Il est question dans l’article de la toute première étude, qui effectivement avait été faite à la hâte en début d’épidémie, sur un panel insuffisant.
Mais il y a eu au fil des mois la pratique en situation réelle par l’IHU/MI, qui a donné lieu l’année dernière à une étude non pas de labo mais sur les résultats mesurés, incluant des patients traités avec le protocole et un groupe de référence hors des patients traités.
@joelim L’opération en elle-même a été presque une balade avec des pick ups dépareillés, mais il a certainement fallu acheter la passivité des caciques du régime et des chefs militaires. Qu’il y ait eu de l’argent et des entremetteurs yankee dans le coup est loin d’être improbable.
@Equus zebra A la limite un cumul entre maire et député cela peut se discuter, mais un ministre doit être absolument à temps plein sur son poste, et bien plus encore quand il y a une catastrophe dramatique.
@nono le simplet (message du 17 à 15:28) Effectivement, Trump a dérèglementé à gogo, il est proche des libertariens, mais le fait est que ça a boosté l’économie, alors qu’à l’inverse l’UE a sur-réglementé et la France a surtransposé, on traine des boulets aux deux pieds. Les eurocrates, écolocrates et technocrates font de la surenchère.
Il y a un juste milieu, on n’est certes pas obligé de faire de la fracturation hydraulique à tout va, mais s’interdire tout forage et importer du gaz de schiste liquéfié par container sur des dizaines de milliers de kilomètres a un bilan écologique considérablement pire, et un prix rédhibitoire.
Les gouvernements affirment s’attaquer à une simplification règlementaire, notre économie croule sous les contraintes, on est en intérim ministériel, pourtant les administrations continuent à édicter des nouvelles obligations.
Sans aller jusqu’à la tronçonneuse de Milei (quoique l’Argentine sorte ainsi de récession) ou le grand ménage de Musk, il nous faudrait un superministre de la simplification des normes, issu de l’économie vraie. Et mettre en application la recommandation de la cour des comptes sur la réduction de 200 000 postes administratifs (en commençant le non-remplacement des départs dès maintenant).