Le « concile de Jérusalem » — ou « assemblée de Jérusalem » ou « réunion de Jérusalem » ou encore « concile des apôtres » — est un nom appliqué rétrospectivement à des discussions décrites dans le livre des Actes des Apôtres, quinzième chapitre[1], tenues sous la direction de Jacques le Juste et qui sanctionnent l’ouverture de la communauté des juifs chrétiens aux « païens »[2] au milieu du Ier siècle.
Tels sont les douze que Jésus envoya, après leur avoir donné les instructions suivantes : N’allez pas vers les païens, et n’entrez pas dans les villes des Samaritains ;
En revanche comment vous pouvez reconnaître à la fois des prophètes qui sont contre le tribalisme, comme Mohamed et Jesus par exemple, et des prophètes tribalistes qui parlent de peuple élu ?
Le Christ le dit lui-même, Il est venu pour les brebis perdues d’Israel et il demande aux apôtres de ne pas allez voir les gentils.
Le Concile de Jerusalem, suite aux révélations faites à Pierre, est le détonateur de l’évangélisation des payens.
Très interresant document de ce jésuite où la grande absente de ce discours est la conscience. Ce qui suit peut paraître brutal.
La conscience et la raison n’aboutissent pas aux mêmes actions ou réflexions. Ce que ma raison m’autorise, ma conscience me l’interdit. Ma conscience en tant que croyant est formatée par le décalogue en sachant qu’un commandement n’est pas une interdiction ! D.ieu commande, mais n’interdit pas. Un commandement est une prise de conscience. Ma foi est ma conscience ; la raison est autre. Laisser place à la raison dans ma foi est le premier acte d’insoumission à l’égard de D.ieu. Ce que le Christ définit comme tiédeur.
C’est ma conscience qui fonde ma raison (je parle à titre personnel) ; et non l’inverse !
Je vous dis cela, j’ai bien évidemment remis en doute ce qui m’avait été inculqué par la raison Même si je comprends parfaitement ce que dit Ellul pour m’y être confronté, je ne pourrai pas participer au débat du doute ; je n’en ai plus. Peut-on me classer dès lors comme quelqu’un de déraisonnable ? Si oui, j’assume farpaitement.