Le libéralisme : la solution contre l’insatisfaction et les grèves récurrentes
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22 réactions à cet article
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Pauvre attardé, combattant d’arrière-garde du libéralisme,
Vous commencez votre laïus en dénonçant la langue de bois soviétique de rigueur dans les médias. Mais, petit prétentieux, à qui pourrez-vous faire croire que cette langue de bois que vous dénoncez n’est pas exactement celle-là même que vous pratiquez ?
Le libéralisme fait partie du problème. Il est donc inutile de la ramener avec vos "solutions" qui ne feront que nous enfoncer un peu plus.
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bonjour l’auteur,
Votre courant de pensée aurait dû ressortir en charpie de la crise de 2008, et voilà qu’il renait de ses cendres.... c’est beau ... si on observe ça depuis jupiter ou saturne !
ce n’est pas la moindre des victoire du libéralisme. Justifier son approfondissement pour corriger la crise qu’il a lui même créée, chapeau !
Mais regardons par exemple la situation de l’irlande, ce pays qui a appliqué toute la potion libérale : 32% de PIB de déficit : un record ! Le pays est tout simplement ruiné, et pour s’en sortir, ils veulent encore continuer .. jusqu’à ce que tous les irlandais se soient barrés, ce qu’ils ont recommencé à faire d’ailleurs.
Même le WSJ (ce repaire de gauchistes) constatent que la purge de l’état qui a été faite en Irlande a été contre-productive. L’Irlande ne produit plus rien, tout a été détruit par le libéralisme, et seul le tourisme génère encore un peu d’activité pour ce pays qui se rapproche chaque jour un peu plus du tiers monde.
Le voilà le résultat du libéralisme triomphant, un pays dont les habitants se barrent !
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Bonjour Wesson,
Ne vous inquiétez pas mon courant de pensée à bien été accusé à tort de cette crise.Le monde bancaire et monétaire ne fonctionne pas du tout selon des règles libérales. et c’est pourtant sur le dos du libéralisme qu’on a mis ces dysfonctionnements.Et les libéraux en particulier de l’école Autrichienne dénoncent avec fracas les privilèges accordées aux banques.Et c’est bien l’interventionnisme qui est responsable de cette crise.Pour ce qui est de l’Irlande, elle est effectivement victime d’un système financier qui privatise les profits et collective les pertes. C’est malheureux, mais là encore c’est bien du aux apprentis sorciers qui souhaitent que l’Etat joue un rôle important dans l’économie. -
Le libéralisme est un système de pensée qui ne peut se passer du filet de protection de l’État.
J’ai toujours cette image des trapézistes. Combien continueraient à voltiger librement sans protection contre les chutes ? Et pour ceux que cela n’effraie pas, lorsque l’accident survient, vers qui se tournent-ils pour suppléer à leur handicap, si ce n’est vers la collectivité.
Alors, d’accord pour le libéralisme, même extrême. Mais ce sera dans un monde sans gravitation. -
Pour illustrer mon propos ci-dessus, j’ai deux questions à vous poser.
- Que pensez-vous de l’indemnisation par l’État de Monsieur Bernard Tapie ?
- Jugez-vous ce personnage conforme aux canons du libéralisme dont il se réclame ?
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En fait non, le libéralisme reconnait à minima un role important à l’Etat : le monopole de la violence. Police, Justice.
