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A côté de l’interprétation géologique et paléontologique des âges de la terre, une interprétation morale a été donnée des quatre âges védiques.
Krita-Youga, « Age de l’action accomplie », c’est-à-dire la période où tout ce qui doit être pratiqué l’était pleinement.
Ceci est le grand mystère de la vie sexuelle de Vishnou, caché dans les âges suivants.
L’âge où la justice, comme dit Manou, « se maintenait ferme sur ses quatre pieds ». Il n’y avait alors ni Dieux ni démons. Le Véda est unique, c’est-à-dire non encore distingué en Rig, Sâma et Yadjour. Vishnou, l’âme de tous les êtres, était blanc.
« L’âge Krita était celui où régnait la vertu éternelle. Il n’y eut, pendant toute la durée de ce Youga, ni maladies, ni perte de sens (folie) ; il n’y avait alors ni malédiction, ni pleurs, ni orgueil, ni aversion, ni guerre, combien moins la paresse, ni haine, ni improbité, ni crainte, ni même souci, ni jalousie, ni envie... » (Traduction de M. Foucher).
Trêta-Youga, « Age des trois feux sacrés ». C’est la période où commencent les sacrifices. La justice perd un pied. Les hommes offrent leur culte à des formes visibles (les femmes Déesses) ; Vishnou devient rouge, éveil de l’amour.
Dwâpara-Youga, âge qui suit les deux précédents. La justice perd un second pied, c’est-à-dire ne subsiste plus qu’à moitié. Le Véda devient quadruple et les cérémonies du culte se divisent. Vishnou passe au brun (moralement, c’est-à-dire devient impure dans l’esprit des hommes).
Kali-Youga, « Age de discorde », c’est la période actuelle, où il ne reste plus qu’un pied à la justice. Les prescriptions des Védas ne sont plus observées, les bonnes œuvres et les sacrifices sont négligés, et Vishnou est devenu noir (coupable et condamné, c’est-à-dire calomnié).
Le devoir, la cérémonie, le sacrifice et la conduite suivant les Védas s’éteignent, on voit circuler dans le monde les calamités des temps, les maladies, la paresse, les péchés, la colère et sa suite, les soucis, la crainte et la famine. Ces temps arrivés, la vertu périt de nouveau. La vertu n’étant plus, le monde périt à son tour ; avec le monde expiré meurent encore les « Puissances divines » qui donnent le mouvement au monde. Tel est cet âge Kali, qui a commencé il y a longtemps.
Ces quatre époques forment un grand âge. Mille de ces réunions font un jour de Brahma, et quatorze Manous régnent dans cet intervalle (4).
A la fin du règne de Brahma arrive une dissolution de l’univers, lorsque les trois mondes (les trois parties du Monde, l’Asie, l’Afrique, l’Europe), la terre et les régions de l’espace sont consumés par le feu.
Nous expliquons à l’article Cosmogonie cette fin bien réelle des planètes.
Lorsque les trois mondes ne sont plus qu’un immense océan, Brahma, qui est un avec Nârâyana, rassasié de la destruction de l’univers, dort sur son lit de serpents.
Le « Jour de Brahma » (qui est l’existence d’un soleil) est encore désigné par le terme de Kalpa, qu’il faut se garder de confondre avec celui de Youga.
Le Mahâ-Youga, ou période de quatre Yougas, est la millième partie d’un Kalpa.
Le Kalpa, ou « Jour de Brahma », mesure une seule période de l’existence de l’univers. Dans la conception des Hindous, une telle période est suivie d’une autre égale en longueur, appelée « Nuit de Brahma », où l’univers reste dans l’état de dissolution (c’est la période cométaire, l’extinction lente d’un soleil), Brahma restant plongé dans le sommeil. A son réveil, un nouveau Kalpa commence pour faire place à une nouvelle nuit, et ainsi de suite.
Un jour de Brahma est rempli par les règnes successifs de quatorze Manous. Chacun de ces règnes forme une période dite Manvantara. Les quatorze Manvantaras coïncident avec mille Mahâ-Yougas ; chaque Manvantara comprend, à peu près, soixante-et-onze périodes de quatre Yougas.
Dans le Kalpa présent, six Manvantaras sont déjà écoulés. On trouve dans les lois de Manou le nom des six personnages qui, durant ce temps, ont « dirigé le monde ».
Le Manou actuel est le Rishi Satyavrata, surnommé Vaivaswata, « fils du Soleil » (de Vivaswat, le Soleil).
