Lorsque les Russes auront trouvé une parade efficace pour un grand nettoyage du ciel des drones, ils pourront alors envisager une guerre de grandes manœuvres, c’est le critère, mais notez que les villes, les feuillus, le brouillard, la nuit, la vitesse pour sauter de ville en ville sont déjà des parades efficaces mais, ne permettant toutefois pas d’envisager des grandes manoeuvres.
Ces vidéos sont illusoires car vous remarquerez que les Ukrainiens n’ont plus de matériel Russe détruit, un matériel Russe détruit étant toujours attribué aux Russes or :
— soit les Ukrainiens ont perdu tout leur matériel Russe d’origine et se prennent donc une raclée sur le terrain
— soit les Ukrainiens ont du matériel Russe invincible (sic)...
Tout cela est de la pure propagande où tout matériel détruit est qualifié systématiquement de Russe sans aucune espèce de souci de véracité, idem pour les patrouilles, idem pour tout ce qui n’est pas explicitement identifiable et ça ne l’est quasiment jamais.
Si les Russes utilisent des FAB guidées, ce n’est pas pour tirer dans le vide donc Kiev déguste à mort avec toujours cet objectif Russe d’avancer non pas pour conquérir prioritairement mais d’avancer pour prendre des positions tactiques et stratégiques avantageuses, provoquant un affrontement permettant de détruire l’armée de Kiev, c’est à dire faire sortir le renard de son terrier. Par exemple, Kiev ne peut pas refuser l’affrontement contre l’avancée centrale vers Pokrovsk car cela coupe son front en deux pouvant engendrer des manœuvres prenant toutes ses défenses à revers.
L’avancée vers Koursk de Kiev est certes humiliante pour la fierté Russe mais elle est aussi tactiquement très avantageuse car Kiev ne peut pas refuser d’alimenter ce saillant qui ne participe à aucun avantage tactique et stratégique et, lorsque les feuillus auront perdu les feuilles, la situation sera très difficile pour Kiev parce que la puissance de feu Russe pourra les chasser efficacement.
L’OTAN ne peut pas avancer car il ne peut pas contrer les missiles hypersoniques et qu’il subirait le même sort que l’armée de Kiev tandis que Moscou a sagement préservé ses moyens aériens ne les engageant pas au dessus du sol ennemi. L’OTAN serait alors obligé de combattre à pied sur la frontière Russe ce qui serait sa fin.
L’immédiateté, l’émotion, la propagande, les effets d’annonce et autres grandes conférences sont des faiblesses militaires qui servent la guerre informationnelle que Kiev est pourtant en train de perdre lorsqu’on voit le résultat des élections chez ses sponsors et l’arrivée de personne fichée par Myrotvorets dont D.Trump, T. Gabbard, et sans doute d’autres...
Croyez vous qu’ils vont donner l’argent des Américains à ceux qui les condamnaient à mort ? Le feriez vous ?
Les problèmes qui résistent ne se résolvent pas par la puissance de calcul mais par la façon de les poser, après la puissance de calcul permet de progresser dans une logique figée donnée.
Lorsque vous avez la recherche d’un optimum et c’est toujours ainsi, il faut nécessairement reposer le problème en permanence, par exemple pour la conception d’un avion où la masse doit être minimisée sans négliger la fatigue des matériaux.
L’IA fait des images mais ce sont des gamineries journalistiques dans un monde subjectif sans conséquence directe si ce n’est de semer la confusion, faites lui donc faire un avion et on verra si l’IA est aussi intelligente que vous le dites... :)
Le problème n’est pas la Russie, c’est l’Ukraine qui est devenue de facto une dictature gouvernée par des corrompus malveillants envers leur propre peuple et qui recherchent un conflit généralisé comme porte de sortie afin de ne pas se faire déposer à la première élection honnête.
"Serviteur du peuple" a desservi son peuple donc il sera viré par les urnes s’il ne reçoit pas une rafale avant...
Ils pourront toujours faire des constructions bien fondées sur les socles en béton lorsque l’éolienne sera démontée, c’est idéal... :)
Dans l’ouvrage, l’auteur a oublié la partie réseaux qui est importante. En général, le retour courant se fait par la terre pour la sous station vers les usines de production ce qui ne pose pas de souci car les centrales thermiques sont toujours à coté d’un plan d’eau pour le refroidissement, les terrains humides étant de bons conducteurs. Pour les éoliennes, c’est le vent qui dicte le cahier des charges donc il peut y avoir souci par exemple en été.
En général, le patron du BTP obtient la valeur de résistivité de la terre demandée en vidant quelques sacs de sel, vieux truc des anciens. Appel d’offres, obligation de résultat, vieux truc des anciens lorsque le client refuse la réclamation pour étendre la prise de terre mais chut... les problèmes techniques n’existent pas dans le monde des verts où la nature doit s’adapter à leurs lubies.
Si le courant produit est en courant continu, l’éolienne assèche le terrain de ses électrons par temps sec, ce n’est pas bon pour la santé et cela attire les orages.
Si le courant produit est en courant alternatif, il sera dissymétrique et attention au risque d’accident électrique et au feu pour des raisons un peu longues à expliquer.
De toute façon, c’est un gouffre financier car le coût de l’adaptabilité du réseau aux énergies intermittentes est énorme tandis que ces énergies vous lâchent au pire moment du fait qu’il n’y a pas de soleil en hiver et pas de vent la nuit ce qui n’est pas le top pour les froides nuits d’hiver... :(