Ils l’affirment eux-mêmes, leur seule idée à défendre c’est que leur violence, à eux, est parfaitement légitime parce qu’ils sont "révolutionnaires".
On le voit, depuis des années qu’ils accumulent leur "juste violence", les prétendus antifas sont, en France en ce moment, les authentiques fascistes. Mais s’ils sont installés dans la durée c’est qu’ils bénéficient de la complaisance, voire de la complicité, de la fausse Gauche et de nombreux journalistes installés dans les médias dominants.
On ne doit plus laisser passer à la
télévision que les ignorants volontaires, les tricheurs et les lâches actuellement
aux pouvoirs - politiques et médiatiques - qui conduisent le pays à sa perte.
Ce qui serait grave c’est qu’on ne soit pas
tous unis dans le naufrage pour chanter joyeusement :
Vive
la démocratie, le pluralisme et la liberté d’expression !
Merci de m’avoir donné l’occasion de
réécouter le Sâr Rabindranath Duval. Vous m’avez fait passer un bon moment.
J’en conviens, je ne suis pas assez
explicite dans de brefs commentaires et c’est très fréquemment qu’on ne me
comprend pas sur ce sujet, pour moi d’une importance capitale.
Selon l’Ancien Testament, Dieu
commandait à Josué d’aller massacrer tous les habitants des cités de Canaan, en
veillant à ce qu’il ne reste aucun survivant. Ce n’est qu’un exemple des
nombreux appels à massacrer attribués au Dieu dont les chrétiens, disent, aujourd’hui comme depuis 2000 ans, qu’il
était déjà le leur.
Dans la dernière édition de la Bible de
Jérusalem, Bible de l’église catholique postérieure à son Nouveau Catéchisme
(1998, le "guide spirituel pour le XXIe siècle" selon le pape
Jean-Paul 2), l’introduction au Livre de Josué donne l’actuelle "bonne interprétation" : Dieu invitait simplement
Josué à "faire entrer son peuple dans son royaume".
Je répète avec insistance que de telles
"bonnes interprétations" constituent une aide précieuse aux musulmans
qui veulent faire admettre que le seul
vrai Dieu Allah a toujours de bonnes raisons (avec de bonnes interprétations)
d’appeler à massacrer les mécréants et les adorateurs de faux Dieux.
Mais l’ancien catholique fervent que je
suis, toujours admirateur de Jésus de Nazareth (que, selon moi, l’Église
trahit) est pris pour un cinglé par beaucoup de gens, pas seulement par vous.
J’en conclus que la criminalité "divine" sacralisée dans l’islam le
restera sans doute encore longtemps... avec ses très logiques effets meurtriers
là où l’islam s’étend.