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Commentaire de Étirév

sur Les politiques sous drogue ? Les Français demandent des comptes ! (Ça fait mal) | GPTV Investigation


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Étirév 4 mars 09:59

Rappelons qu’une société harmonieuse doit être dominée par des êtres de spiritualité. Ceux-ci constituent la seule véritable élite car une société « normale », traditionnelle, doit se fonder sur le spirituel, comme c’était le cas, par exemple, dans beaucoup de villages Afghans avant l’invasion soviétique. Aussi, selon des spécialistes de la lutte anti-drogue, cette dernière est passée, en Afghanistan, de 200 tonnes avant la guerre, à 500 tonnes en 1985 et à 800 tonnes en 1988. Notons que l’Afghanistan, « malgré » la présence de l’ONU (ou « à cause », cela dépend du point de vue), a réalisé un tour de force en 2017, en multipliant encore par deux sa production de pavot : de 4800 tonnes en 2016 à 9000 tonnes l’année suivante (même les zones qui jusque-là étaient épargnées ont vu fleurir cette plante). Notons que dans ce « domaine » un « placement » de 1200 € génère 200 000 € de bénéfices (d’après la commission anti-mafia 2006-2008). Les liens intimes qui unissent le trafic de drogue et celui des armes peut donner une idée du « pourquoi » et du « comment » les clans mondialistes (autrement dit « Mafieux ») colonisent et tentent de s’approprier le monde.
NB : Depuis plus de soixante-dix ans, une puissante révolution a pris forme sans parti politique, sans discours électoraux, et même sans manifeste idéologique pour énoncer les buts et objectifs des nouveaux révolutionnaires.
Pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, une profonde révolution sociale, économique, morale et culturelle a choisi de proclamer son radicalisme par la musique, les Chansons et les stars du Rock and Roll.
Dans une seconde phase, la révolution par le « Rock and Roll » va prendre de l’ampleur. L’arrivée en scène des Beatles, des Rolling Stones et du groupe The Who va maintenant ajouter un élément nouveau aux ressources infernales. La jeunesse est déjà initiée aux drogues hallucinogènes depuis que le Dr Timothy Leary (qui agissait en rapport étroit avec Aldous Huxley) a fait connaître la formule du LSD. Inévitablement, la musique Rock allait intégrer toute la panoplie de la drogue à l’éventail des émotions fortes offert aux auditeurs de la nouvelle vogue : l’« Acid Rock ». Les Beatles avec « Yellow Submarine » (hallucination psychédélique), les Rollings Stones avec « Brown Sugar » (cocaïne), « Sister Morphine » et « Cousin Cocain », et finalement « Silver Lady » (seringue hypodermique). Abby Hoffman déclara alors : « Le Rock est la source de la révolution. Notre façon de vivre avec la drogue, les vêtements freaky, la musique Rock à plein pouvoir, c’est ça la révolution ! »
Cette révolution fait partie d’un projet beaucoup plus vaste, conçu et financé par les « Puissances d’argent », dans le but explicite de conduire la jeunesse vers l’« Internationalisme » c’est-à-dire à l’avènement d’un seul et unique gouvernement mondial. La rupture successive des liens avec la famille, l’Église, la nationalité et l’ethnie culturelle, fait que les jeunes perdent le sens de leur appartenance à tel groupe ou à tel pays, mais ont le sentiment d’être citoyens du monde...
« A Woodstock (aout 1969), écrit le journaliste Donald Phau dans « The Satanic Roots of Rock », presque un demi-million de jeunes se réunirent pour qu’on les drogue et qu’on leur lave le cerveau dans une ferme. Les victimes étaient isolées, entourées d’immondices, bourrées de drogues psychédéliques, et on les maintint éveillées pendant trois jours, tout ceci avec la complicité totale du FBI et de hauts fonctionnaires du gouvernement. La sécurité du concert fut fournie par une communauté hippie (truffée d’agents spéciaux) entraînée à la distribution massive de LSD (souvent mélangé à du Coca-Cola). Ce furent de nouveau les réseaux du renseignement militaire britannique qui initièrent tout ».
