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Étirév

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    Étirév 9 juin 2020 15:35

    Ces outils, qu’il conviendrait d’appeler des armes de destruction de l’harmonie universelle, sont ce qui fut appelé les « idéologies ». Les idéologies sont des constructions de la spéculation mentale, au même titre que la philosophie, mais au service total de l’involution. Le souci principal et principiel de l’idéologie et du matérialisme étant de détruire toute Culture et Tradition, toute ancestralité, qui sera alors brûlée et fustigée comme institution primitive et arriérée. Les adjectifs péjoratifs ne manqueront pas dans la rhétorique développée par les différents idéologues du 19éme, et nous jugerons inintéressant d’en faire la liste exhaustive. Mais il s’agira d’un gigantesque autodafé de la mémoire de l’humanité qui commencera dès cette période, un autodafé idéologique. A la différence de l’inquisition Catholique, on n’y Brûlera pas des Livres, mais l’on en écrira pléthore pour mieux étouffer les références de ce qui se révèle déjà comme « l’ancien monde » : ici ce sont les écrits qui brûlent la Culture.
    L’humanité, en tant que race, est une accumulation historique de distorsions psychologiques et psychiques développées par la domination d’idéologies qui détournent l’individu de lui-même. L’humain plus évolué se dissociera, le temps venu, des idéologies globales et recouvrera son identité.



  • 3 votes
    Étirév 26 mai 2020 06:16

    Tous ces gens sont grossiers et « moches » moralement, ce qui est un stigmate du mensonge.
    En effet, le mensonge ne peut pas créer la beauté, qui restera toujours le privilège du vrai.



  • 1 vote
    Étirév 26 mai 2020 06:11

    Il est des gens naïfs qui croient que l’histoire est le récit exact des faits du passé. Ils semblent ignorer que le monde est, depuis longtemps, régi par le mensonge et que le désordre de la société actuelle en est la conséquence.
    A toutes les époques, il y a eu des partis qui, voulant s’emparer d’un pouvoir auquel ils n’avaient pas droit, ont appuyé leurs prétentions sur une idée, un système, une théorie religieuse ou sociale, qu’ils ont propagée par violence, par fraude ou par ruse.
    N’oublions pas que la fameuse Bibliothèque d’Alexandrie a été brûlée trois fois, que les papes chrétiens ont fait détruire un grand nombre de monuments antiques, que les archives du Mexique et celles du Pérou ont disparu pour satisfaire le zèle fanatique d’un évêque espagnol.
    Deux mots à propos des relations entre européens et américains primitifs.
    On s’est demandé comment il se fait que les habitants du vieux monde ont pu communiquer avec ceux du monde nouveau dans la haute antiquité, ainsi, que l’attestent les anciens souvenirs qui sont les mêmes partout, puisque partout les mêmes idées, les mêmes traditions ont été retrouvées.
    Nous pensons que cette communication a pu s’accomplir par terre, attendu que, à cette époque reculée, la mer Atlantique ne devait pas avoir une aussi grande étendue que dans les temps modernes, puisque l’eau augmente sur la terre. Il devait y avoir une terre qui reliait les deux mondes par le Nord.
    Ce n’est que depuis l’envahissement de l’eau que les deux mondes sont séparés par une large mer. Il n’y a pas eu effondrement d’un continent, mais submersion de plusieurs îles.
    L’Amérique s’appelait Antila (d’où est resté le mot Antilles). Une carte d’André Bianco se trouve à la Bibliothèque de Saint-Marc, à Venise, elle fut faite en 1436 et parle de l’Amérique sous le nom d’Antila.
    Les deux frères Zeni, vénitiens, pénétrèrent en Amérique par le Nord-Ouest de l’Europe vers 1380, ils nommèrent le pays où est le banc de Terre-Neuve, Friesland.
    Dans l’atlas d’André Bianco, Terre-Neuve est appelé Stoka-fixa (d’où l’on a fait Stockfisch).
    Chez les peuples Ibériques, on savait par d’antiques traditions qu’il existait au delà de l’Océan un pays que certains nommaient Ile de la main, de ce que la divinité s’appelait Maïr, Mœra ou Mana (Mère).
    On fit une légende sur le mot main. On raconta qu’une main en sortait la nuit pour saisir ceux qui s’approchaient.
    M. Cailleux nous fait remarquer que Mair-Monan, le Dieu des mexicains, n’est autre chose que la Déesse Mère (Maïr, Mœra), et il nous montre que par toute la Gaule on trouve des inscriptions rappelant la même Déesse, Deabus Mœrabus.
    Le vrai nom est donc Mair, exactement écrit comme dans Mair-Monan, ce qui établit une communication d’idées entre l’ancien Mexique et l’ancienne Gaule.
    (Cette Déesse porte dans une main cinq pommes de pin et dans l’autre une couleuvre ondulante.)
    À propos de ces anciennes relations « transatlantiques », Godefroy de Roisel dans « Études anté-historiques : les Atlantes », dit : « Il est acquis qu’un peuple colonisateur étendit ses conquêtes sur les deux rives de l’Océan atlantique et domina sur toute l’Europe occidentale. Après la ruine de la mère-patrie, quelques-unes de ces colonies, gardiennes fidèles de la science, prospérèrent en diverses contrées, jusqu’aux temps relativement modernes des premières invasions asiatiques, qui furent suivies d’une période d’équilibration, pendant laquelle tout semble avoir été perdu. Notre histoire date des ces époques de confusion ; et c’est à peine si l’on soupçonne aujourd’hui que ce véritable moyen-âge succédait à une antique prospérité. »
    Dans le Massachusetts (USA, Nouvelle-Angleterre), on voit des inscriptions phéniciennes gravées sur des roches.
    En Amérique, le mot Hour (qui vient de Houri) signifie pro-stituée (premier-état), c’est-à-dire femme de l’ancien régime.
    Le comte Maurice de Bregny, archéologue français, a découvert au Guatemala, dans le district de Peten, les vestiges d’une immense cité de l’époque des Mayas, c’est-à-dire de Maïr (Mères).



