Une idée simple et paisible, le jour ou tous les français, l’enfant,
l’ancien,
l’handicapé, le chômeur, l’actif heureux et malheureux, enfileront
régulièrement
un gilet jaune pour vaquer aux occupations journalières, par dessus le
vêtement officiel, pas pour provoquer, mais innocemment, comme Einstein
se rendant
à sa conférence en pyjama…le monde entier aura fait un pas de géant.
Une action collective est seule capable de mettre en éveil le vrai pouvoir, celui du peuple de la terre. Macron n’est plus rien dans cette folie, c’est la marionnette du vrai pouvoir celui de la finance, il est anonyme donc immensément dangereux pour toute l’humanité. Les médias officiels sont dangereux, Leur pouvoir d’aliénation est savamment utilisé par la seule vraie puissance, la finance, le capital, Mammon et le prince de ce monde. L’anonymat du monstre parfait sa dangerosité.
Ce monstre crèvera, c’est dans la logique de l’histoire.
Il faut croire à la fraternité de tous les hommes de bonne volonté..
Je plaçais le débat sur un autre plan, historique d’abord dans sa radicalité et aussi relativement à la lutte des classes qui sont la bête noire du grand capital.
Si j’ai fait allusion aux amérindiens, c’est métaphorique mais c’est aussi une manière de mettre en perspective le conflit entre deux époques inconciliables. La société de l’avoir et la communauté de l’être. Ce qui arriva aux amérindiens, est reformulé sur le continent européen. Les génocides prennent de multiples formes.
Comme disait Mitterrand...bien lâchement d’ailleurs, comme un socialiste d’opérette, c’est un pléonasme.
“La France ne le sait pas, mais nous sommes en guerre avec l’Amérique.
Oui, une guerre permanente, une guerre vitale, une guerre économique,
une guerre sans mort…apparemment. Oui, ils sont très durs les
Américains, ils sont voraces, ils veulent un pouvoir sans partage sur le
monde… C’est une guerre inconnue, une guerre permanente, sans mort
apparemment et pourtant une guerre à mort !”
Gollum, si des paysans se suicident, c’est qu’ils n’ont plus la force de se révolter. Si les français votent comme des cons pour élire les poupées gonflables du capital, Macreux et sa bande de politicards insignifiants, c’est parce que le monde des humains et sérieusement malade.
La guerre commerciale et psychologique inhibe et détruit les consciences. Il faut préciser que les peuples du monde, y compris le peuple américain bien sur, sont pris en otages par une poignée de joueurs d’échec déshumanisés.
« Plus de
propriété individuelle des terres, la terre n’est à personne. Nous
réclamons, nous voulons la jouissance communale des fruits de la
terre : les fruits sont à tout le monde "
C’est ce que
clame Gracchus Babeuf dans le Manifeste des Egaux. Babeuf,
un des seuls justes de la révolution bourgeoise et capitaliste de
1789.
Le paysan,
premier homme de la communauté de l’être. Du paléolithique au
néolithique, chasseur cueilleur, il porte dans son inconscient
personnel et collectif les valeurs radicales, le goût du sacral, et
du jouir, l’absence
de l’état et de l’argent. Quelque
part, c’est une espèce d’amérindien.
Depuis le
haut moyen âge, le paysan est un insurrectionnel. Persécuté et
vassalisé il se révolte car il est la première victime de la
société de l’avoir,
la société marchande,commerciale, financière, politique,
capitaliste...celle qui crèvera comme les autres, la
salope !
Naturel que
le monde capitaliste mortifère
anéantisse d’une manière ou d’une autre cette classe animée
des
valeurs humaines immémoriales de
Gaïa l’éternelle.
Ce qui titille l’émotion conduit souvent au conflit. Les gouvernements corrompus par la finance savent ces choses. D’ailleurs vous le savez aussi, les bruits de guerre et les guerres sont alimentés par le ressort du capital qui cultive le chaos à travers l’immigration qui constitue l’armée de réserve de celui-ci. L’histoire de l’Europe est riche de ces mouvances sournoises qui bouleversent douloureusement l’équilibre précaire de l’humanité. Dans le haut moyen âge, des "gentils" , les premiers chrétiens évangélisés, évoluaient naïvement dans la société romaine en perte de vitesse. Au IIIe siècle, Constantin, l’empereur d’une nation décadente saisit l’opportunité et devint l’empereur de ces chrétiens paisibles. En quelques siècles la violence traversa toutes les consciences, romaines, chrétiennes, globalement païennes. L’Europe entra dans la société de l’avoir et le sort en fut jeté.
Maintenant que nos dirigeants sont financiers, que le pouvoir militaire est aux états unis, (impérialisme généralisé)),le pouvoir bancaire à Berlin, (impérialisme viscéral) et le pouvoir politique à Bruxelles, (machine à perdre mise en place par la CIA) la paix est bien compromise.
Qu’est.ce que la France dans ce chaos stratégique....un souvenir.
La logique financière n’est ni humaine, ni spirituelle. Si vous en avez la force, commencer par mettre le farceur macreux dehors avec toute sa bande d’escroc de la conscience historique.
Le pouvoir est celui de la communauté de l’être restaurée. Pas de violence, simplement un peu de réflexion personnalisée. Un peu plus d’intelligence au pouvoir.