrait vers l’intérieur de l’univers.

    Puisque tu es si calé dans cette matière, peux-tu m’expliquer clairement comment ça marche cette théorie ?



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    ffi 27 août 2024 12:10

    @Gollum
    "Le fonds diffus cosmologique se détecte partout c’est bien sa spécificité. Alors que l’héliopause est strictement circonscrit au système solaire, soit une infime partie de l’Univers..

    "

     smiley Si le fond diffus cosmologique s’observe de partout alentour, note bien qu’on ne l’a néanmoins jamais observé que depuis la Terre, qui est un point singulier dans l’espace (Je te rappelle pour la 10e fois que la science, c’est "Ici et maintenant"). Du coup, ta répartie est un peu "bête".

    L’Héliopause, en tant que "peau" aux confins de l’héliosphère (système solaire), nous englobe. Elle est elle-aussi de tous cotés, où que l’on regarde depuis la Terre.

    Mais je t’invite expressément à envoyer ton armada de radiotéléscopes au-delà de l’héliopause pour me prouver que l’on observe bien le même fond diffus cosmologique en-dehors de l’héliosphère. Auquel cas, j’admettrais bien volontiers la réfutation de mon hypothèse. smiley



  • 2 votes
    ffi 27 août 2024 11:46

    @micnet
    Et j’ajoute que la session COVID n’a fait que le confirmer, et de manière éclatante, car déjà avant, il y a le précédent du "réchauffement climatique d’origine Anthropique" où là, pour le coup, ça s’est bien déchainé aussi.
    Ou encore, le pétrole vu comme ressource fossile (alors que les hydrocarbures sont communs dans le système solaire comme dans les spectres cosmiques).

    On pourrait encore ajouter des pistes de recherche fascinantes purement et simplement ignorées, parfois à coup de dérision, comme le rôle de l’électromagnétique en biologie (Benveniste), la cosmologie plasma (Hannes Alfvén), l’expansion terrestre,...etc.

    Les théories, ça ne peut manquer que par défaut d’imagination.
    On voit qu’il y a de l’imagination, mais qu’un seul et unique chemin est financé et permis.



  • 1 vote
    ffi 27 août 2024 06:54

    @Gollum
    Tu aimes les fausses distinctions :
    L’intérêt d’une expérimentation c’est de donner quelque chose à voir.
    Toute expérimentation aboutit toujours à des observations (c’est son but justement). Mais elle doit permettre de contrôler finement les conditions de l’observation et de la générer à la demande pour être utile à la recherche.

    C’est l’ennui avec la cosmologie : les conditions des observations ne sont ni contrôlables, ni contrôlées. Le fond diffus cosmologique, par exemple, c’est une radiation, dont on assure qu’elle émane d’un corps noir porté à 3000°K il y a 13 milliards d’années, qui se serait refroidie depuis. Déjà qu’une radiation se refroidisse, c’est bizarre. Et de 3000°K à 4,7°K, en 13 milliards d’années, c’est extrêmement lent.

    Mais je t’invite naturellement à expérimenter la chose : Fait un petit big bang en éprouvette chez toi, vérifie qu’il se comporte bien comme un corps noir, vérifie qu’il génère un rayonnement à 3000K après 380 000 ans, puis vérifie que cela aboutit bien à un rayonnement à 4,7°K après 13 milliards d’années.

    Tu seras le premier à publier ces résultats dans "Nature" et tu auras certainement le prix Nobel. Mais dépêche-toi : le premier qui publie a gagné. D’autres s’activent déjà en coulisse pour te prendre de vitesse.

    D’autre théorie explicatives de ce rayonnement ont existé, comme la diffusion d’un rayonnement quelconque venu d’un objet proche. D’autres explications peuvent être certainement proposées. Peut-être est-ce une observation de l’héliopause ou de l’héliogaine ?

    Mais tu t’es trahi dans ton message précédent : Pour toi, le moyen de faire progresser la science, c’est le vraisemblable. C’est évidemment faux, car c’est la métaphysique qui progresse ainsi, comme l’a montré Popper, et c’est pour cela que tu t’embrouilles complètement, incapable de distinguer entre ce qui se rapporte au savoir et à la croyance.

    Le "consensus scientifique" a justement cette fonction de faire adhérer de force les chercheurs à des choses insuffisamment démontrées, par une pression de conformisme social, qui permet l’auto-censure de toutes les question gênantes. Mais si cela ne fonctionne pas, il y aura pression financière dans un second temps, pour les fortes têtes, voire plus.



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    ffi 26 août 2024 12:43

    @Gollum
    Tu me reproches ce que tu cherches toit-même à faire alors que je ne le fais pas moi-même (me vendre comme vérité scientifique une mythologie indémontrable).

