Simple question : quelle est l’autonomie de vol en temps et en distance ?
Juste un coup de com !!!!
Cela me rappelle l’homme volant (financé par la DGA) qui survolait le taré auquel
je pense sur les champs Élysée un 14 juillet.... et dont on n’a plus entendu
parler .....Manu, le roi du foutage de gueule !!!!!!!!!!!!!!
@TchakTchak C’est l’ingénierie du génome
elle-même qui menace l’espèce humaine. C’est
le problème du contrôle de la recherche. Marie Curie raffinait du Radium (je
crois) stocké dans son garage... et cela a fini par donner la bombe A grâce à
des physiciens et ingénieurs financés par l’État américain en guerre. Pourtant,
Marie Curie n’avait jamais imaginé cela.
Un phénomène similaire peut se produire avec le génome humain. Il pourrait se
développer des recherches d’ingénierie du génome pour fabriquer des races
spécifiques (race étant définie comme des
populations ayant des caractères génétiques modifiés acquis)
comme l’homme a fait avec les animaux.
Les caractères acquis ne concernent pas que les aspects morphologiques. Ils
incluent aussi des comportements. Par exemple un oiseau sait voler sans aucun
apprentissage parental... Un chien adopté par un humain a des comportent
sociaux acquis. On ne sait pas jusque quel point on pourrait fabriquer des
humains "optimisés" pour certaines tâches ou comportements.
Par conséquent, il y a un risque immense que les États dévoient l’ingénierie
génétique à des fins de domination.... et c’est pour très bientôt.
D’ailleurs, il me semble que certains scientifiques voudraient instaurer un
moratoire sur les recherches dans ce domaine... ce qui bien sûr ne marchera
jamais.
J’ai déjà répondu à Yoananda. Je vous suggère de lire ma réponse.
Vous soulevez des questions intéressantes quand vous écrivez ;
Une nouvelle fonction trouvée avec un génome modifié, n’est pas
nécessairement une solution pour le corps biologique et ses systèmes, elle peut
au contraire causer une déficience immunitaire ou fonctionnelle"
On est d’accord, mais le point capital est que l’ingénierie du génome est devant nous, et qu’elle
pose à très court terme la question du sort même de l’espèce humaine.... Nous
risquons d’avoir disparu bien avant qu’une piste apparaisse pour unifier les
forces fondamentales, notamment la gravitation et la mécaQ. C’est pour cela que
j’ai écrit en étant provocateur : "Pure masturbation intellectuelle
sans la moindre influence sur la destinée de l’humanité".
Je ne pense
pas que ce soit l’endroit idéal pour débuter des considérations scientifiques
précises. Donc je serai concis :
1) Principe
de Pauli : le principe d’exclusion dit que les fermions d’un même système ne
peuvent pas se trouver dans le même état quantique (défini pas un jeu de mêmes
nombres quantiques). Bon, OK. En pratique, expérimentalement, quand on étudie la
dynamique des électrons hors équilibre dans la matière... le principe de Pauli
n’apporte rien. Je ne me souviens pas d’avoir lu un papier sur ce sujet y
faisant référence. Le problème est plutôt d’étudier sur des échelles de temps
femto, pico ou nanosecondes comment interviennent les mécanismes d’interaction
électron-électron et électron-phonon (les vibrations) pour comprendre comment
l’énergie se redistribue entre les électrons, avec les atomes ou le réseau, quand
on peut définir une température, quelles sont les transitions effectives entre
bandes d’énergie, et si des inversions de populations peuvent intervenir
susceptible de générer de l’émission stimulée. Si cela vous intéresse, je
pourrai vous fournir des références de Physical Review sur la question.
2) Vous
écrivez :: "D’abord parce que c’est une piste pour unifier
les forces fondamentales, " mais pas que puisque ça peut déboucher
potentiellement sur de grandes découvertes concernant la production d’énergie
par exemple. Et si on pouvait unifier les forces, ça voudrait potentiellement
dire "anti-gravité" via l’électromagnétisme (puisque tout serait une
seule et même à des échelles différentes en somme)."
Je ne conteste
pas l’intérêt des recherches que vous évoquez. Cependant, je doute que ce vous
suggérez débouche à l’échelle du siècle prochain. Personnellement, je vois plutôt déboucher la biologie et l’ingénierie
au niveau du génome humain, la modification du génome humain, qui aura des conséquences
inimaginables parce que c’est le sort même de notre espèce qui sera en jeu.