@JPAGO
J’ai pris l’habitude de préciser qu’il s’agit de mon point de vue, dans le sens de regarder à partir du principe de causalité tel que je le connais et qui n’est pas exactement le même que celui qui vous sert à cogiter.
Je vais vous résumer comment je vois la situation actuelle mais celle-ci n’est pas figé, car si c’était le cas, le monde n’aurait pas pu évoluer de quelque manière que ce soit, or, dès lors où on accepte le principe de l’évolution, alors, on ne peut pas rester avec une vision figé du monde. Reste à comprendre le mécanisme d’évolution.
Il se trouve que la compétition seule ne permet pas l’évolution, c’est strictement impossible pour la simple raison élémentaire qu’elle interdit par définition toute structure communautaire, quel que soit l’échelle. C’est à dire, le principe de coopération, car sans ce principe, deux particules ne peuvent pas s’agréger. Deux individus ne peuvent pas s’associer et former une communauté quelconque.
Car la différence fondamentale entre la compétition et la coopération réside dans le fait que la première est exclusive et la seconde inclusive. C’est à dire que l’une considère toujours l’autre comme une entité extérieure qui selon l’échelle prend une forme différente. Tandis que la coopération consiste à définir un lieu commun ou loi commune permettant d’unir sa force et compétence. Aucune communauté ne peut donc exister hors la coopération, car c’est le chaos qui domine. Et aucune communauté, quel que soit l’échelle ou le domaine, peut être viable et stable sans lois communes fondées sur le principe d’équité (la distinction de classe consiste à maintenir ce principe où l’iniquité porte sur les classes entre elles, mais pas à l’intérieur d’une même classe).
Bref, de mon point de vue que je peux soutenir par une argumentation encore plus étayée, vous êtes un ignorant qui croit savoir via un enseignement biaisé et se fait fort d’enseigner aux autres les biais qui prend pour des vérités. Maintenant, si vous êtes en mesure d’invalider ce que je viens d’écrire, j’admettrai que c’est moi l’ignorant, mais pour y arriver, vous devrez démontrer que l’évolution ne repose pas sur l’alternance de primauté entre la coopération et la compétition où ni l’un ni l’autre peut être supprimé. Seul l’ordre de priorité change en respect, application du principe de fractalisation de l’espace-temps.
De fait, si le droit international ne peut pas s’appliquer, c’est que la force d’application est entre les mains des justiciables, cette élite prédatrice et mafieuse au pouvoir qui donc domine l’esprit de coopération et qui doit maintenir la division entre les natures végétariennes qui constituent l’essentiel de toute communautés, donc de tout pays, quelle que soit sa culture, religion ou idéologie politique. Or, je n’ai jamais vu un chef mafieux se rendre de lui même parce qu’un juge du droit international le poursuit pour des crimes. Seuls les petits chefs ou délinquants peuvent êtres arrêté par les gros mafieux lorsqu’ils y trouvent un intérêt.
Mais dans la réalité physique , c’est toujours les conditions environnementales qui disent quel sens de la relation causale entre la coopération et la compétition doit être suivie. Donc, quant à savoir si la coopération prime sur la compétition ou l’inverse. Aujourd’hui, en raison d’un environnement inclusif au niveau planétaire, c’est la coopération entre les peuples qui doit être devant la compétition et cela passe obligatoirement par l’éjection des nature prédatrices du pouvoir.
Pour finir, je résume l’état actuel de la situation internationale par la formule suivante
Dans un rapport de domination du fort au faible, la loi ou l’accord est toujours la somme des concessions faites par le plus fort en échange de la soumission du plus faible. Où le plus fort se réserve le droit de déroger voir changer la loi en fonction de l’évolution de ses intérêts particuliers, tout en exigeant du plus faible le strict respect de la loi sous peine de sanctions plus ou moins dures. Le plus faible attendant que le rapport de force s’inverse pour dénoncer les accords puis s’il devient le plus fort, établir de nouvelles lois (ou les mêmes) à son avantage.
Mais cela est vrai que dans un monde dominé par le prédateur, sachant que dans le monde dit sauvage à l’échelle antérieure, ce sont les végétariens qui dominent la nature, pas les prédateur, pas même le lion ou le tigre. Etc....