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Vivre est un village

Vivre est un village

Consultant en systèmes d'Information logistique France Mexique Espagne Allemagne de 1969 à 2012 CONVIVIALISTE MILITANT !!! Ivan Illich La convivialité « Si les outils ne sont pas dès maintenant soumis à un contrôle politique, la coopération des bureaucrates du bien-être et des bureaucrates de l’idéologie1  nous fera crever de “bonheur”. La liberté et la dignité de l’être humain continueront à se dégrader, ainsi s’établira un asservissement sans précédent de l’homme à son outil. » Dans ce texte phare, Ivan Illich amplifie et radicalise sa critique de la société industrielle. Dénonçant la servitude née du productivisme, le gigantisme des outils, le culte de la croissance et de la réussite matérielle, il oppose à la « menace d’une apocalypse technocratique » la « vision d’une société conviviale ». Ce n’est que par la redécouverte de l’espace du bien-vivre, qu’Illich appelait la convivialité, que les sociétés s’humaniseront. Ivan Illich (1926-2002) Il a dirigé l’université catholique de Porto Rico avant de fonder, au Mexique, le Centre international de documentation (CIDOC).

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    Vivre est un village Vivre est un village 9 février 2024 16:36

    https://www.youtube.com/watch?v=HHQ9UgzNctQ


    Je souhaite que soient connues les déclarations sensées et claires de la Confédération paysanne, que nous regrettons de ne pas davantage entendre dans les médias. voici les déclarations dont j’ai eu connaissance :

     Déclaration de la semaine passée :

    "Une double injonction intenable

    Face aux difficultés exprimées par le monde agricole, les annonces du Premier ministre sont largement insuffisantes pour redonner des perspectives d’avenir à toutes les fermes. Pire, le Premier ministre répond aux demandes productivistes et court-termistes du Président de la FNSEA d’affaiblir les normes qui protègent nos principaux outils de productions : les sols, l’eau, la biodiversité… Les quarante années d’ultra-libéralisme sont en train de détruire l’agriculture comme l’environnement.

    Et on nous demande à nous, paysannes et paysans, de faire le grand écart entre deux injonctions contradictoires : d’un côté, produire pas cher, être compétitifs sur le marché mondial avec des pays qui ont d’immenses fermes usines et des ouvriers agricoles payés 200 euros par mois…. et en même temps, de préserver la planète.

    Entre les deux, il y a notre revenu et le sens de notre métier !

    Pas de mesurettes !

    C’est vrai, une simplification administrative est nécessaire. Beaucoup de procédures administratives et de normes sanitaires sont inadaptées à la réalité de nos fermes. Mais ne nous trompons pas de cible. La demande de la majorité des agriculteurs et agricultrices qui manifestent est bien celle de vivre dignement de leur métier, pas de nier les enjeux de santé et de climat ou de rogner encore davantage sur nos maigres droits sociaux.

    En ce sens, l’agriculture biologique, sur laquelle les GMS font leur beurre avec des marges colossales, est aujourd’hui complètement abandonnée, alors qu’elle devait être soutenue, encouragée, protégée par les pouvoirs publics.

     Déclaration de cette semaine : 

    Les annonces faites par le gouvernement répondent aux demandes des gros agro-industriels.
    Rien en revanche sur la rémunération, indigne pour la majorité des paysans et paysannes, due à un système économique libéral inégalitaire. C’était pourtant le sujet qui mobilisait sur le terrain des milliers de paysannes et paysans. Or pour détourner l’attention, le gouvernement a annoncé des reculs inadmissibles pour l’autonomie paysanne, (il y aurait trop de normes pour produire suffisamment, on agite ainsi le spectre d’une autonomie alimentaire défaillante si on ne fait pas sauter les normes environnementales). Cela passe notamment par la promotion des OGM et la poursuite d’un recours massif aux pesticides, ou la fuite en avant sur la politique de l’eau ou de l’insuffisance de soutien et de reconnaissance des productrices et producteurs engagés dans la transition agroécologique et l’agriculture biologique.
    Pas de remise en cause réelle du libre-échange (MERCOSUR et autre traité de libre-échange avec des paysans qui ne partagent pas les mêmes normes en matière d’agriculture et de respect de l’environnement), ni aucune interdiction d’achat en-dessous du prix de revient de nos produits agricoles français.


    A bientôt. Amitié.



