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Vivre est un village

Vivre est un village

Consultant en systèmes d'Information logistique France Mexique Espagne Allemagne de 1969 à 2012 CONVIVIALISTE MILITANT !!! Ivan Illich La convivialité « Si les outils ne sont pas dès maintenant soumis à un contrôle politique, la coopération des bureaucrates du bien-être et des bureaucrates de l’idéologie1  nous fera crever de “bonheur”. La liberté et la dignité de l’être humain continueront à se dégrader, ainsi s’établira un asservissement sans précédent de l’homme à son outil. » Dans ce texte phare, Ivan Illich amplifie et radicalise sa critique de la société industrielle. Dénonçant la servitude née du productivisme, le gigantisme des outils, le culte de la croissance et de la réussite matérielle, il oppose à la « menace d’une apocalypse technocratique » la « vision d’une société conviviale ». Ce n’est que par la redécouverte de l’espace du bien-vivre, qu’Illich appelait la convivialité, que les sociétés s’humaniseront. Ivan Illich (1926-2002) Il a dirigé l’université catholique de Porto Rico avant de fonder, au Mexique, le Centre international de documentation (CIDOC).

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  • 104 votes
    Vivre est un village Vivre est un village 3 février 2024 07:40

    @nono le simplet
    En plus du Canard Enchaîné, Charlie Hebdo et Le Monde Diplomatique sont à lire ABSOLUMENT !!!

    A bientôt.
    Amitié.



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    Vivre est un village Vivre est un village 2 février 2024 19:23

    @nono le simplet
    Prologue : Le miracle de l’obéissance
    Il n’est pas tout d’obéir au tyran, il faut lui complaire, il, faut qu’ils (les esclaves) se rompent, se tourmentent, se tuent, à traiter se affaires et puisqu’ils ne se plaisent que de son plaisir, qu’ils sacrificient leur goût au sien, forcent leur tempérament et le dépouillement de leur naturel , (Etienne de la Boétie, De la servitude volontaire) cité par Soulef Ayad-Bergounioux "Gouverner sans contraindre" Un Histoire structurale des régime de domination 

    Soulef BERGOUNIOUX, Enseignante et Chercheuse en Histoire du droit et du politique

    Historienne du droit et du politique, mes recherches portent sur les régimes de domination et les processus de désobéissance contemporains. Les résultats de mes recherches sont librement accessibles sur mon blog Mediapart. La finalité des sciences sociale et juridique est l’émancipation collective.

    A bientôt.
    Amitié.



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    Vivre est un village Vivre est un village 2 février 2024 18:29

    @nono le simplet
    Je reviens tout juste d’une croisière sur le Nil en compagnie de mon épouse et de 12 autres français...
    Dans ce contexte, j’ai parlé de mes activité Mediapart/Agoravox TV et l’époux du plus jeune couple du groupe...
    L’époux, médecin généraliste en Loraine, m’a confirmé qu’Agoravox était très léger, ce qui est souvent vrai au niveau des commentateurs mais rarement vrai au niveau des offreurs de vidéos...
    Pour la "petite histoire", en arrivant à mon ordinateur, j’ai découvert que j’avais été suspendu un mois de plus de mes droits au participatif sur Mediapart...

    A bientôt.
    Amitié.



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    Vivre est un village Vivre est un village 2 février 2024 09:31

    @Vivre est un village

    L’idée platonicienne devient norme, puis valeur  ; c’est la société et non plus l’homme - dans sa singularité ou dans sa pluralité - qui donne sens aux représentations.

    Autrement dit, "la notion de théorie" [...] ne désigna plus un système de vérités raisonnablement réunies, qui, en tant que telles, n’avaient pas été faites mais données à la raison et aux sens.

    Elle devint plutôt la théorie scientifique moderne qui est une hypothèse de travail changeant selon les résultats qu’elle produit et dépendant, quant à sa validité, non de ce qu’elle "révèle" mais de al question de savoir si elle "fonctionne".

    La pensée n’est plus dans la réception critique de ce qui est, mais dans la fabrication ; en conséquence, il est toujours possible pour l’homme de fabriquer une théorie à sa mesure parce que celle-ci n’est plus que la mesure de la société.

    • 01/02/2024 22:43
    •  
    • PAR WAWA

    Suite à l’adoption en 2018, par la Suède, de la loi “samtyckeslagen” (loi issue du mouvement #MeToo élargissant la qualification pénale du viol), les condamnations sont passées de 190 en 2017 à 333 en 2019.

    Le consentement est un concept nocif dont le droit pénal en matière de violences sexuelles devrait se débarrasser. Telle est la thèse surprenante et puissante que la juriste féministe états-unienne Catharine MacKinnon défend dans ce livre. Cette idée a de quoi surprendre dans un contexte où le mouvement #MeToo a replacé la notion de consentement au centre des débats sur la frontière entre le licite et l’illicite, entre les relations sexuelles et les agressions. Ce congé donné au consentement remet puissamment en question ce qui pourrait passer pour une évidence morale et un lieu commun de la pensée féministe. L’originalité du livre, dont le cœur de la thèse est déjà connu en anglais, est de prendre position dans le débat français et européen. Là où la Commission européenne a proposé en 2022, dans une directive visant à lutter contre la violence à l’égard des femmes et la violence domestique, de définir le viol comme "un acte de pénétration sexuelle accompli sans consentement, avec une partie du corps ou un objet" ; là où des voix européennes s’élèvent pour demander une "définition unifiée du viol fondée sur l’absence de consentement donné librement" ; là où la perspective d’une intégration de la notion de consentement dans la loi française est présentée comme un progrès social et juridique" ; là où la juriste et chercheuse française Catherine Le Magueresse s’inspire de l’approche canadienne pour défendre la notion de consentement positif et volontaire ; MacKinnon affirme, à contre-courant, que la focalisation sociale et juridique sur le consentement dans les affaires d’agressions sexuelles et de viol nuit gravement aux victimes. Loin qu’il faille espérer une réforme du droit français pour y faire mention du consentement, la législation française serait plus "prometteuse" que les autres pour la raison même qu’elle ne fait pas mention de "l’absence de consentement" dans sa définition du viol. Loin que l’intégration de cette notion (même sous la forme du consentement "affirmatif") soit une avancée, elle constituerait pour la France une véritable régression.

    https://laviedesidees.fr/MacKinnon-Le-viol-redefini




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