Et des lois permettant aux individus de savoir ce qu’ils peuvent faire sans empiéter sur la liberté et la propriété des autres.Ce n’est déjà pas une mince affaire. Assurer la justice égale pour tous, les puissants comme les faibles.D’autres formes de solidarité existent pour les individus que la forme collectiviste actuelle. (familiale, mutuelles, charité)Quant aux entreprises, elles n’ont droit à aucune protection à avoir. Qu’elles soient banques ou PME. Elles encaissent leur profits et assument leurs pertes.L’Etat actuellement fournit un filet de protection qui pourrait être mieux pris en charge ailleurs, et qui parfois (très souvent) se transforme en hamac pour certains, ou en toile d’araignée gluante pour d’autres.Sinon à ma connaissance Bernard Tapie, il n’a jamais défendu le libéralisme. Il a fait fortune grace à des avantages donnés par l’Etat (Intervention de F. Mitterand notament pour le crédit lyonnais)Et effectivement nous allons encore devoir passer à la caisse parceque l’Etat s’est occupé du crédit lyonnais. C’est l’opposé du libéralisme.Il ne faut pas d’être riche pour être libéral. Si on fait fortune en utilisant l’Etat pour forcer les autres à des échanges non désirés. -
Le vrai danger du libéralisme, et que vous semblez minimiser, c’est l’appétit insatiable de l’individualisme. Bien que régulé, il nous a déjà donné le fameux "too big to fail", par lequel la possible chute d’une entité financière démesurée en vient à menacer d’un désastre l’humanité entière.
Pensez-vous qu’un État réduit à son strict rôle régalien soit en mesure d’empêcher la création de ces monstruosités systémiques, ou, in fine, d’en imposer le démantèlement, mais sans recours à la violence ?
Pourquoi tant de libéraux font-ils ouvertement campagne pour la création d’une gouvernance mondiale ? Que devient leur credo sur l’autorégulation des marchés ?Mon sentiment est que le libéralisme est une fuite en avant vers l’abîme totalitaire au fond duquel vos belles libertés finiront par se soumettre au pouvoir absolu d’un seul.
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@Echo,
C’est bien parcequ’il est régulé qu’il y a eu un "too big too fail". Pas le contraire. C’est parceque l’Etat peut prendre la propriétéde millions de personne -grace à des gens comme vous- pour sauver quelques banques que le too big too fail a eu lieu.Si chaque individu a des droits de propriété garanti et seulement ça-, il ne risque pas d’y avoir captation et confiscation en faveur de minorités influentes.Vous n’avez aucun confiance dans les individus, mais vous voulez confier un pouvoir colossal à quelques individus sur le destin de millions d’autres. Il y a ensuite évidement des abus que vous imputez ensuite au libéralisme....Des droits garantis pour tous sont la meilleure (la seule) protection contre beaucoup de dérives que vous signalez. Vous êtes plus fort contre l’abus de pouvoir si vous avez vous même la main sur la défense de votre mode de vie, votre liberté, votre propriété plutot que de la confier à une technocratie.Je connais bien le milieu libéral, et je peux vous assurer que personne ne fait campagne pour la gouvernance mondiale. Il est facilement de vérifier sur Internet.Vous mettez l’étiquette de libéral à n’importe quelle technocrate ou riche que que soit ses propos, forcement, ça ne vous donne pas une image cohérente du libéralisme. -
Avez-vous vraiment la naïveté de croire que le libéralisme peut se maîtriser lui-même ?
Sérieusement... ?
Il est pourtant clair qu’il ne s’agit là que du dernier outil pondu par le capitalisme mondialisé pour faire main basse sur les richesses des Nations. Le libéralisme sera donc ce que les capitalistes en feront. Or, l’Histoire nous a appris que de leur part il faut toujours craindre le pire.