    Pas besoin d’expérimenter jusqu’à l’infini : La théorie qui affirmerait que, aujourd’hui, sur Terre, lâcher un caillou suffit à le faire monter dans le ciel est immédiatement réfutable par n’importe qui. Ce genre d’énoncé est de l’ordre de la science.

    L’énoncé scientifique est valide quand il est localisé (ici et maintenant), d’une manière que l’expérimentation soit possible.

    Mais un Big-bang, il y a 15 milliards d’année, ou bien une génération spontanée il y a 500 millions d’année... comment les tester ? J’attends tes suggestions...
    (hors jeu vidéo à coup d’effets spéciaux ou autres simulacres informatiques qui sont de fait hors des réalités, mais virtuels)

    Le consensus est évidemment une sorte de dogme. La vraisemblance n’est pas scientifique, mais métaphysique (dedans, il y a vrai, mais il y a aussi semblant, donc c’est un simulacre de vérité, une simulation). Comment un discours pourrait-il se prouver par lui-même être conforme aux faits ?

    Comme le dogme, le consensus n’est utile que pour éviter de discuter à l’infini : une autorité s’impose pour trancher.

    Mais en matière de sciences, c’est l’expérimentation qui doit trancher les discussions. La méthode scientifique consiste à expérimenter récursivement pour faire coller les discours aux faits.

    Le consensus, c’est d’abord une restriction faite à l’expérimentation, puis la confusion entre science et religion (scientiste).



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    ffi 26 août 2024 10:36

    @Gollum
    Ta réfutation reste dans le domaine de la logique ; sans expérimentation concrète (De toute façon, Dieu peut transporter tout là où il veut, il n’a même pas besoin de Noé pour sauver les espèces qu’il veut sauver).

    De plus, à l’image de ce que tu m’imputes (à tort), tu cherches à crédibiliser les mythologies scientistes actuelles en décrédibilisant le mythe Noachide. Mais tu ne me convaincs pas, car, d’une part, je trouve ce mythe absurde moi aussi.

    D’autre part, mon objet n’est pas de crédibiliser les mythes bibliques, les gens croient ce qu’ils veulent, mais de montrer que certaines choses qui sont affirmées comme des vérités scientifiques n’en sont pas.

    Karl Popper insiste à raison sur ce fait que seule une théorie qui permet de construire des énoncés falsifiables par l’expérimentation peut être considérée comme scientifique. C’est tout-à-fait logique. C’est à l’expérimentation de permettre trancher entre plusieurs discours, pour éviter des querelles sans fin. Par exemple, Lavoisier se promenait dans Paris et démontrait aux passants l’hydrolyse de l’eau pour illustrer sa nouvelle Chimie.

    Aujourd’hui, ce n’est pas ce qui se passe : c’est le consensus qui réalise cette démarcation entre science et métaphysique. Or le consensus, c’est juste un dogme.

    Aucun expérimentation n’est proposée pour falsifier le Big-bang, les trous noirs, la sélection naturelle. De fait, elles sont impossibles car ces concepts se placent dans des lieux ou des temps qui sont parfaitement inaccessibles à l’expérimentation. (Quant à la "vie logicielle" de Google. C’est du jeu vidéo et du simulacre.)



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    ffi 25 août 2024 20:38

    @Gollum
    Pour la démarcation entre science et métaphysique, voit du côté de Karl Popper

    Ce qui est irréfutable n’est pas scientifique 
    J’emploie irréfutable ici pour qualifier un énoncé pour lequel il est impossible de construire une expérimentation capable de le réfuter.

    En ce sens, le mythe de l’Arche de Noé est irréfutable, puisque il est impossible de démontrer qu’il n’a pas existé.

    Mais c’est la même chose pour la sélection naturelle ou les trous noirs : Aucune expérimentation ne peut contredire ces hypothèses, donc ces énoncés ne sont pas des énoncés scientifiques.

    Ceci fait qu’on peut gloser dessus sans jamais s’accorder, puisqu’il n’existe aucun moyen de trancher (pas d’expérimentation reproductible possible).

    C’est comme les goûts et les couleurs, ça ne se discute pas 



  • vote
    ffi 24 août 2024 21:35

    Gollum, yoananda :

    Mais vos arguments, ils sont où ? L’expérimentation reproductible, ça vous parle ?

    La distinction du domaine des mythes, irréfutable, et du domaine scientifique, réfutable, c’est classique, non ?

    Vous ne savez plus quoi répondre, je vous ai coincé : alors vous beuglez en coeur, parqués dans votre pré, avec des bouses qui sortent par l’arrière ... smiley

    Meuh, Meuh



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    ffi 24 août 2024 18:25

    @Gollum  smiley la déviation de la lumière par Mercure smiley

    Si pour toi c’est délirant de dire que science est la discipline fondée sur les expérimentations reproductibles...

