Le dark net est un très bon sujet, qu’il faut connaître. Merci !
Vous avez raison, nous sommes dans un théâtre, la "société du spectacle", il y a des bons, il y a des méchants et les metteurs en scène se trouvent des deux côtés.
Ils fabriquent le mal pour nous mieux nous pousser à entrer en guerre contre. Depuis 9/11 c’est un air connu.
Il faut voir le bon côté des choses : il existe encore des espaces de liberté. Le mauvais côté c’est de voir ce que les hommes en font ! (air connu là aussi
Entre l’arrogance de Valjean et le racisme épais de Socarate, on entre sur ce fil de commentaires comme dans le cloaque de la Géhenne.
Mais il le faut bien pourtant, pour dire à Blueman qu’à mon sens, il a raison.
Oui, nous sommes à un tournant de l’Histoire. Celle de Dieudonné ou celle d’une Ve République tellement à la dérive que n’importe quoi sort actuellement de la bouche de certains ministres et, surtout, n’importe quoi pourrait arriver.
Dieudonné découvre en effet qu’avec les soutiens qu’il reçoit ses quenelles sont devenues un puissant moyen de "glisser des quenelles" dans le fondement du système, puisque, ne serait-ce que pour s’en plaindre, le système leur donne... publicité.
Si la mayonnaise prend, la question est vraiment de savoir jusqu’où cela pourrait aller.
Comme disait Coluche "Jusqu’où s’arrêteront-ils ?"
Je crains le pire car il suffira d’en rien pour faire de Dieudonné le parfait bouc émissaire qu’il est déjà dans les grandes lignes.
Car, précisément, rien n’arrête un pouvoir qui se sait en danger quand il est aux mains de mariolles... qui ont des comptes à rendre à l’Empire.
Je soutiens complètement Dieudonné dans son combat contre l’effroyable hypocrisie du temps présent ; il n’est pas plus antisémite que moi (qui suis d’origine juive par ma mère (mon père aussi serait d’origine juive selon toute vraisemblance)) et ne mérite pas du tout les violences institutionnelles et médiatiques dont il est victime.
Il est d’ores et déjà un vrai "bouc émissaire" mais j’ai très peur qu’il en devienne un "parfait". C’est-à-dire, j’ai peur qu’il devienne une parfaite victime du système, comme Coluche.
Jean-Claude van Damme l’a déjà fait (1 + 1 = 1 ou 1 + 1 = 11 il a dit je crois bien).
Mais avant lui les mathématiciens l’avaient fait car en fait 1 + 1 = 2 n’est qu’une écriture qui dépend de la base.
En base 2, on doit écrire 1+ 1 = 10.
Bref, les enfants qui disent "on dirait qu’on serait dans un monde où les choses seraient comme ci ou comme ça" sont exactement dans le même mode de pensée sauf que eux ils n’oublient pas qu’ils font ça "pour de faux".
Nous, on croit la science, on croit que c’est vrai car on oublie (ou on nous cache) que nous sommes dans le jeu où "on dirait que les constantes sont constantes et que donc, même si elles varient, on dira que ce sont des constantes".
Ce que je dis est très simple. La science ne veut regarder que ce qui peut être géré dans sa sphère par son système explicatif. Malheur au scientifique par qui le scandale arrive, celui qui prétendrait faire rentrer dans la sphère de la science un phénomène qu’elle n’est pas capable de gérer (pensons à la mémoire de l’eau ou la fusion froide)
En bref, la science s’intéresse surtout à ce qui va lui permettre de se perpétuer dans son système d’habitudes. Elle préfèrera nier ce qui mettrait en péril ses dogmes, comme par exemple la variation des constantes
Comme disait Spinoza, "toute chose tend à persévérer dans son être". La science ne fait pas exception et est donc un processus à évolution bien plus lente que si elle était réellement démocratique et capable accueillir comme il se doit, avec ouverture et impartialité, les nouvelles idées.