Je vous laisse à votre rêverie tout en vous remerciant d’avoir répondu à mes questions. -
"Le monde bancaire et monétaire ne fonctionne pas du tout selon des règles libérales. "
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Libre-échange ? Libre circulations des capitaux ? Ceci ne vous dit-il rien ? C’est la liberté des puissants à dépouiller les petits. La liberté de privatiser tout un monde sous-développé (par le FMI) pour les puissants au détriment des populations pauvres de ces pays. L’Etat DOIT jouer un role important dans l’économie, c’est essentiel afin de protéger les plus pauvres. Au contraire, le FMI arrive dans un pays en difficulté pour "libéraliser" l’économie, résultat : apparition de quelques milliardaires, et de trois fois plus de pauvres qu’avant. La liberté totale serait quoi ? L’anarchie ? Oui. Mais l’anarchie implique que chacun est libre de ses actes, libre de tuer, de violer, d’asservir etc. Doit on en arriver là pour se rendre compte que la liberté n’est pas une vertu en soit ? Et que seul un protectionnisme aujourd’hui peut nous protéger contre cette dictature de la consommation anglo saxone ?-
@Manpo,
Oui, il y a une libre circulation des capitaux, mais cela ne suffit pas pour que cela soit du libre-échange ou du libéralisme.Pour qu’il y ait libre échange, il faut que les échanges soient libres (non, sans blague ?).Or ce n’est pas le cas actuellement. Je suis obligé de soutenir des entreprises privées, les banques -via la monnaie, l’inflation et les interventions du gouvernements-. Ce n’est pas un échange libre. Et les libéraux le disent, mais cela n’intéresse personne, c’est plus facile de tout mettre sur le dos du libéralisme.Sinon le libéralisme c’est pas l’anarchie. C’est des lois égales pour tous, respectueuses des droits naturels de l’homme de 1789.Maintenant si vous n’aimez pas votre liberté, parceque vous êtes incapables de résister tout seul à la consommation, c’est triste mais cela ne me dérange pas. Cherchez vous des maîtres à qui obeir (syndicats, Etat), ils adorent les profils de votre genre. Mais n’empiétez pas sur ma liberté, je respecte la votre.-
"Sinon le libéralisme c’est pas l’anarchie"
On s’en était aperçu, chez vous liberté est synonyme de commerce, les anarchistes ont au moins la conscience de l’ordre en faisant passer l’homme avant toute contingence consumériste ou concurrentielle.
"Cherchez vous des maîtres à qui obeir (syndicats, Etat), ils adorent les profils de votre genre"
Chacun ses maîtres, les uns le syndicat, l’état, les autres le dogme, la main invisible, à choisir entre le choléra plat-plat et la peste brune, il est préférable de s’éloigner le plus possible de toutes les religions, et la vision d’une déesse main dont le doigt invisible aime à pénétrer les culs n’est qu’un argument contre ceux qui aiment se le faire mettre et en sentir l’odeur.
Le libéralisme est un outrage à la raison, une insulte à la conscience, une régression de l’humanité.
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Alors je ne vois pas pourquoi vous vous emballez comme cela. Je n’empiète pas sur votre "liberté" (à moins que ce soit de ne pas du tout être d’accord avec vous et de vous le dire). Pour tout vous dire je m’en fiche pas mal et trouve votre dernier paragraphe assez offensif, pauvre en argumentation, limite le discours d’un jeune en crise d’adolescence. Votre liberté n’existe pas et vous avez des maitres que vous le vouliez ou non. La consommation a toujours fait partit de l’humanité ; à partir du moment ou l’on doit respirer, dormir et manger pour survivre. Non là je parle de la société de consommation. Une société où la consommation est le noyau dur. Pour ma part je ne me permet pas de juger ceux qui ne sont pas capables d’y résister. Certainement parce que je me rend compte de son efficacité à toute épreuve.
Le libre échange est de rigueur pourtant, ce libre échange qui permet librement à de grosses entreprises de délocaliser, faire venir de la main d’œuvre, d’effectuer des flux de capitaux qui ont pour conséquence de vider un pays de son PIB. Le problème est que vous vous arrêtez à la définition du mot alors que le libre échange est une idéologie. Vous n’essayez que de redorer le libéralisme 68ard de hippie complétement naïf et en dehors des réalités.
Je ne suis pas d’accord avec votre lien étant donné qu’ils dénonce de la corruption au sein de l’économie, et donc en profitent pour dire : "y’a pas de liberté c’est des gangsters qui verouillent et corrompent". C’est plus compliqué que ça. Il y a des sociétés qui grâce au libre échange, grâce à la spéculation, aux libres flux des capitaux, à la bourse, peuvent pauperiser une population en toute légalité.