La fin du monde actuel est ainsi annoncée dans les Védas :
A la fin du Kali-Youga, la Divinité descendra vengeresse et consommatrice ; le cheval blanc de la mort et de l’initiation complète, appuyant son quatrième pied sur la terre, donnera le signal de la fin du monde. En dernier lieu, Vishnou descend elle-même sur la terre pour y venir chercher les âmes pures, juger l’univers et abattre le vieil arbre dépouillé de son fruit.....
Vishnou reste paisible, plongée dans un sommeil divin, jusqu’au moment où, se réveillant, elle reforme un monde nouveau où elle régnera au milieu des élus.
La dégénérescence de l’humanité est constatée par les Védas dans les versets suivants :
« Le premier âge se distingue par le culte général de l’Etre suprême (la Théogonie), le second par l’accomplissement des sacrifices, le troisième par l’acquisition de la richesse, le quatrième par l’égoïsme et la dissipation ».
C’est bien là la progression décroissante des facultés morales et mentales des hommes qui dirigent le monde. D’abord l’idée pure, la science ; ensuite l’idée altérée, cachée ou symbolisée ; en troisième lieu l’intérêt, l’égoïsme, les jouissances matérielles en dehors de toute idée élevée.
Ce quatrième degré est celui qui règne actuellement parmi les hommes qui ne sont pas encore régénérés par la Nouvelle Science. Cette diminution de l’intelligence est en relation avec la diminution de la durée de la vie. Cette dégénérescence ne s’est pas effectuée rapidement dans l’individu, mais lentement dans la race.
Suite...
Précisions à l’attention de l’auteur de l’article :
Pythagore comme Hippocrate, et bien d’autres encore, sont des personnages fictifs inventés par des usurpateurs ignorants et/ou dégénérés lorsqu’ils ont réécrit l’histoire.
Aussi, les fables inventées sur la prétendue vie d’un homme appelé Pythagore n’ont aucune réalité.
Le mot Pythagore ne désignait pas un homme, mais une science. Pythagore est un nom composé ; sa terminaison gore est un dérivé du gourou (curé en sanscrit) ou guru des Hindous, et il signifie « celui qui enseigne », le Maître. En décomposant le nom, nous avons Pytha-gore. Or ce mot Pytha, c’est la Pythie qui enseigne.
C’est au milieu des luttes religieuses, que le 6ème siècle (avant JC) vit se produire une réaction contre le nouvel Hellénisme, c’est-à-dire contre le désordre moral des nouveaux cultes liés aux religions phalliques, et qui se traduisit par une renaissance pythagoricienne. Ce mouvement fut provoqué par les femmes de toutes les nations, mais c’est de la Celtide, que vient l’initiative de la fondation, en Grèce, d’une Ecole donnant l’enseignement des sciences comme il était donné dans les Collèges des Druidesses.
Le Pythagorisme était une sorte de congrégation sacrée, assemblée secrète de gens sages et religieux qui se répandit en Europe, en Asie et même en Afrique, et qui lutta contre l’ignorance et l’impiété.
Cette société secrète tendait à devenir universelle, elle rendit à l’humanité des services immenses.
Rappelons que, dans le Dictionnaire de Owen Pughes, le mot Pythagore, qui est d’origine galloise, est ainsi expliqué :
- Pythagoras : Explication de l’Univers, Cosmogonie.
- Pythagori : expliquer le système de l’Univers (mot composé de Pyth, période de temps ; agori, découvrir)
- Python : système de l’Univers.
- Pythones : une cosmogoniste, une pythonisse.
- Pythoni : traiter de cosmogonie.
- Pythonydd : celui qui systématise le monde.
La Grèce antique
Nietzsche en réalité
Nietzsche naquit à Lützen en 1844, d’une ancienne famille de noblesse polonaise. Il étudia à Bonn, puis à Leipzig, et devint professeur de philologie à l’Université de Bale.
En 1878 sa santé le contraignit à abandonner sa chaire, alors il se mit à écrire ; cela dura jusqu’en 1889. Il ne dormait plus (ce qui indique l’action perturbatrice interne du ferment moteur, le poison organique.)
A Turin, en janvier 1889, il subit une terrible crise de folie. Retiré dans son village et soigné par sa mère, il se plaignait en répétant sur un ton monotone : Mutter, ich bin dumm, (Mère, je suis bête). On dirait qu’il avait conscience de sa bestiale dégénérescence.
Il a le front large et fuyant (signe de régression) les sourcils fortement barrés (signe de prédominance du grand sympathique), l’œil impérieux (signe de domination brutale qui accompagne toujours les sourcils épais) : la moustache énorme (ce qui indique la sexualité extrême) son regard a la fixité visionnaire des fous.
En somme c’était une grande intelligence, qui fut grandement pervertie.