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    Vivre est un village Vivre est un village 9 février 2024 16:34

    Je souhaite que soient connues les déclarations sensées et claires de la Confédération paysanne, que nous regrettons de ne pas davantage entendre dans les médias. voici les déclarations dont j’ai eu connaissance :

     Déclaration de la semaine passée :

    "Une double injonction intenable

    Face aux difficultés exprimées par le monde agricole, les annonces du Premier ministre sont largement insuffisantes pour redonner des perspectives d’avenir à toutes les fermes. Pire, le Premier ministre répond aux demandes productivistes et court-termistes du Président de la FNSEA d’affaiblir les normes qui protègent nos principaux outils de productions : les sols, l’eau, la biodiversité… Les quarante années d’ultra-libéralisme sont en train de détruire l’agriculture comme l’environnement.

    Et on nous demande à nous, paysannes et paysans, de faire le grand écart entre deux injonctions contradictoires : d’un côté, produire pas cher, être compétitifs sur le marché mondial avec des pays qui ont d’immenses fermes usines et des ouvriers agricoles payés 200 euros par mois…. et en même temps, de préserver la planète.

    Entre les deux, il y a notre revenu et le sens de notre métier !

    Pas de mesurettes !

    C’est vrai, une simplification administrative est nécessaire. Beaucoup de procédures administratives et de normes sanitaires sont inadaptées à la réalité de nos fermes. Mais ne nous trompons pas de cible. La demande de la majorité des agriculteurs et agricultrices qui manifestent est bien celle de vivre dignement de leur métier, pas de nier les enjeux de santé et de climat ou de rogner encore davantage sur nos maigres droits sociaux.

    En ce sens, l’agriculture biologique, sur laquelle les GMS font leur beurre avec des marges colossales, est aujourd’hui complètement abandonnée, alors qu’elle devait être soutenue, encouragée, protégée par les pouvoirs publics.

     Déclaration de cette semaine : 

    Les annonces faites par le gouvernement répondent aux demandes des gros agro-industriels.
    Rien en revanche sur la rémunération, indigne pour la majorité des paysans et paysannes, due à un système économique libéral inégalitaire. C’était pourtant le sujet qui mobilisait sur le terrain des milliers de paysannes et paysans. Or pour détourner l’attention, le gouvernement a annoncé des reculs inadmissibles pour l’autonomie paysanne, (il y aurait trop de normes pour produire suffisamment, on agite ainsi le spectre d’une autonomie alimentaire défaillante si on ne fait pas sauter les normes environnementales). Cela passe notamment par la promotion des OGM et la poursuite d’un recours massif aux pesticides, ou la fuite en avant sur la politique de l’eau ou de l’insuffisance de soutien et de reconnaissance des productrices et producteurs engagés dans la transition agroécologique et l’agriculture biologique.
    Pas de remise en cause réelle du libre-échange (MERCOSUR et autre traité de libre-échange avec des paysans qui ne partagent pas les mêmes normes en matière d’agriculture et de respect de l’environnement), ni aucune interdiction d’achat en-dessous du prix de revient de nos produits agricoles français.


    A bientôt. Amitié.



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    Vivre est un village Vivre est un village 9 février 2024 16:32

    https://www.youtube.com/watch?v=HHQ9UgzNctQ

    Je souhaite que soient connues les déclarations sensées et claires de la Confédération paysanne, que nous regrettons de ne pas davantage entendre dans les médias. voici les déclarations dont j’ai eu connaissance :

     Déclaration de la semaine passée :

    "Une double injonction intenable

    Face aux difficultés exprimées par le monde agricole, les annonces du Premier ministre sont largement insuffisantes pour redonner des perspectives d’avenir à toutes les fermes. Pire, le Premier ministre répond aux demandes productivistes et court-termistes du Président de la FNSEA d’affaiblir les normes qui protègent nos principaux outils de productions : les sols, l’eau, la biodiversité… Les quarante années d’ultra-libéralisme sont en train de détruire l’agriculture comme l’environnement.

    Et on nous demande à nous, paysannes et paysans, de faire le grand écart entre deux injonctions contradictoires : d’un côté, produire pas cher, être compétitifs sur le marché mondial avec des pays qui ont d’immenses fermes usines et des ouvriers agricoles payés 200 euros par mois…. et en même temps, de préserver la planète.

    Entre les deux, il y a notre revenu et le sens de notre métier !

    Pas de mesurettes !

    C’est vrai, une simplification administrative est nécessaire. Beaucoup de procédures administratives et de normes sanitaires sont inadaptées à la réalité de nos fermes. Mais ne nous trompons pas de cible. La demande de la majorité des agriculteurs et agricultrices qui manifestent est bien celle de vivre dignement de leur métier, pas de nier les enjeux de santé et de climat ou de rogner encore davantage sur nos maigres droits sociaux.

