La stupidité de ce crétin notoire est génératrice de rage, il ne terminera pas son mandat le salopard.
Pour essayer d’élever le débat, voici un condensé dEngels qui peut s’appliquer à la cause vendéenne. La défense de la communauté de l’être qui s’oppose à la société de l’avoir.
« Tous
les mouvements de masse au moyen-âge portèrent nécessairement une
figure religieuse et ils apparaissaient toujours comme des
restaurations radicales
du
christianisme primitif à la suite d’une corruption
envahissante... » -
Engels, Contributions
à l’Histoire du Christianisme primitif
Coalition terroriste anti Russe orchestrée par les USA pour assouvir le
"lobby" juif de ce pays en pleine décomposition
En, gros tout à fait. De Gaulle aurait eu plus de subtilité, d’intelligence et surtout de courage pour tendre la main à la Russie (européenne légitime). La place envahissante de l’empire américain, en fait l’ordre mondial de la marchandise, est insolente et démesurée. La multipolarité des influences politiques est bien sur préférable à la vision unipolaire qui conduit au mondialisme.
Malgré tout le dégoût que m’inspirent les putes journalistiques, les politiques macroniens...et tous les autres minus de l’idéal humain, le capital en marche, Mammon, le Prince de ce monde est véritablement le maître d’une manière peut être irréversible. L’Europe vassalisée par les Etats-Unis, la tiédeur et le pragmatisme politique ambiant, cachent une situation délicate.
Je crois que Marx avait raison, le Capital règne tyranniquement et seul sa disparition est souhaitable. Seulement, ce n’est pas un capitaine de navire, le capital, il risque nous causer bien des soucis en entraînant dans sa chute la terre entière, il est immoral
Bien
entendu, les vendéens du XVIIIe siècle étaient chrétiens et
favorables au roi qui représentait, par l’investiture canonique de
Rome, l’autorité divine sur la terre. Ils étaient donc partisans
de l’ancien régime. Tous les manuels scolaires de notre enfance
nous le révélèrent ainsi. Mais une analyse objective de l’histoire
en profondeur sur plusieurs siècles est plus éclairante et surtout
plus juste. Elle est surtout l’histoire authentique des peuples
européens trompés et asservis. Rassurez vous, je n’ai jamais été
séduit par le communisme stalinien ou autre saloperie estudiantine
de Mai 68. Simplement attaché à mon pays.
« Ce
qui est essentiel ici c’est de saisir – en dépit des différences,
discordances et contrastes - la continuité matricielle
entre l’antériorité médiévale qui mènera à l’avènement de la
grande monarchie classique telle qu’elle validera la mort du vieux
rapport non mercantile à la terre et sa postériorité
républicano-financière au sens où les agitations médiévales
de 1251 et de 1320 qui conduisent à la grande jacquerie de 1358 puis
aux embrasements de Guyenne en 1548, aboutissent aussi par la
métamorphose des longues durées insurrectionnistes, aux
Croquants et Nu-pieds et ce jusqu’à la Grande Peur de 1789, aux
soulèvements chouans et vendéens qui annonceront la mort
irrévocablement advenue au XIX° siècle de l’ancestrale communauté
rurale désormais pleinement absorbée par le paysage agricole du
destin capitaliste.
Le
son multiséculaire des cloches proclamant, de paroisse en paroisse,
le tocsin de la dés-obéissance a été l’écriture vivante
et charnelle de dizaines et de dizaines de générations campagnardes
qui s’obstinaient à ne point accepter de disparaître dans la
tyrannie montante des attractions de l’abstraction capitaliste
exercée par la civilisation des villes. Cette immense, abondante et
constante lutte de classe qui a d’ailleurs traversé toute l’histoire
européenne pour la défense de la joie du terroir contre l’anonymat
et la solitude du citadisme du profit, a finalement échoué
mais pour passer le flambeau à un type de soulèvement bien plus
vaste, beaucoup plus corpulent et immensément plus dangereux ;
celui de l’irréversible colère des prolétaires, c’est à dire de
tous les hommes d’aujourd’hui privés de toute autorité sur
leur propre vie par le spectacle démocratique de la dictature
salariale de l’argent omniprésent. »
« De
la croisade communeuse des Pastoureaux » Par Francis Cousin
Le
sacrifice vendéen est la partie visible de l’iceberg.
La
révolution capitaliste de 1789 a
pour principal objectif la marchandisation du
monde. S’emparer de la totalité de l’espace-temps
des demeures de
l’être asservi. Le
produire pour le vivre humain n’a cessé d’être remplacé par
le travailler
pour la vente.
Les
événements de Vendée sont le prolongement des luttes paysannes
(jacqueries) de la communauté
de l’être,
mode
de vie archaïque paléolithique.Vieille
communauté organique du communisme primordial. Dans le monde grec,
après Socrate, les systèmes sociétaux nouveaux
asservissants se mettront graduellement en place.En
Europe
les révoltes paysannes naissent de cette
évolution restrictive,
des privations, de
la
suppression des communaux, esprit
sacral présocratique, vision christique de la communauté de l’être.L’’Europe moderne est
construite sur le même modèle, elle
procède de la même infamie. Globalement nos hommes politiques sont
de sacrés
escrocs car ils ont permis que se prolonge et se modernise ce système
esclavagiste en se rangeant du côté des financiers aux
ordres
du grand capital. L’éradication
de la classe paysanne européenne a été conçu dans le même esprit en
1914-1918.
Dans le même esprit, il est un phénomène programmé par les
responsables des nations, patrons et gauchos confondus de remplacer
tous les chieurs que nous sommes, avec notre esprit vendéen de
revendication, par des immigrés faméliques qui seront très heureux
de travailler à moindre coût en fermant leur gueule. Continuez bandes d’idiots de voter pour des crétins comme macron.
Claude
Monet, l’un
des maîtres les plus constants de l’impressionnisme,
né
dans la seconde moitié du XIXe siècle
ne fut pas épargné. Dans ce
cas précis, entre les règles académiques, le
jury, les valeurs formelles
connues et l’innovation, l’avant-gardisme, la
recherche, le balancier
de l’horloge de chronos oscille
en permanence scandant le
mode d’être de l’humain en marche.Charles Baudelaire, en
qualité de critique d’art, s’arrête à Delacroix, 1ère
partie du XIXe siècle, dans son évocation poétique des Phares.
C’est sans doute longtemps,
longtemps après que les poètes sont disparus que l’on a
suffisamment de
hauteur de vue pour capter le message suggéré.
Dans
le feu de l’action et de
l’émotion, le cherchant dénonce la tyrannie alors qu’il se sent
incompris. Paradoxalement il
est taxé de révolutionnaire.
L’univers impressionniste est féminin, maternel, apaisant, comme
issu du ventre bucolique de Gaïa. Flottant
dans l’imprécision des formes, au chromatisme lumineux,riche et
diluédans
une gestation paisible et
matriarcale. En
opposition radicales aux
effroyables mutations
patriarcales,sociales, industrielles et
guerrières de ce temps.
De
plus, cela pourrait surprendre, le jury était pratiquement élu par
tirage au sort, c’est à dire plus juste qu’aujourd’hui.
Seulement voilà, aujourd’hui comme hier, le conditionnement du
peuple n’est pas en reste. Les apparences faussaires ont simplement
évolué. Dans la même ligne, le mouvement impressionniste
représente plus une évolution artistique qu’une révolution. La
libre culture ferait la différence.
Le
mouvement du balancier évoqué plus haut nous parle d’un retour
naturel et culturel de toute chose. À travers la PNL, on pourrait
mettre en avant le bien fondé pédagogique de la flexibilité.