Le libéralisme à outrance c’est l’anarchie, si tout le monde est complètement libre de faire ce qu’il veut, on appelle cela l’anarchie renseignez vous. Ce n’est pas les "droit naturels de l’homme de 1789" en 1789 ce sont juste les bourgeois francs-maçons qui ont pris le pouvoir. L’homme n’a pas de droit naturel car le droit est une invention de celui ci. On ne peut pas baser le naturel sur du constructivisme historique c’est très niais.
Après tout cela oui, peut être que le libéralisme est potentiellement capable d’être bon pour l’humanité, mais cela impliquerais d’avoir des dirigeants socialistes, altruistes, humains quoi. Comme en état de fait nous sommes gouvernés par des bourgeois n’agissant que pour leur interet, et que le libre échange est dirigé par eux et pour leur profits, on peut dire que le libre échange que l’on nous vend à toutes les sauces n’est pas bon pour l’ensemble du peuple terrien.
La nuance tout est dans la nuance...
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Si vous voulez empiétez sur ma liberté et du fait vous le faites, -pas en me contradisant avec moi, c’est que parfaitement naturel et respectable- mais en incitant l’Etat à prendre plus de pouvoir sur nos vies, notre vie économique en particulier. Vous le faites en toute bonne conscience voir sans même vous en rendre compte mais vous le faites.
Sinon la tradition des droits naturels balaye 2500 ans d’histoire philosophique de Platon à Locke en passant par Thomas d’Aquin et Cicéron. Elle a marqué, la déclaration de droits de l’homme de 1789, les procès de Nuremberg et Martin Luther King. On peut pas l’apprécier, mais décréter qu’elle est niaise est assez surprenant.Votre dernier paragraphe le montre bien : vous cherchez des maitres. Des maitres bons et altruistes.Vous n’avez pas compris le libéralisme.Vous êtes plus capable d’être altruiste et bon que tout les maitres de la Terre. Et c’est suffisant pour améliorer le monde, sans violer la liberté, la propriété des autres.-
Si vous voulez empiétez sur ma liberté et du fait vous le faites, -pas en me contradisant avec moi, c’est que parfaitement naturel et respectable- mais en incitant l’Etat à prendre plus de pouvoir sur nos vies, notre vie économique en particulier.
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Vous avez encore trop la vision de l’état malfaisant de l’URSS. Où l’état est forcement belliqueux, liberticide, et asservissant. Pour ma part, et sans avoir cette vison trop subjective et capitaliste, entre l’état et une entreprise privée, je préfère pour ma part être dans un pays dirigé par un état. Particulièrement dirigé économiquement. Une entreprise privée agira pour ses interets, tandis que l’état _ utopiquement idéal_ agirais pour le peuple, la majorité quoi. Si l’état n’a aucun pouvoir économique, on atterrit alors dans un monde ou la loi du plus fort règne et ou le faible destiné à disparaitre. Il suffit de regarder les tribues sud-americaines. Il est utopique de penser qu’une liberté totale ou l’être humain serait respecté est possible. Parce que liberté totale = loi du plus fort.
