Bien d’accord avec vous sur la
criminalité des USA et sur l’hypocrisie qui l’accompagne : la référence, jusque
dans des manifestations officielles, à un prétendu attachement aux valeurs
chrétiennes. Cependant, à l’exception de nombreux "évangéliques", la
théologie criminogène n’est, aux USA, pas plus que dans les autres pays
"chrétiens", explicitement revendiquée comme base de l’activité
criminelle.
Si, pour moi, l’islam est de beaucoup
la pire des trois principales religions abrahamiques c’est parce qu’elle a, dès
sa création, réanimé la croyance en
une prétendue "bonne violence" prétendument commandée par Dieu pour
de prétendues "bonnes raisons", et parce qu’elle l’a rendue à nouveau valable jusqu’à la soumission de
tous les peuples au "seul vrai Dieu Allah".
Mais ma plus ferme accusation (celle
d’un ancien catholique fervent) est toujours contre les églises prétendument "chrétiennes"
qui, trahissantJésus de Nazareth, leur
"maître à penser Dieu", continuent
de croire et d’enseigner que celui-ci a bien commandé "des bons massacres" à l’époque
de l’Ancien Testament. La croyance criminogène de l’islam n’aurait pas été
possible, il y a 14 siècles, si cette trahison des chrétiens n’avait été
déjà présente et cultivée. La criminalité
islamique ne pourra disparaître tant que cette théologie criminogène restera présente
dans les deux religions qui ont précédé l’islam.
Une fois de plus, la nécessité de détruire la théologie criminogène est remplacée par
une volonté de voir dans le "bon islam" une forme d’espoir contre le
matérialisme totalitaire !
Une fois de plus, "christianisme"
et athéisme obscurantiste ensemble contre la spiritualité pacifiante !
Vous me dites : Pourquoi le terme phobie associé à une religion serait dans un cas une
haine d’une « ethnie » et dans l’autre cas celle d’une
religion ?
C’est un commentaire pour ne pas me répondrepuisque, précisément,
je viens de dire que, dans les deux expressions discutées, une seule est
associée à une religion et pas l’autre.
Cet échange surréaliste me rappelle que
j’attends toujours de l’essayiste Raphaël Enthoven "le bon mot"pour qualifier la haine des musulmans depuis que, lors d’une
réunion publique, il avait reconnu que le
mot "islamophobie" ne convient pas. Il avait dit que, selon lui, le
mot juste manque, mais il ne voulait pas du mot musulmanophobie, selon moi parfaitement clair,que je lui proposais.
Comme lui, Henri Penà-Ruiz s’est enfermé dans un monde
intellectuel qui, aujourd’hui, se laisse dicter la manière de penser et
s’exprimer par les forces dominantes de la nouvelle
"communication". S’il voulait biensimplement dire les choses simples en oubliant de vouloir plaire à
tous, il ne serait pas dans la situation où l’a mis la fausse Gauche, principal
animatrice, depuis des années, de la tricherie langagière.
En réalité, si Henri Peña-Ruiz fait penser qu’il accepte la phobie des musulmans mais pas celle des juifs, c’est qu’il accepte lui-même une forme de tricherie langagière. S’il refusait la musulmanophobie comme il refuse la judéophobie, on ne pourrait le soupçonner de défendre le droit de haïr les musulmans mais pas celui de haïr les juifs.
Les mots "judéophobie" et "islamophobie" ne sont nullement "flous". Ils sont parfaitement clairs :
judéophobie : phobie des juifs, crainte et haine des juifs islamophobie : phobie de l’islam, crainte et détestation de l’islam.
Mais, comme il est dit par quelqu’un dans l’émission, même les rédacteurs de dictionnaires s’alignent aujourd’hui sur les auteurs de tricheries langagières.