Les hommes comme Nietzsche ne laissent, dans le monde, qu’une impression : « C’est un misogyne !... » Leur science est néant, leur œuvre on l’oublie, leur haine seule reste.
La science de Nietzsche n’est, du reste, pas à lui ; sa haine seule lui appartient. Il est philologue, il étudie les textes antiques et nous les traduit. C’est un plagiaire des idées lointaines, celles que personne ne réclame, c’est pour cela qu’il est quelquefois étonnant, il nous rend des idées féminines qu’il attribue à l’homme supérieur, le suprahumain.
Il nous rend la femme antique et l’appelle : le Maître, pendant qu’il avilit la femme moderne et la veut esclave. Donc, sa pensée n’y est pas, il prend des mots dans l’œuvre antique qu’il ne sait pas débrouiller du malentendu sexuel. C’est la bête qui s’affuble de la robe blanche de la Prêtresse.
Les idées de Nietzsche sur les femmes :
Ce qui est bien à lui c’est sa jalousie de sexe, sa haine de la femme, voici ce qu’il en dit :
« Se méprendre sur ce problème fondamental de l’homme et de la femme ; nier leur antagonisme foncier et la nécessité de leur désaccord éternel, parler peut-être de droits égaux, d’éducation égale, de prétentions et de devoirs égaux, c’est le signe typique d’une platitude et d’une trivialité cérébrale sans remède. L’homme qui possède une vraie profondeur d’esprit, une réelle noblesse d’aspiration, ne peut considérer la femme qu’au point de vue « oriental », comme une possession, une propriété à clore et à enfermer, comme une chose prédestinée à servir. Ainsi fît, avec son instinct supérieur l’Asie, et ainsi firent, à sa suite, les Grecs, ses disciples, et ses héritiers. » (Mais il ne nous dit pas que c’est alors que l’Asie et les Grecs tombèrent dans la décadence et l’oubli.)
« Toute femme qui s’annonce comme voulant étudier doit être affligée de quelque déformation corporelle. »
(On a répondu à cela qu’il y a aux Etats-Unis 179 collèges qui confèrent des grades, qui délivrent des diplômes, lesquels comptent 25.000 étudiantes et 2. 300 professeurs parmi lesquels se trouvent seulement 577 hommes. Et toute cette population féminine ne comprend pas une seule femme difforme. - Chiffres en 1897)
« Ce qui, chez la femme, inspire le respect, est, assez souvent, la crainte, c’est son naturel plus près de la nature que celui de l’homme, sa souplesse vraiment toute féline, sa griffe déchirante, qui fait patte de velours, l’ingénuité de son égoïsme, son animalité intérieure qu’on ne saurait apprivoiser, tout ce qu’il y a d’insaisissable, de lointain, de volage dans ses passions....
Ce qui, malgré toute la crainte qu’elle inspire, nous fait prendre en pitié cette chatte dangereuse et séduisante : « la femme » c’est que nous la voyons plus sujette à souffrir, plus vulnérable, plus exposée aux séductions de l’amour et à ses désenchantements que n’importe quelle créature. Crainte et pitié, voilà les sentiments que, jusqu’ici, l’homme apportait à la femme, prêt à jouir d’elle comme de la tragédie qui déchire, tout en enivrant. Et quoi donc, tout serait-il fini maintenant ? Et la femme s’efforcerait elle de rompre son propre charme ?
« Que la femme soit en voie de rétrogradation, que, depuis la Révolution française, l’influence morale de l’européenne ait diminué, dans la proportion des droits qu’elle a acquis ; cela peut servir à prouver que le mouvement d’émancipation qui consiste principalement à lui reconnaître le « droit au travail » n’est pas si fort en sa faveur qu’on l’imagine. »
Voici quelques-unes de ses maximes :
« Tout dans la femme est une énigme, et tout dans la femme est une solution, celle-ci s’appelle enfantement. » (Oui, mais il y a plusieurs manières de l’entendre).
« L’homme doit être élevé pour la guerre et la femme pour la consolation du guerrier : toute autre chose est folle. »
« Qu’en ton amour soit ton honneur : D’autre honneur la femme n’en conçoit guère, mais que ce soit là ton honneur, d’aimer toujours plus que tu n’es aimée et de ne jamais rester la seconde en amour. »
« Le bonheur de l’homme s’appelle : Je veux. Le bonheur de la femme s’appelle : « Il veut. »
« Voici le monde accompli : Ainsi pense toute femme lorsque, de tout son cœur, elle obéit. »
« Hymen ! C’est ainsi que j’appelle la volonté à deux de créer cet un, qui est plus que ses créateurs. »
Ses idées sur les hommes :
Nous allons voir, maintenant, ce qu’il pense des hommes.
