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PumTchak

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  • Premier article le 19/07/2018
  • Modérateur depuis le 04/01/2019
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Derniers commentaires




  • 3 votes
    PumTchak PumTchak 7 juin 2018 15:02

    @joseW

    Ah, oui. Dans un magasin de fringues, si vous houspillez vos clients, il ne vont pas se mettre à vous obéir : ils ne reviendront plus. Ce sont les clients (ou les électeurs) qui vous choisissent, pas vous qui les choisissez. Peut-être que vous prenez le problème à l’envers. Subséquemment, ce n’est pas aux sympathisants de gérer le journaliste : ce sont des invités à l’inauguration du local. C’est aux organisateurs de le faire.

    Pour continuer la comparaison avec le magasin : peut-être que tel client ne partage pas vos goûts culinaires, ou vos convictions religieuses, mais vous vous en fichez. L’essentiel est de partager les mêmes choix de fringues. Si le client est régulier, vous verrez même que vous pourrez confronter avec plaisir les différences de goûts dans d’autres domaines. C’est l’intersection de l’ensemble A et B, qu’on a tous appris à l’école. La stratégie des points communs et de la multiplication de ces points d’ancrages. Le "vous êtes avec nous ou contre nous", c’est G.W. Bush, c’est les antifas.

    Si votre (leur) inquiétude était de savoir si vous pouviez mettre Lapierre dans votre poche, ou si c’était impossible, c’est du A inclusion dans B, du G.H. Bush, du antifa. C’est la démarche même qui est impossible, ou juste de la domination. Par contre, lui présenter ce qui l’intéresse était largement possible : il partage le même souhait fondamental de la reprise de souveraineté. Après, il y a peut-être une prise de risque, mais ce n’est pas en n’essayant pas qu’on y arrive, et d’autre part l’UPR est déjà stigmatisé extrême-droite et complotiste par le mainstream, que vous avez accueilli, d’ailleurs (Quotidien, venu pour rappeler la stigmate). Il y avait plus à gagner qu’à perdre avec Lapierre. 



  • 6 votes
    PumTchak PumTchak 7 juin 2018 11:05

    @joseW

    Je crois comprendre que sur Agoravox tv, il y a pas mal d’intervenants qui ont voté Asselineau aux élections présidentielles et un certain nombre sont des adhérents déclarés : la plupart, ici, sont aussi anti UE, anti euro, anti OTAN.

    Il y a une forte déception sur l’attitude des cadres UPR vue à travers la caméra de Lapierre : ceux qui interviennent ici sont très sensibles au lent grignotage en cours de la liberté d’expression dans notre pays.

    La plupart des commentaires que vous lisez ici sont posés, (pas le mien qui était réactif, même colérique et pas bien écrit). Vous pouvez lire des analyses construites sur les raisons aux attitudes paranos et contre-productives de personnes faisant partie de l’appareil UPR.

    Après, soit vous houspillez ceux qui sont déçus par ces attitudes de commissaires bolchéviques ou de puérils policiers, soit vous en en profitez pour interroger le fonctionnement de votre appareil et chercher des solutions pour rendre votre parti plus attrayant. 

    C’est vous qui voyez.



  • 11 votes
    PumTchak PumTchak 6 juin 2018 17:43

    @FrexitUPR

    @FrexitUPR

    Non, vous n’êtes pas le seul. Quand je pense que j’ai voté pour ça... Vous avez raison, il faut remplacer UPR par PTC : Parti des Trous du Cul. Ou PTB : parti Balais dans le Cul. 

    Les gens vivent avec une camisole dans la tête, maintenant, ils ont peur de leur ombre, se sont fait greffer un système d’alerte à la place d’un système de pensée. Comme si on était des tatoués à vie avec le nom d’un parti politique écrit en gros, alors que le premier parti, celui des abstentionnistes, est suivi du parti des votants par défaut. Un prolo qui votait PC jadis et qui vote FN maintenant, ça reste un prolo qui fait comme il peut...

    Je comprends maintenant pourquoi les moyens de censure qui déferlent pénètrent dans la société comme dans du beurre.



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    PumTchak PumTchak 6 juin 2018 10:43

    @Qirotatif

    J’ai peut-être raté un décodage avec la chanson. Je viens ici pour la discuss, je laisse la batteule à ceux qui aiment ça. On aura sans doute l’occasion avec d’autres articles de comparer d’autres points de vues.



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    PumTchak PumTchak 6 juin 2018 10:18

    @Hieronymus

    de Gaulle avait 78 ans en avril 1969, il est mort 18 mois après. Il n’a en effet pas compris mai 68, en dépit de son génie politique, il devait sentir le poids des ans. Il a lui-même suffisamment déploré la vieillesse de Pétain et son manque d’adversité pendant la guerre de 39/45, pour vouloir éviter le même "naufrage".

    Mais 68 a été une crise sociale : les accords de Grenelle on permis le réajustement salarial pour le monde ouvrier (qui vivait encore le sentiment d’un sort commun, à l’époque), après l’effort de la reconstruction. Cela a été une crise sociétale inédite, avec la génération du baby boom, devenue citadine, éloignée du romantisme politique en cours (époque décolonial, création de pays neufs, expériences communistes...), attirée tout autant par les nouveautés américaines (West Side Story, la modernité d’un Kennedy...). Ladite génération confrontée à celle précédente qui porte les stigmates d’une autre existence : les souffrances et privations de la guerre, on ne sait pas ce qu’on gagne, mais on sait ce qu’on perd, un sous est un sou, etc... Le parti communiste, lui-même, a soutenu de Gaulle contre les manifestations estudiantines. Ici une réaction de Raymond Aron, à chaud pendant les évènements, qui reconnaît que ses analyses ne suffisent pas a expliquer. 

    Je partage les analyses de Joe Chip sur le sentiment démocrate du général. C’est un paradoxe, de la part d’un militaire qui a grandi avec la nostalgie royaliste, mais il avait une règle du jeu claire : soit vous êtes d’accord avec ce que je fais, soit je m’en vais. A l’école, on m’a appris que les referendum gaulliens étaient des plébiscites, sous-entendu que ce n’était pas très démocrate (on dirait populiste, aujourd’hui). On a vu la comparaison avec Mitterrand, l’auteur du "Coup d’état permanent", qui était "démocrate" au point de faire tout et son contraire, y compris d’accepter un gouvernement issu d’un parti adversaire, pourvu qu’il reste au pouvoir. Il n’y a pas photo. 

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