    En ce sens, l’agriculture biologique, sur laquelle les GMS font leur beurre avec des marges colossales, est aujourd’hui complètement abandonnée, alors qu’elle devait être soutenue, encouragée, protégée par les pouvoirs publics.

     Déclaration de cette semaine : 

    Les annonces faites par le gouvernement répondent aux demandes des gros agro-industriels.
    Rien en revanche sur la rémunération, indigne pour la majorité des paysans et paysannes, due à un système économique libéral inégalitaire. C’était pourtant le sujet qui mobilisait sur le terrain des milliers de paysannes et paysans. Or pour détourner l’attention, le gouvernement a annoncé des reculs inadmissibles pour l’autonomie paysanne, (il y aurait trop de normes pour produire suffisamment, on agite ainsi le spectre d’une autonomie alimentaire défaillante si on ne fait pas sauter les normes environnementales). Cela passe notamment par la promotion des OGM et la poursuite d’un recours massif aux pesticides, ou la fuite en avant sur la politique de l’eau ou de l’insuffisance de soutien et de reconnaissance des productrices et producteurs engagés dans la transition agroécologique et l’agriculture biologique.
    Pas de remise en cause réelle du libre-échange (MERCOSUR et autre traité de libre-échange avec des paysans qui ne partagent pas les mêmes normes en matière d’agriculture et de respect de l’environnement), ni aucune interdiction d’achat en-dessous du prix de revient de nos produits agricoles français.


    A bientôt. Amitié.



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    Vivre est un village Vivre est un village 9 février 2024 16:29

    Source : https://www.youtube.com/watch?v=HHQ9UgzNctQ

    Je souhaite que soient connues les déclarations sensées et claires de la Confédération paysanne, que nous regrettons de ne pas davantage entendre dans les médias. voici les déclarations dont j’ai eu connaissance :

     Déclaration de la semaine passée :

    "Une double injonction intenable

    Face aux difficultés exprimées par le monde agricole, les annonces du Premier ministre sont largement insuffisantes pour redonner des perspectives d’avenir à toutes les fermes. Pire, le Premier ministre répond aux demandes productivistes et court-termistes du Président de la FNSEA d’affaiblir les normes qui protègent nos principaux outils de productions : les sols, l’eau, la biodiversité… Les quarante années d’ultra-libéralisme sont en train de détruire l’agriculture comme l’environnement.

    Et on nous demande à nous, paysannes et paysans, de faire le grand écart entre deux injonctions contradictoires : d’un côté, produire pas cher, être compétitifs sur le marché mondial avec des pays qui ont d’immenses fermes usines et des ouvriers agricoles payés 200 euros par mois…. et en même temps, de préserver la planète.

    Entre les deux, il y a notre revenu et le sens de notre métier !

    Pas de mesurettes !

    C’est vrai, une simplification administrative est nécessaire. Beaucoup de procédures administratives et de normes sanitaires sont inadaptées à la réalité de nos fermes. Mais ne nous trompons pas de cible. La demande de la majorité des agriculteurs et agricultrices qui manifestent est bien celle de vivre dignement de leur métier, pas de nier les enjeux de santé et de climat ou de rogner encore davantage sur nos maigres droits sociaux.

    En ce sens, l’agriculture biologique, sur laquelle les GMS font leur beurre avec des marges colossales, est aujourd’hui complètement abandonnée, alors qu’elle devait être soutenue, encouragée, protégée par les pouvoirs publics.

     Déclaration de cette semaine : 

    Les annonces faites par le gouvernement répondent aux demandes des gros agro-industriels.
    Rien en revanche sur la rémunération, indigne pour la majorité des paysans et paysannes, due à un système économique libéral inégalitaire. C’était pourtant le sujet qui mobilisait sur le terrain des milliers de paysannes et paysans. Or pour détourner l’attention, le gouvernement a annoncé des reculs inadmissibles pour l’autonomie paysanne, (il y aurait trop de normes pour produire suffisamment, on agite ainsi le spectre d’une autonomie alimentaire défaillante si on ne fait pas sauter les normes environnementales). Cela passe notamment par la promotion des OGM et la poursuite d’un recours massif aux pesticides, ou la fuite en avant sur la politique de l’eau ou de l’insuffisance de soutien et de reconnaissance des productrices et producteurs engagés dans la transition agroécologique et l’agriculture biologique.
    Pas de remise en cause réelle du libre-échange (MERCOSUR et autre traité de libre-échange avec des paysans qui ne partagent pas les mêmes normes en matière d’agriculture et de respect de l’environnement), ni aucune interdiction d’achat en-dessous du prix de revient de nos produits agricoles français.

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