Là il est surprenant :
« L’homme est quelque chose qui doit être vaincu. »
« Ce qu’il y a de grand, dans l’homme, c’est qu’il est, non un but, mais une transition ; ce qu’on peut aimer en lui c’est qu’il est un passage, un coucher d’astre. »
« Je vous enseigne le supra homme. L’homme est quelque chose qui doit être dépassé. Qu’avez-vous fait pour surpasser l’homme ? »
« Tous les êtres, jusqu’à présent, ont créé plus haut qu’eux-mêmes, et vous voudriez être le reflux de ce grand flux et redescendre à l’animal, plutôt que de surpasser l’homme ? Qu’est le singe, pour l’homme ? Une risée ou une honte. Ainsi sera l’homme pour le supra homme, une risée ou une honte. »
« Vous voudriez, si possible, et il n’y a pas de possible, supprimer la souffrance ; et nous ? Nous la voudrions précisément plus grande et pire qu’elle n’a jamais été ! La discipline de la souffrance, de la grande souffrance, ne savez- vous donc pas que c’est elle qui jusqu’ici, a créé toutes les prééminences de l’homme ! »
(En effet, combien l’homme a dû souffrir moralement, pour vaincre la femme et supporter sa victoire, qui lui a valu la haine de celle dont il veut l’amour)
« L’homme réunit, en lui, le créateur et la créature. Il y a, en l’homme, la matière, le fragment, le superflu, l’argile, la boue, la folie et le chaos ; mais il y a aussi, en lui, le créateur, le sculpteur, la dureté du marteau, la béatitude divine du septième jour. Comprenez-vous les contrastes ? Comprenez-vous que vous avez pitié de ce qui doit nécessairement être façonné, brisé, forgé, étiré, calciné, rougi au feu, affiné, de ce qui doit nécessairement souffrir et ne saurait échapper à la souffrance ? »
(Or ce qui doit tant souffrir c’est l’âme de l’homme, et cela pour arriver à ce beau résultat : vaincre la femme, vaincre la Vérité et le Bien et arriver à faire triompher le Mal et, fier d’en être arrivé là)
Après ce grand misogyne, voyons les philogynes.
Ceux qui vivent ce sont ceux qui luttent
« L’Église a été victime d’une entreprise de calomnie à grande échelle » nous affirme cette historienne.
Précisons toute suite qu’ici, c’est l’hôpital qui se fiche de la charité.
Nous
sommes à l’aurore d’un monde nouveau, nous allons avoir à rectifier l’histoire
mensongère qu’on nous a enseignée et à mettre en évidence le plus terrible des
cataclysmes moraux que l’humanité ait subis, la plus grande des révolutions
qui, par une antithèse qui est frappante, s’appelle « une religion », alors que
son œuvre a été l’effondrement de « LA RELIGION ».
L’Eglise a elle-même, bien souvent, écrit son histoire. Ses adversaires ont eux aussi relaté ses luttes, ses ambitions et ses crimes. Et cependant la vérité qu’il fallait dire n’avait pas encore été écrite. Il restait donc à faire une œuvre plus utile peut-être que toutes celles qui ont été livrées à l’impression, celle qui devait expliquer comment le mal profond dont souffre l’humanité est venu d’un régime dit religieux, mais en réalité formidablement athée.
Terrible histoire que celle qui va nous montrer tout le passé glorieux de la Terre effacé, toute l’intellectualité torturée par un nouveau régime social, fait de bêtise, de cynisme et d’hypocrite justification.
Deux mots sur Alexandre, le vrai, pas celui du cinéma, ni celui des cours d’histoire.
Alexandre le Grand ?
La conquête de la Perse par Alexandre ouvre une ère nouvelle pour la religion de L’Iran (de 333 à 330). Aux Achéménides succèdent des dynasties grecques sous lesquelles la religion de Zoroastre est éclipsée et une partie des Livres sacrés perdue.
C’est Alexandre qui, dans une nuit de débauche, mit de sa propre main le feu au Palais de Persépolis, dans lequel se trouvait un exemplaire de l’Avesta « écrit en caractères d’or sur des peaux de bœufs ».
Celui qui détruisait ainsi l’œuvre sacrée de la Femme antique, de la vraie Déesse, voulait lui-même les honneurs rendus aux êtres divins. Les Spartiates disaient de lui, avec dédain : « Puisqu’Alexandre veut être Dieu, qu’il soit Dieu ». Combien cela changeait les choses !...
L’histoire de ce formidable dément a une haute portée, il faut la relater, ce sera un enseignement.
Alexandre en réalité…
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