@TchakTchak "Quand vous parlez de judéo-maçonnisme, c’est vrai. Mais parler de judéo-christianisme, ça marche aussi. "... à la fois apatride qui ronge les nations permettant la paix entre les peuples, à la fois gardienne d’une nation de création purement coloniale à prétexte théologique. J

Il faut nuancer et comprendre de quoi on parle.
Le christianisme n’est pas "apatride", le christianisme ne fait pas de lois pour anéantir les nations, contrairement au talmudisme républicain du messianisme juif.
La judéo-maçonnerie, c’est la république universelle du serpent (liberté, égalité, fraternité) sous le contrôle d’une élite juive, qui s’est édifiée contre l’Église catholique.
On peut célébrer les fêtes religieuses juives au Palais de l’Élysée, ou devant la Tour Eiffel avec Anne Hidalgo ou devant l’Arc de Triomphe, avec le chandelier à sept branches.
Il est bien évident que si l’on célébrait officiellement une fête catholique comme Noël ou Pâques par les instances de la république, les obédiences judéo-maçonniques (comme la libre pensée entre autres) n’hésiteraient pas à vous coller un procès.

Ce que l’on appelle judéo-christianisme, c’est complètement différent. 
Le christianisme hérite du judaïsme puisqu’il le transcende. Le judaïsme cesse d’exister.
Mais dans la nation française catholique, un juif ne pouvait pas être propriétaire foncier, car considéré comme communautariste et étranger. La France catholique n’était pas dirigée par des élites juives. Elle était identitairement française et non cosmopolite.