  • 1 vote
    Étirév 23 mai 2020 10:12

    En Egypte comme partout, le régime féminin a précédé le régime masculin et il a dû avoir une longue durée de prospérité et de paix, puisque, au moment où commence l’histoire, c’est-à-dire le règne de l’homme, le pays possède déjà une langue bien formée, l’écriture, et des institutions sociales qui serviront de base à l’organisation future des sociétés. Enfin une religion, un culte, une haute morale. Tout cela réalisé avant les temps historiques.
    L’Egypte fut longtemps gouvernée par des Prêtresses que l’histoire appelle des Pharaons. Celui qu’on appelle « le premier Roi » est Mena (devenu Menés), mot qui veut dire Mère, comme Manou. On appelle les féministes Philo-Mena.
    Le règne de l’homme en Egypte ne s’établira que dans le millénaire qui précède le Christianisme.
    Il commencera à Psammitique (665 à 650).
    Dans le règne primitif, toutes les grandes dignités de l’Etat, les fonctions de juge, de médecin, étaient exclusivement réservées à la caste sacerdotale. Les hommes ne pouvaient pas y prétendre, ils étaient soumis au pouvoir des femmes appelées « des sages » (Soffet), qui leur faisaient faire un service régulier, un travail dont l’organisation avait été savamment établie. On les envoyait aussi en expéditions lointaines.
    Pour les récompenser, on leur donnait le droit de porter certains signes de distinction. On comprenait déjà que les honneurs accordés aux hommes n’ont de valeur que s’ils les tiennent de la Femme.
    Aujourd’hui encore, qu’est-ce que la rosette de la légion d’honneur, imaginé par Napoléon, rudice en étoile que les officiers de marine appellent la « tomate » ou « pomme d’amour », la pomme de Vénus, tellement dévaluées de nos jours parce que distribuées à la volée, moins sur la base du mérite qu’en raison d’une certaine aptitude aux courbettes quand il ne s’agit pas de reptation ?
    C’est la rose mystique, emblème qui représente la Femme que nous retrouvons en Egypte dans l’ordre de la « Rose-Croix ».
    Cette Rose était dédiée à Vénus et ceux qui se soumettaient à sa loi étaient appelés sub rosa.



  • vote
    Étirév 16 mai 2020 07:22

    Si le nom de « Dulcinée » est encore présent dans l’inconscient collectif, tout comme, à un niveau moindre, le verbe « dulcifier » (le prénom Dulcinée vient du verbe « dulcifier », adoucir), personne ne sait plus qui furent les « Dulcinites ». Il s’agissait des membres d’une secte hérétique vaudoise du XVIème siècle qui se réclamaient de Dulcin (Fra Dolcino) ; ce dernier, influencé par Joachim de Flore, prêchait la venue du règne du Saint-Esprit. Clément V, le Pape qui devait être, quelques années plus tard, coresponsable de la condamnation des Templiers, fit traduire Dulcin devant les tribunaux de l’Inquisition. Dulcin mourut sous la torture, en 1307, et ses restes furent brûlés. Ce fut en cette même année 1307 qu’eurent lieu les premières arrestations de Templiers.
    Le 14 octobre 1307, le roi ordonna l’arrestation des chevaliers du Temple pour les déférer au tribunal du grand inquisiteur de France. Le Grand-Maître, Jacques de Molay, vieux et brave gentilhomme de Franche-Comté, était venu sans défiance d’outre-mer avec ses amis et les trésors de son Ordre.
    Dans l’article sur les Croisades, nous avons montré comment l’Ordre des Templiers fut fondé et comment, dès son origine, il se soumit à la souveraineté du Saint-Siège. Nous devons penser que cette soumission ne fut qu’une mesure de prudence, nécessaire dans un temps où l’on n’avait de sécurité qu’en s’abritant sous l’autorité de l’Église.
    Mais nous voyons que l’Ordre des Templiers, aussitôt qu’il devient puissant, au lieu de suivre le dogme catholique, fait un retour complet vers l’ancienne religion théogonique et se constitue en société secrète.
    A quoi faut-il attribuer cette conversion ? Est-ce l’austérité du régime, qui fait faire le serment de chasteté à des jeunes gens d’élite, qui par là les ramène à la saine raison ? Est-ce une influence étrangère ?
    Les Templiers

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