Julien Pain est malhonnête, il n’a aucune expertise sur l’origine du coronavirus, et se met à raconter n’importe quoi.
Pour faire taire toute contestation, si vous n’adhérez pas à la thèse de son reportage (virus covid-19 d’origine animale), alors vous êtes un complotiste antisémite.
Une propagande abjecte et ignoble qui a décrédibilisé et mis au banc des accusés des sommités comme Luc Montagnier qui ont très tôt alerté que le virus pouvait avoir été créé en laboratoire.
Oui, complètement.
On a chacun une attitude soit méfiante, soit confiante par rapport au pouvoir. Ces deux attitudes sont utiles et nécessaires pour confronter et dépiauter un sujet incertain, ou controversé.
Alors on peut avoir une mauvaise raison à l’une ou l’autre de ces attitudes : hurluberlu, parano, à pensée monomaniaque, ou bien naïf, oui-ouiste, chien de garde... Il est aussi facile de vandaliser un sujet confronté en convoquant des hommes de paille, ou en amalgamant des hypothèses les plus farfelues que le protagoniste ne revendique pas.
Le terme "complotiste" est bien plus récent. Surtout, il est de caractère politique. Il dénigre gratuitement, sans avoir à justifier. L’étiquette "complotiste" sert à protéger les complotEURS, qui ont toujours existé : quand on a du pouvoir, on est porté à en abuser, c’est vieux comme le monde.
Ceux qui décident gratuitement que Montagnier était un sénile qui avait perdu sa tête, passent par dessus la factualité que c’est lui qui a découvert le HIV, que le monde entier ne trouvait pas en plein développement du SIDA.
Dès le printemps 2020, il a fait plusieurs publications (que Google ne permet pas de retrouver...) dont celle-ci :
Plusieurs séquences de différents HIV (il connaît, non ?) et une de SIV (singe), dans le covid. Il n’a été invité qu’une fois, chez Praud, où il osé l’évoquer, puis banni de tous les médias. Youtube supprimait toute émission qui parlait de covid, Montagnier n’y avait pas accès non plus. Une omerta, ce n’est pas un débat. Pour la Doxa politico-académique, il ne fallait pas dire que l’épidémie mondiale venait d’un virus trafiqué par des humains et non de zoonose. Il aurait fallu chercher les coupables, les inculper, se demander à quoi cela sert d’inventer des virus plus toxiques que ceux existant naturellement : des questions normales dans un monde normal, mais plus dans celui où il est facile d’étiqueter de "complotiste" n’importe qui. Si la recherche a été développée (ou continuée, c’est plus ancien) à Wuhan, financée par Fauci, c’est parce qu’une loi a interdit les recherches de "gains de fonctions" aux Etats-Unis. Justement parce que c’est la porte ouverte à toutes sortes de malveillances à très grande échelle.
Julien Pain a aussi déclaré qu’il était complotiste de la mort qui tue de penser que Macron allait imposer le pass vaccinal. Avec la tronche en biais ils ont déclaré que ce qui ne passait pas à la télévision était faux/complotiste. Avec Mendès-France (l’avorton), Rudy Machin, leur job, soutenu à bout de bras par les médias, est la police politique, pour remplacer dans les cerveaux le vrai et le faux par le propre selon la Doxa et le sale.
Le médias français n’ont pas relayé Ghebreyesus qui vient de détruire la crédibilité de l’OMS en affirmant qu’il n’a pas servi à imposer les confinements, masques et vaxxins : c’est bien trop "complotiste". Ils n’ont rien informé des activités du trio Fauci, Daszak et Baric, largement renseignées aux Etats-Unis, y compris au Congrès : les autorités françaises ne le peuvent pas sans se tirer des rafales de kalachnikov dans leurs pieds.
ben ouai, les dynamiques collectives ça peut être constructif ou destructif et c’est pas de la tarte à changer quand un mauvais plis a été pris.
Moi, j’estime qu’on ne peut pas ni ne doit tout attendre de la puissance publique. A un moment, c’est à chacun de se sortir les doigts.
Dans le Jura on paye un forfait ou un abonnement pour utiliser les pistes de skating, côté français comme suisse, c’est mutualisé entre eux. Coté français, c’est le département qui gère et entretient. Côté suisse, ce sont les habitants du coin qui font, certains qui possède des dameuses ou des motoneiges pour tracer ou faire les rondes, ceux qui ont les perches pour les balises, d’autres qui font les paiements des forfaits, etc... Et ils se partagent les recettes. Alors il faut des professionnels pour monter des pylônes électriques. Mais à la base, il y a un état d’esprit qui fait que la chose publique est un commun qui peut-être partagé, car il y a un peuple conscient de l’être, ou un autre qui délègue tout à l’Etat, avec tous ses inconvénients.
Je ne comprends pas bien la question. Ou c’est moi qui n’ai pas été clair.
Quand je parle de Rutte qui est une ruine, ce n’est pas par rapport à la guerre contre la Russie, mais parce que c’est une girouette qui suit le chef le plus fort. Un zombie, ou un "corporate". Et ce sont des gens comme ça qui détériorent le pays qu’ils administrent, car ils suivent un chef ailleurs au lieu de se préoccuper des habitants. Bon après, si c’est le même abruti qui dévitalise l’OTAN, ça ne va pas m’embêter, bien au contraire.
La France était "un" peuple, avec ses différences et ses divergences, jusque dans les années 70. Aujourd’hui, c’est un aggrégat, ou plutôt un désagrégat.
C’est pour cela (entre autre) que la France n’est plus une nation et ne peut plus en être une d’après moi.
Oui, je pense aussi que le point de rupture est franchi et que l’homogénéisation nécessaire pour faire société n’est plus possible. Cela me rend triste, je serais bien soulagé de me tromper, mais je ne vois plus où est la sortie.
Il reste l’état (de l’ancien état-nation westphalien), et l’état, c’est le plus froid des monstres froids, comme on dit, le leviathan.
Je suis d’accord avec le monstre froid de l’état. Mais derrière, il y a la chose publique en question, que j’indiquais à ezechiel : les routes, les hôpitaux, les canalisations des eaux, la police, la justice, l’éclairage public, etc... Ou qu’on appelle ça le bien commun, peu importe. Qui gère ça comment ? La res-publica était une question complexe, mais concrète, pas cette incantation à la con qu’on en a fait aujourd’hui. C’était celle des Grecs qui appelaient ça la démocratie.
Je le vois en bien en micro, chez moi, les tribus dans leurs terrains de droit coutumier qui leur appartiennent. Un couple se forme veut s’installer. Il n’y a plus trop de place, on leur file un coin pourri, ils sont jeunes et vont bien se débrouiller avec ça. Sauf que le couple va mal vivre, les enfants seront turbulents, peu productifs et utiles. Une tribu peut vite se détériorer, comme ça, elle le sait très bien. Les endroits qui ressemblent à la Suisse, où tout est propre est beau : les gens sont paisibles avec de belles rangées de dents blanches qui lèvent le pouce bien droit. Les endroits où c’est bordélique, on reçoit plein de regards qui épient. Alors quand la chose publique est mal gérée, mal utilisable par chacun, dans une société en tension et animosité, oui, il faut un monstre froid à la place.
toute la camarilla devenant une basse cour de poulets sans têtes. On verra...
Mark Rutte, premier ministre, qui a forcé la destruction du monde agricole de son pays pour suivre l’agenda mondialiste, puis secrétaire de l’OTAN, qui a annoncé que les pays de l’UE devaient passer à l’industrie de guerre pour se confronter inévitablement à la Russie :