    C’est toi qui délire, toi qui prétend que des spéculations invérifiables, car hors d’atteinte de toute forme d’expérimentation, feraient partie de la science.

    C’est toi qui délire, toi qui pose des théories scientifiques tels des dogmes, alors que leur caractère scientifique doit justement toujours permettre d’en discuter (puisque l’expérimentation permet de trancher...)

    Ta conception des sciences, c’est de l’arnaque : tu y inclues des mythologies scientistes et tu prends des théories comme des dogmes. Bon, ce n’est pas de ta faute : ce n’est pas de ton fait, tu bêles avec les moutons.

    Mais ne me répond plus, ça ne me dérange pas, ça me fera moins d’insultes à endurer, et ça ne m’empêchera pas de dire mes points de vue.



  • 1 vote
    ffi 24 août 2024 16:17

    @Gollum

    La relativité, ce n’est qu’une théorie. Elle doit pouvoir être discutée. D’autres théories sont certainement possibles. Le modèle est un peu bizarre, mais au final, c’est juste appliquer des formules.

    Les trous noirs, tu en as déjà touché ? Tu en as produit en laboratoire ?

    En vérité, ce qu’on observe, ce sont des émissions lumineuses, qui sont interprétées comme celles générées par la matière qui tombe dans un trou noir. Les illustrations des journaux sont des vues d’artistes.

    Quant à l’effet lentille, c’est tellement commun dans plasmas d’avoir des indices optiques variables dans l’espace qu’il y a beaucoup d’interprétations possibles sur les causes de cet effet.

    Du cosmos, on n’observe que des images. Les choses sont tellement lointaines qu’on est forcément démuni pour vérifier le fin fond de nos spéculations...

    Par conséquent, leur degré de certitude est proche de zéro.

    Tout ce qui est hors de l’expérience reproductive ne fait pas partie de la science. Les états gaspillent des milliards pour des recherches qu’on sait par avance impossibles à prouver.

    Maintenant, les mythologies scientistes ont bien le droit d’exister. Mais quand elles cherchent à s’attribuer le degré de certitude de la science fondée sur l’expérimentation reproductive, c’est de l’imposture et de l’arnaque.



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    ffi 22 août 2024 17:46

    Tu en a surtout marre de tes propres conneries, et je te le démontre par la spécification concernant les performances GPS diffusée par le département d’état américain.

    Page 5 :

    The MCS is located at Schriever Air Force Base, Colorado, and is the central control node for the 
    GPS satellite constellation. Operations are maintained 24 hours a day, seven days a week 
    throughout the year. The MCS is responsible for all aspects of constellation command and control, 
    to include : 

    Routine satellite bus and payload status monitoring 

    Satellite maintenance and anomaly resolution

    ..

    NAV message data upload operations as required to sustain performance in accordance 
    with accuracy and integrity performance standards 

    ...etc

    -> Donc on a un centre qui envoie un Nav Message aux satellites

    Mais que contient ce NAV Message ?

    (Page 7)

    • Satellite time-of-transmission 
    • Satellite position
    • Satellite (SIS) health
    • Satellite clock correction
    • Ionospheric delay effects
    • Time transfer to Coordinated Universal Time (UTC) as kept by the U.S. Naval Observatory 

    (USNO) 
     

    Satellite clock Correction = Correction de l’horloge du satellite.


    Ben oui, le système resynchronise périodiquement l’horloge du satellite,

    l’informe en permanence sur sa position,

    envoi des informations sur les perturbations ionosphériques


    On ne l’envoie pas avec une horloge tout seul en orbite et Hop ! la correction relativiste !

    Non. On corrige en permanence la moindre dérive.


    Donc bon, la relativité là-dedans, elle est très relative.


    Et puis, une horloge, ce n’est pas le temps.



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    ffi 22 août 2024 16:31

    @Gollum

    Les japonais aussi ont fait leurs horreurs.



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    ffi 22 août 2024 16:27

    @Gollum Le GPS, et la relativité, c’est une légende urbaine. Les horloges des satellites sont resynchronisées périodiquement, par échange de messages. Voir https://www.google.com/url?sa=t&source=web&rct=j&opi=89978449&url=https://isidore.co/misc/Physics%2520papers%2520and%2520books/GPS%2520%26%2520Relativity/RELATIVITY%2520AND%2520THE%2520GLOBAL%2520POSITIONING%2520SYSTEM%2520(Ashby).pdf&ved=2ahUKEwj2y6aY5YiIAxWjQ6QEHSexAMcQFnoECBoQAQ&usg=AOvVaw0Xxn6Ar0x7PBQYF1-Zx-v7

    "Additional small frequency offsets can arise from clock drift, environmental changes, and other unavoidable effects such as the inability to launch the satellite into an orbit with precisely the desired semimajor axis. The navigation message provides satellite clock frequency corrections for users so that in effect, the clock frequencies remain as close as possible to the frequency of the U.S. Naval Observatory’s reference clock ensemble. Because of such effects, it would now be difficult to use GPS clocks to measure relativistic frequency shifts."