Le financement original du festival de Woodstock fut opéré par l’héritier d’une grande société pharmaceutique de Pennsylvanie, John Roberts, et deux autres associés dont Joel Rosenmann. Quand il est question de drogue et d’expérimentation psychiatrique, le lobby pharmaceutique n’est jamais loin.
Ainsi, une fois « ramollis », les USA étaient mûrs pour l’introduction d’autres drogues tels que la cocaïne, le crack et l’héroïne. Ce fut aussi le début d’une époque qui allait rivaliser avec la « Prohibition » et avec les énormes sommes d’argent qui commenceraient à s’amasser.
Cela doit sérieusement nous interroger sur la volonté et l’insistance qu’émettent certaines élites ces derniers temps, au sujet de la dépénalisation de l’usage personnel des stupéfiants, sous prétexte, entre autres, de combattre la toxicomanie. En effet, derrière ces immenses tragédies se profile un lobby qui semble disposer de moyens colossaux, qui est présent dans tous les pays et qui vise, à travers l’activisme de ses médias complices, ainsi que de ses « experts » et autres marionnettes politiciennes, à modifier la législation en obtenant la dépénalisation des drogues dites « légères », les substances dérivées du cannabis comme la marijuana et le haschisch, et en en minimisant les effets, passage indispensable à créer les futurs consommateurs de drogues « lourdes ». On répand ainsi la conviction qu’une loi doive et puisse seulement réglementer le « droit » des personnes, en particulier des jeunes, à essayer la « légère » ivresse narcotique de ces substances, bien différente, on tend à le souligner, par une fausse symétrie, de celle des drogues « lourdes », qui engendrent des altérations dramatiques du comportement, accompagnées de graves violations de l’ordre public. Une approche réellement scientifique démontre au contraire que le jeune qui s’approche occasionnellement des drogues même « légères » est exposé à devenir très vite consommateur habituel de drogues aussi bien lourdes que légères, entraînant des malaises très graves et progressifs, tels que par exemple la réactivation d’états latents de schizophrénie ou des atteintes plus ou moins étendues aux facultés cérébrales.
La naissance du Rock correspond à l’époque de la création du programme « MK-Ultra ».
Dans « MK-Ultra », le M est pour « Mind » (mental), ULTRA pour « Ultra-secret » et K pour « Kontrolle », en référence au fait que ce sont les Allemands qui ont conçu le programme, financé sous le parrainage de personnages comme John Foster Dulles, l’ancien secrétaire d’État américain, et son frère Allan, ex-directeur de la CIA congédié par le président Kennedy peu avant son assassinat… c’est ce même Allan Dulles que l’on retrouva plus tard sur la Commission Warren qui, après enquête sur « Dallas », conclura au « tireur isolé ».
Le programme « MK-Ultra » était une expérience de guerre chimique officielle de la CIA. C’était une expérimentation dans laquelle le LSD était fréquemment utilisé, et au cours de laquelle beaucoup d’étudiants, au sein de nombreux campus, servirent de « cobayes », et dont beaucoup moururent.
Profitons-en pour rappeler que le LSD a été mis au point en 1943 par le chimiste Albert Hoffman qui travaillait alors pour la Société « Sandoz AG », maison pharmaceutique Suisse, propriété des banquiers Warburg de Londres (principaux financiers de la Révolution bolchévique, ainsi que l’un des huit principaux actionnaires de la Banque centrale américaine lors de sa création en 1913). La Société « Sandoz AG » a été absorbée en 1995 par la « Swiss Bank Corporation » ou « Société de banque suisse » (SBS) qui fusionnera à son tour avec l’« Union de Banques Suisses » en 1998 pour former l’un des premiers établissements financiers mondiaux : UBS.
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