@TchakTchak
Oui, je pense aussi que le point de rupture est franchi et que
l’homogénéisation nécessaire pour faire société n’est plus possible
Nous sommes donc d’accord sur ce point. Oui, moi aussi je le déplore, mais c’est ainsi, c’est fait maintenant.
Mais derrière, il y a la chose publique en question, que j’indiquais à
ezechiel : les routes, les hôpitaux, les canalisations des eaux, la
police, la justice, l’éclairage public, etc... Ou qu’on appelle ça le
bien commun, peu importe. Qui gère ça comment ? La res-publica était une
question complexe, mais concrète, pas cette incantation à la con qu’on
en a fait aujourd’hui.
Tout à fait.
Qu’on le veuille ou non, on partage les même rues, la même eau, le même air, et le même réseau électrique.
On n’a pas forcément besoin d’être un peuple pour ça, une machine administrative devrait pouvoir s’en occuper.
Je pense que les réseaux ne sont pas si mal gérés, somme toute. Les routes sont praticables, l’éclairage public est là, etc...
C’est d’ailleurs ce qui fait que le système tient encore debout.
Non, pour moi le problème c’est que cette machine administrative fourre son nez partout et surtout là ou elle ne devrait pas...
Parce qu’elle veut corriger les inégalités sociales, les "injustices" de ceci et de celà, au nom des droits de la pleurniche et de qui souffre le mieux.
Et là, c’est ça qui fou le bordel partout.
Une tribu peut vite se détériorer, comme ça, elle le sait très bien.
ben ouai, les dynamiques collectives ça peut être constructif ou destructif et c’est pas de la tarte à changer quand un mauvais plis a été pris.
Moi, j’estime qu’on ne peut pas ni ne doit tout attendre de la puissance publique. A un moment, c’est à chacun de se sortir les doigts.