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La façon dont vous avez parlé des droits naturels de l’homme laissai à penser que c’était une réflexion à vous. Ce qui contextuelement à notre époque est niais, mais contextuelement à 1789 et avant reste cohérent. Après ce n’est pas que je l’apprécie ou pas mais rien ne prouve que cette théorie des droits naturels soit à l’origine de la déclaration des droits de l’homme (franc-maçon)
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_Votre dernier paragraphe le montre bien : vous cherchez des maitres. Des maitres bons et altruistes.Vous n’avez pas compris le libéralisme._
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Je ne recherche pas des maître mais des responsables soucieux d’un peuple, ce n’est pas la même chose. Je ne cherche pas des gens auprès de qui m’asservir, mais une république en qui avoir confiance, ça c’est le libéralisme auquel je souscris. Si pour vous le liberalisme c’est juste : un homme sans dieu ni maitre, alors vous vous contredisez : "Sinon le libéralisme c’est pas l’anarchie. C’est des lois égales pour tous, respectueuses des droits naturels de l’homme de 1789." Donc d’un coté le libéralisme c’est la liberté totale d’un individu (que j’appellerais individualisme) et de l’autre ce sont un ensemble de lois datant de la révolution française. Vous même ne savez pas ce qu’est le liberalisme. Le libéralisme, est effectivement la fin de la servitude envers la royauté de droit divins. Mais ce libéralisme des lumière reconnait aussi la nécessité d’un état républicain. Aujourd’hui le libéralisme à un tout autre visage. Il correspond à cette idéologie de la liberté totale et donc de la loi du plus fort. Loi de vigueur dans notre système ultra-libertaire. Trop de liberté empiète forcement sur celle des autres. -
Merci pour la vidéo et le blog.
Comme le prouvent les commentaires il va en falloir des gens comme vous avant que les gens comprennent ce qu’est le libéralisme.Non, nous ne sommes pas des milliardaires assoiffés de pouvoir voulant exploiter la misère humaine, c’est justement ce que nous voulons éviter en enlevant le pouvoir des mains des politiciens.
Je gagne 1000€/mois et j’aimerai ne plus être contraint à survivre, contraint à la médiocrité par des puissants qui ruinent le pays et distribuent des allocations qui permettent à peinde de "survivre" pour garder le peuple en servitude et qu’on les regarde comme nos dieux.-
Justement vous n’avez pas compris qu’aujourd’hui les politiciens n’ont plus aucun pouvoir. C’est pour ça qu’on a l’impression qu’ils ne font rien, ils ne peuvent rien faire. Les multinationale ont bien sur profiter du libéralisme, on fait leur fortune sur cette liberté économique et maintenant ils sont libres de vider le PIB de la France et de faire des affaires avec les chinois. On est dirigés par des gens qu’on ne connait pas pour la plupart et qui sont apatrides. Si tu gagne 1000 euros par mois, tu sera bien content que ton pays fasse du protectionisme remette des frontières et nationalise sa monnaie afin que tu puisse être payé 500 euros de plus par mois, ou que ton pouvoir d’achat soit plus grand. Une entreprise privée ne fera jamais ça même idéalement. Un état oui.
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Je ne vois pas en quoi un interventionnisme accrue de l’état ferait augmenter mon pouvoir d’achat, l’état n’a pas possibilité d’augmenter les salaires sans augmenter les couts de productions. De toute façon s’il y a plus d’état il faut forcément plus de budget donc on doit payer encore plus.
Les politiciens ont encore suffisamment de pouvoir pour ruiner la France en investissant dans des secteurs en faillite, pour moi faire affaires avec les chinois est une bonne chose, il y a des secteurs d’activité sur lesquels on est pas compétitif il font arréter de subventionner ses puits sans fonds à perte et sous traiter celà à des pays qui sont meilleurs que nous pour faire ça. Avec du protectionnisme le cout de nombreux objet triplerait donc même si vous gagnez un peu en salaire vous perdez en pouvoir d’achat. Pourquoi aujourd’hui presque tout le monde peut s’acheter un téléphone portable ? (merci les chinois). L’état taxe les produits chinois pour qu’on les paye plus cher et réduit notre pouvoir d’achat et en paralléle l’état nous taxe en réduisant encore notre pouvoir d’achat pour subventionner des industrie Française mauribondes...
