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jack Mandon

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  • Premier article le 14/08/2017
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    jack Mandon jack Mandon 14 août 2017 22:13

    @Mister hyde

    Ainsi vous avez emprunté le nom malheureux du héros de Robert-Louis Stevenson, un grand monsieur. Pas trop lourd à porter ? enfin vous avez l’avantage de rencontrer la sagesse avec le Dr Jekill. Bonne soirée.



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    jack Mandon jack Mandon 14 août 2017 22:03

    @Yaduboulo

    Pardon pour l’orthographe.

    Je viens de me promener dans vos articles, c’est riche par les thèmes proposés, un lieu ou l’on peut se poser avec bonheur.

    Je ne fréquentais pas ce site, j’arrive du frère siamois Agoravox Média, une autre formule. Content de vous mieux connaître.

    A bientôt



  • 2 votes
    jack Mandon jack Mandon 14 août 2017 17:02

    @gaijin et Yadubouleau...ça c’est bien vrai


    Francis Cousin, le « physiologue intemporel » nous dit : Le début de l’intelligence humaine en radicalité de profondeur, c’est de comprendre que le faux est consubstantiel à toutes les vérités officielles du pouvoir démocratique de la tyrannie de la valeur. » « Les médias disent le faux par essence ». « Elles sont la déjection intestinale du pouvoir marchand. »

    Ce sont des propos de chirurgien de l’âme, le langage est marxien et jargonneux j’en conviens. La richesse vaut plus par le fond et le sens.


    Fabrice Luchini, en ménestrel séducteur, manieur de jolis mots, évoque avec talent l’hélianthe imaginaire qui émerge de la déjection du pouvoir marchand. C’est l’art de l’illusoire, c’est beau et utile pour la santé de l’âme des midinettes, mais pas seulement.


    Merci à Gaijin et Yadubouleau



  • 1 vote
    jack Mandon jack Mandon 30 juillet 2017 11:52

    C’est curieux comme un religieux peut quelques fois faire preuve d’une absence de pédagogie qui confine à la maladresse. Il est vrai que c’est le lot des religions monothéistes en particuliers qui nous balancent leurs sentences.

    Quelle que soit notre culture, nous sommes tous confrontés au terme de chaque chose et finalement au passage final obsédant .

    L’auteur a sans doute réglé ses problèmes. De son monde désormais clos, il retire l’échelle et par les injonctions testamentaires du légalisme de l’ancien testament, il nous dit peut-être sans en prendre conscience...démerdez-vous !

    Il ne se rend pas compte, mais le saint qui plaît à Dieu, selon lui, c’est une espèce de castrat, même pas pour le plaisir de faire carrière à la Scala di Milano.

    Alors des voix « martiales et sexuées » de protestation s’élèvent à l’unisson. L’auditoire agoravoxien déjà critique et quelque peu hermétique s’insurge.

    La foi, au sens large, ne peut être que la manifestation saine d’un instinct de vie. Le « tout de l’être », à l’indicible divinité du sourire d’un enfant, du spectacle rutilant de la flore et de la faune, de la créativité humaine et de l’écoute de l’autre dans la communication et globalement du désir d’aimer. Hélas toutes les religions confondues, surtout les plus turbulentes et sectaires sont devenues antinaturelles. Au diable les canons, pièces d’artilleries ou bulles légalistes. Les "ordres" et les "défenses", sont des entraves à l’expression vitale. Et pourtant la divinité primordiale est bien vivante dans notre imaginaire.





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    jack Mandon jack Mandon 27 juillet 2017 11:04

    @alanhorus

    Tout et son contraire reste possible

    Entre déterminisme et fatalisme, le premier comme hypothèse scientifique, le second comme théorie philosophique.


    Spinoza nous dit

    Le sentiment que nous avons d’être libre n’est-il pas une illusion ? Peut-être sommes nous conditionnés par des influences et des mécanismes dont nous ne sommes pas forcément conscients. Selon cette hypothèse, la liberté ne serait rien d’autre que l’ignorance des causes qui nous poussent à agir. Certaines philosophies vont même jusqu’à supposer un déterminisme intégral, un fatalisme, qui affirme la nécessité absolue des événements et qui fait de notre liberté une illusion.

    Exemple au hasard, Marcel Proust, grand névrosé, trouble, très souvent rejeté. Sa capacité d’arrêter le flux du temps. Un climat d’angoisse entraîne des métamorphoses. L’imaginaire devient envahissant.

    Personnellement, pour des raisons qui me sont partiellement inconnues, je gère mal le monde proustien et ne suis jamais parvenu à me laisser gagner par la magie que vantent d’autres lecteurs inconditionnels de Proust.

    Nous évoquions Engels et Marx. Que de passions autour de ces deux penseurs. Beaucoup de confusions et d’avis contradictoires autour de leurs oeuvres.

    J’ai du attendre un âge avancé pour découvrir Marx à travers Francis Cousin. Une manière de penser, une autre vision du monde entre la communauté de l’être et la société de l’avoir. Une dialectique qui m’ouvre des perspectives. Faut il encore faire la différence entre les concepts marxiens et les adaptations pour le moins douteuses et criminelles de la vision marxiste.

    Chacun fait son cheminement. Il faut tenter de rester libre dans le raisonnement. Se protéger aussi des médias qui vomissent en permanence leurs déjections.

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