@Joe Chip Non, Z n’est pas un décliniste, il défend un modèle d’Etat fort tels Israël, Turquie, Russie ... et conteste l’idéologie européenne importée en partie des USA (effacement du père, féminisme, mariage pour tous, théorie du genre, effacement de l’identité religieuse historique ...).
Mais peut-être ce modèle d’Etat n’aurait pas votre faveur. Ce ne serait pas une bonne raison pour traiter Z de décliniste.
@Zatara Bien entendu, on ne change pas de culture avec un nouveau prénom. Mais ce n’est pas la question sous-jacente qui est : les parents qui donnent des prénoms totalement étrangers à la culture française et occidentale n’affichent-ils pas d’emblée un refus de s’assimiler ? Ce soupçon angoissé conduit à des positions extrêmes comme celle de Zemmour (extrême en ce sens que de Gaulle avait toléré en 1966 les prénoms musulmans et modifié ainsi la loi "zemmourienne" datant de la Révolution).
De toute manière, l’avenir du pays, notamment sur la
question migratoire, ne dépend absolument pas de ces débats et polémiques médiatiques.
Cet avenir se prépare silencieusement (ou pas) dans la viede tous
les jours sur le territoire national. Et personne ne sait de quoi il sera fait.
Zemmour ne souffre pas de contradiction. Il est, dans son
for intérieur (hors des médias où il a déjà été sanctionné à ce propos)
favorable à la rémigration. Comme il est intelligent, il comprend que c’est irréaliste
dans une France en paix civile, et moins irréaliste dans une France en guerre
civile, qu’il prévoit par ailleurs. Ceci n’est pas contradictoire avec l’idée d’une
assimilation culturelle rigoureuse, (rigoureuse au sens où on sanctionnait
autrefois les enfants qui parlaient Breton plutôt que Français) qui
concernerait, quoi qu’il arrive, rémigration ou pas, des millions d’immigrés
français de fraiche date. Au contraire, ce
sont ces règles d’une assimilation rigoureuse (à la Zemmour) qui pourraient
justifier l’exclusion (l’expulsion) du pays d’une partie de la communauté
française qui ne s’y plierait pas. Zemmour est cohérent (si ce que j’écris
reflète bien sa pensée).
Ce personnage haut en couleurs (de l’UE) m’inspire la plus
grande sympathie.
Il fonctionne comme un thermomètre. Pas celui qu’on se met
dans le cul quand on attrape la grippe. Mais celui qui mesure l’état de l’UE
par la stabilité de son maintien et la vivacité de sa marche.
Micron s’est approché du thermomètre avec l’idée de le
soutenir pour faire baisser la fièvre, mais il a renoncé, craignant la
contagion. Il n’y a plus grand-chose à faire, selon le thermomètre Junker.
L’information a toujours été une arme dans la guerre
idéologique que conduit un pouvoir, quel qu’il soit. Les fausses informations ne
sont qu’un aspect mineur de cette guerre qui est globale, permanente et vise à
imposer une vision du monde.
Un exemple parmi d’autres : la question migratoire se
pose concrètement depuis 40 ans en France, de par son impact sur l’évolution de
notre société à moyen/long terme. Le pouvoir local (France) favorable à un flux
migratoire important, et international (l’ONU avec son plan de dizaines de millions
de migrants indispensables à l’économie européenne) ont cherché à maintenir
cette question hors du débat public aussi longtemps que possible, en
stigmatisant les lanceurs d’alerte, en usant de tous les moyens de pression
dont le pouvoir dispose sur les grands médias subventionnés.
La question migratoire a fini par exploser car le pouvoir, s’il
peut contrôler le discours, ne peut masquer la réalité qui finit par s’imposer
avec force. Le pouvoir s’en trouve débordé. On en est là, avec les conséquences
potentielles les plus sérieuses sur l’avenir de l’Union Européenne.
Débordé, le pouvoir a recours aux moyens extrêmes pour
défendre ses intérêts : ainsi, l’opposition à sa politique est assimilée à
la « lèpre ». Ca ne sent pas bon. La démocratie est à la peine.
Cet exemple montre que le contrôle total du discours public
via les médias dominants peut avoir des effets pervers désastreux.
En ce sens, la montée des médias alternatifs sur Internet
est une bonne nouvelle pour la démocratie.
L’affaire des « fake news » n’est qu’un cache sexe
visant à masquer le malaise que suscite l’information alternative dans les
cercles de pouvoir et chez ses journalistes obligés de s’interroger sur leur
mission. Cette table ronde et ses grimaces traduisent ce malaise. Désormais, le
« mainstream » va de voir vivre en tenant compte de « l’alternatif »,
pour le plus grand bien de la démocratie.
Merci aux Alex Jones, Soral § Co d’équilibrer les Apathie §
Co. Qui plus est, les journalistes mainstream sont obligés de s’améliorer tel Bruce Toussaint, un bon professionnel. La démocratie reconnaissante.