Vous dites pour conclure qu’une société privé n’augmentera pas mon pouvoir d’achat alors que l’état oui, mais je n’attend pas que quelqu’un augmente mon pouvoir d’achat, je veux juste avoir la liberté de le faire par moi même. Sans charge sociales (patronale et salariale) je gagnerai le double et en ayant recours à des assurances sociales privées j’aurai le même service (retraite, santé, chômage) deux fois mois cher. Donc être payé deux fois plus et payé deux fois moins le calcul est vite fait. -
Effectivement, aujourd’hui tout est fait pour que tu ailles vers le privé, a partir du moment ou l’état est innefficace. On est en plein dans le modèle anglo-saxon, comme avec comme tu disais par exemple les assurances privées. On est de plus en plein dans une logique de dette depuis la loi pompidou rotshild donc l’état reverse chaque année une partie de son Pib aux banques. Mais si l’état reprenait le destin de son pays en main (ce qui ne risque pas d’arriver sachant que nous sommes gouvernés par un hyper classe vendue aux américains) , anullait la dette, redevenait maitre de sa monnaie, et de ses frontières, il serait plus efficace de lutter contre la crise économique (conséquence d’ailleurs de la politique de libre échange mondialisée), avec la monnaie on pourrait devaluer, avec les frontières remettre des taxes. On pourrait aussi réhausser le pib en s’occupant des chomeurs (ce qui permettrait de payer moins d’impots et de charges) en france et pas en délocalisant en chine. J’aime bien les chinois mais bon on va pas faire plonger la france pour leur developpement économique (ce qui risque d’arriver de tte facon). Et vous voulez avoir la liberté de faire par vous meme l’augmentation de votre pouvoir d’achat mais vous dépendez quand même d’une société privée qui n’hésitera pas à tripler son tarif si le besoin s’en fait sentir. Alors si on annule la dette que l’on donne du travail aux chômeurs si l’on remet des frontieres et si on re-nationalise la monnaie, croyez moi le pouvoir d’achat des plus démunis augmentera et un niveau de vie correct leur sera assuré.
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Ce que vous dites ce tient et je comprends votre logique qui en effet devrait permettre à la société d’être plus attractive qu’aujourd’hui mais comme toute solution elle n’est pas unique et pour ma part une vrai société libérale est une solution qui convient mieux à ma vision de l’humanité.
Je pense que en effet la solution économique est dans l’ultra protectionnisme ou l’ultra libéralisme, le capitalisme d’état que nous vivons actuellement est, après le collectivisme d’état, la pire des choses car il prend les mauvais coté du libéralisme et du protectionnisme.
Après, selon mon opinion, sur les aspects non économique le libéralisme est plus sain que le protectio-conservatisme. -
Si vous voulez empiétez sur ma liberté et du fait vous le faites, -pas en me contradisant avec moi, c’est que parfaitement naturel et respectable- mais en incitant l’Etat à prendre plus de pouvoir sur nos vies, notre vie économique en particulier.
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Vous avez encore trop la vision de l’état malfaisant de l’URSS. Où l’état est forcement belliqueux, liberticide, et asservissant. Pour ma part, et sans avoir cette vison trop subjective et capitaliste, entre l’état et une entreprise privée, je préfère pour ma part être dans un pays dirigé par un état. Particulièrement dirigé économiquement. Une entreprise privée agira pour ses interets, tandis que l’état _ utopiquement idéal_ agirais pour le peuple, la majorité quoi. Si l’état n’a aucun pouvoir économique, on atterrit alors dans un monde ou la loi du plus fort règne et ou le faible destiné à disparaitre. Il suffit de regarder les tribues sud-americaines. Il est utopique de penser qu’une liberté totale ou l’être humain serait respecté est possible. Parce que liberté totale = loi du plus fort.