    Bref, les horloges sont systématiquement resynchronisées pour éviter toute dérive temporelle.

    Tout ce qu’on peut dire, c’est que horloges se dérèglent. Mais on ne va pas risquer de laisser une horloge en orbite tourner en roue libre, même en y intégrant une correction relativiste. On resynchronise périodiquement, tout simplement



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    ffi 22 août 2024 14:43

    @Gollum
     smiley la déviation des rayons lumineux par Mercure smiley

    Le GPS corrige un décalage de 38 microsecondes par jours.

    Mais ce n’est qu’une correction. Les 86 4000 secondes sont déterminés classiquement.
    C’est à dire que l’erreur de la Mécanique classique est de 4,398 10^-8%.
    Autrement dit, elle est correcte à 99,99999995 %



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    ffi 22 août 2024 14:34

    @yoananda2
    Ce Charabia c’est que

    Aristote distingue trois sciences théoriques (ou théorétiques) : la physique, la mathématique, et la métaphysique (ou théologie). La physique est la science d’un genre déterminé, celle de la substance qui possède en elle-même le principe de son mouvement et de son repos. C’est une science théorétique de la substance formelle, mais non séparée de la matière. La science mathématique est également une science théorétique, qui étudie ce qui est immobile mais engagé dans la matière. Il y a enfin la connaissance d’un être éternel, immobile et qui existe pour soi de manière séparée, connaissance théorétique antérieure « aux choses sensibles du monde des phénomènes », et donc antérieure à la physique et aux mathématiques : la théologie

    Platon lui conçoit un monde des idées, à part et séparé du monde réel.

    Pour ma part, je préfère simplifier tout ça et partir de cette évidence : tout homme est à l’interaction de 2 mondes, le monde réel, externe et commun à nous tous, et son monde interne, idéel, propre à lui-même.

    La physique cherche à décrire le monde réel, qui est face à nous, ici et maintenant. La maîtrise de cette science nous permet de modifier ce monde-là.

    Mais notre monde idéel aussi peut être modifié.

    C’est précisément la fonction des mythes et autres réflexions sur le divin, qui se placent hors du monde immédiatement sensible, donc... en notre intériorité, dans notre monde idéel. Comme ci, par processus réflexif, penser la genèse du monde nous renvoie à notre propre genèse.

    En cela, la théologie n’est autre que la science de la structuration les âmes.

    De ce fait, elle produit une anthropologie particulière.
    C’est pourquoi toute religion génère une civilisation particulière.

    La France est d’anthropologie catholique. Cela dépasse de loin le mythe en lui-même. Celles-ci consiste en un ensemble de rapport sociaux, de manières d’êtres en société, politesse et courtoisie.

    La mode de produire des mythes scientistes est à coté de la plaque. La fonction des mythes n’est pas de déterminer d’hypothétiques réalités, mais de déterminer les idéalités du monde interne. La Physique ne fonctionne correctement que quand elle s’appuie sur des expérimentations reproductibles, lesquelles sont à jamais impossibles à faire dans des lieux et des temps inaccessibles pour nous.

    Interroge-toi sur l’effet que produit la mythologie scientiste actuelle sur les intériorités des hommes. Voit si cet effet engendre une société plus apte au progrès au final.

    Et en effet, l’idéalité engendrée par le Darwinisme va comme un gant au libéralisme. 

    Cette mythologie scientiste est imposée par les oligarchies pour des raisons bien précises. Elle est évidemment improuvable (la physique n’en a pas les moyens, car la validation d’un mythe est hors des possibilités de l’expérimentation). Celle-ci sert à renverser toutes les anthropologies, pour en établir une nouvelle, compatible avec leur domination sans partage sur le monde.



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    ffi 22 août 2024 13:42

    @Gollum
    "Alors que la relativité a été quasi prouvée depuis longtemps (déviation des rayons lumineux par Mercure puis plein d’autres trucs dont les horloges atomiques, les GPS)

    "

     smiley la déviation des rayons lumineux par Mercure  smiley

    En tout cas, des billes, tu n’as pas l’air d’en posséder beaucoup...

    La relativité corrige 2 ou 3 trucs à la marge, mais sa forme est tellement contre-intuitive qu’en pratique, les 99,9999 % des phénomènes du monde réel sont résolus par la physique classique, car elle est simple et lumineuse.

    C’est pareil pour la MQ.

    Ces deux théories n’ont pas prouvées qu’elles étaient les seules possibles dans leurs domaines respectifs. Donc la recherche peut continuer, non ?