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La façon dont vous avez parlé des droits naturels de l’homme laissai à penser que c’était une réflexion à vous. Ce qui contextuelement à notre époque est niais, mais contextuelement à 1789 et avant reste cohérent. Après ce n’est pas que je l’apprécie ou pas mais rien ne prouve que cette théorie des droits naturels soit à l’origine de la déclaration des droits de l’homme (franc-maçon)
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_Votre dernier paragraphe le montre bien : vous cherchez des maitres. Des maitres bons et altruistes.Vous n’avez pas compris le libéralisme._
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Je ne recherche pas des maître mais des responsables soucieux d’un peuple, ce n’est pas la même chose. Je ne cherche pas des gens auprès de qui m’asservir, mais une république en qui avoir confiance, ça c’est le libéralisme auquel je souscris. Si pour vous le liberalisme c’est juste : un homme sans dieu ni maitre, alors vous vous contredisez : "Sinon le libéralisme c’est pas l’anarchie. C’est des lois égales pour tous, respectueuses des droits naturels de l’homme de 1789." Donc d’un coté le libéralisme c’est la liberté totale d’un individu (que j’appellerais individualisme) et de l’autre ce sont un ensemble de lois datant de la révolution française. Vous même ne savez pas ce qu’est le liberalisme. Le libéralisme, est effectivement la fin de la servitude envers la royauté de droit divins. Mais ce libéralisme des lumière reconnait aussi la nécessité d’un état républicain. Aujourd’hui le libéralisme à un tout autre visage. Il correspond à cette idéologie de la liberté totale et donc de la loi du plus fort. Loi de vigueur dans notre système ultra-libertaire. Trop de liberté empiète forcement sur celle des autres.-
Une solution aux crises économiques
Le modèle « gagnant – gagnant »Dans mon entourage, un ami m’a souvent intrigué par la diversité, la richesse ou encore la logique que renfermaient ses propos. J’aimais à converser avec cet homme, plus que n’importe quel autre car nos quelques conversations ont entamé quelques réflexions intéressantes de mon point de vue.
Je n’ai jamais été très porté sur l’économie ou la politique, lui l’était. Il était même de ceux qu’on dit engagé. Nos conversations étaient multiples et variées mais il aimait ce sujet par-dessus tout, celui de la politique et de l’économie. Un jour, il a eu un geste qui m’a touché. Il m’a offert de lire une œuvre de Karl Marx …jusqu’en me donnant le livre.
Je me devais alors de le lire au moins une fois et le comprendre. Le comprendre, non pas le contenu que renfermait ce livre, mais comprendre ce geste qui a poussé cet ami à s’en séparer et à le partager.
Et j’ai lu ce livre « le manifeste du parti communiste » bien plus d’une fois. J’avais compris à sa première lecture les raisons de ce geste. Mais ce livre fascinant me poussait à le relire. Et à mon tour, je vous offre de le lire en vous le procurant pour une modique somme chez le libraire du coin, modique car bien moins égale à la richesse qu’il renferme. Si ce n’est pas déjà fait, je vous invite fortement à le lire avant de poursuivre la lecture de ce contenu.Avant je dois d’abord vous raconter une histoire, une histoire vraie. Lorsque j’étais enfant, on nous a offert à mes sœurs et moi un jeu que j’adorais. Ce jeu auquel de nombreuses personnes ont joué. Un jeu constitué d’un plateau sur lequel on déplace un pion de case en case pour faire le tour et tour pendant lequel on peut s’approprier des maisons, des hôtels ou des gares et tour à la fin duquel on gagne un salaire. Vous avez probablement reconnu le jeu.
Je pouvais y jouer des heures et des heures sans m’en lasser. J’en sortais très souvent vainqueur plus que vaincu. Mais à force d’y jouer, même vainqueur j’étais déçu, déçu que la partie soit déjà terminée, déçu d’être devenu le plus riche et que tous les autres joueurs n’est plus un sou pour continuer la partie.
Les nouvelles parties devaient se dérouler autrement de sorte qu’elle soit interminables. Et c’est là que j’ai eu une idée : il fallait qu’a n’importe quel moment de la partie tous les joueurs puissent disposer de suffisamment d’actif pour continuer la partie (actif financier : argent ou actif immobilier : maisons, hôtels, gare…) sans nécessairement créer de l’actif qui n’existe pas (crédit).
Alors j’observais continuellement les actifs des joueurs et leurs évolutions. Dès lors qu’un joueur atteignait le seuil critique du retrait de la partie, j’intervenais en lui donnant soit une somme d’argent suffisamment importante pour continuer s’il dispose déjà d’actifs immobiliers et/ou de l’actif immobilier (maison, gare ou hôtel) s’il ne disposait d’aucun bien immobilier, tout cela de façon stratégique. Les parties avait alors beaucoup plus de goût et durait bien plus longtemps. J’avais trouvé un moyen de verser la « subsistance » nécessaire aux joueurs pour continuer la partie économique. Aujourd’hui cette subsistance a le nom d’allocation. Les parties ne se terminaient que lorsque nous en avions tous assez, il n y avait aucun perdant que des riches et moins riches : Le modèle gagnant – gagnant a été adopté. J’étais une sorte de régulateur du système économique de la partie. D’ailleurs ce jeu serait encore plus plébiscité s’il intégrait cette règle où les joueurs à la fin du tour disposant de revenus modestes puissent obtenir une allocation prélevée sur les autres joueurs plus aisés.Par analogie, on voit que ce modèle de « jeu stratégique économique » est appliqué dans beaucoup de pays. Prenons l’exemple de la France, système que nous connaissons le mieux pour y vivre.
En France, il existe des créateurs de richesses, que sont des personnes physiques (citoyens français), les personnes morales (entreprise en tout genre), qui créent beaucoup plus de richesses qu’ils n’en consomment. Ces créateurs risquent alors de voir la partie économique s’effondrer puisque les autres joueurs, les consommateurs plus modestes ne disposeront plus d’aucun actifs pour continuer à consommer et faire durer la partie économique. C’est là que sont nés l’impôt, les mesures sociales et son gestionnaire : l’Etat.
Rappelez-vous le joueur plus haut, ce joueur suivait l’évolution des actifs des autres joueurs et dès lors qu’un joueur battait de l’aile, il lui reversait une sorte d’allocation pour continuer son envol. L’état français, comme beaucoup d’autres d’ailleurs, a eu l’intelligence d’implémenter ce modèle gagnant-gagnant pour s’assurer que n’importe quel citoyen puisse continuer à consommer tout en consolidant la position des joueurs les plus aisés. Grande est l’erreur parmi les plus aisés, ceux qui pensent que l’imposition et/ou les mesures sociales sont des solutions qui mettent à mal leur fortune. Bien au contraire, sans elles leur fortune serait éphémère. Donc l’imposition et les mesures sociales profitent à tout le monde.
Oui mais la France et beaucoup d’autres nations implémentent ce modèle gagnant-gagnant et toutes pour autant connaissent des crises économiques : Où doit-on voir la solution ?
Effectivement ce modèle n’est une solution qu’à l’échelle où il est appliqué. Si on se place à l’échelle mondiale, toutes les nations deviennent de simples joueurs, créateurs de richesse pour une part et simplement consommateur pour l’autre part. Pour implémenter ce modèle gagnant-gagnant il faudrait au monde un gestionnaire qui collecte un impôt sur les créateurs de richesses et organise suivant un certains nombre de critères les mesures sociales qui vont permettre aux pays les plus défavorisés de continuer à consommer en leur versant une allocation, allocation qui devra intégralement être reversée aux concitoyens respectifs suivant les mêmes critères. Il va de soi que les pays défavorisés seraient non imposables tout comme les familles modestes en France.
Il faudrait alors mondialiser ces protections sociales.Ce serait un modèle Marx - keynésien.
Essayons d’implémenter ce modèle à l’échelle européenne pour hisser tous les pays européens vers le haut en invitant les pays bénéficiaires de ces aides sociales à échanger avec leurs homologues européens pour satisfaire leurs besoins puisque s’agissant de fonds monétaires européens à destination exclusive de leurs citoyens, les consommateurs finaux.
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