Que Killary soit tout autant affreuse extérieurement qu’intérieurement, je peux vous aider pour faire des tartines ensemble.
Pour le reste, langue au chat à mon tour. Avant que le scandale éclate, Trump avait répété aux médias être super pote d’Epstein, pendant 15 ans, nombreuses photos à l’appui. Il vantait les belles femmes qu’il trouvait, même de très jeunes. Il est enregistré sur plusieurs vols dans le carnet de bord du Lolita Express. D’ailleurs, la déclassification et officialisation annoncée de l’affaire Epstein se fait languir là-bas, même si son administration agite devant les caméras des classeurs contenant la fameuse liste... Concernant, les enfants, les Obama, qu’on les aime ou pas, ont affiché et promu aussi de beaux enfants, avec rien à leur reprocher de trouvé. Bien qu’il semble (je suis moins certain que Trump) qu’il ait aussi été client aussi de l’île d’Epstein. Donc bon...
Je sais qu’il existe toutes sortes de "modalités" pédophiles, y compris les plus sordides et inimaginables, avec membres déchiquetés ou parties de chasses (de gosses) dans des parcs de châteaux qui concernent (ont concerné) y compris des chefs d’Etats et des monarques. Simplement, le couvercle est entrouvert aux Etats-Unis, l’omerta est toujours verrouillé en France comme en UE. Tant que ce n’est pas attesté par des autorités nationales ...
Quand à Trump, pour la partie visible, c’est un volcan, en effet, qui secoue le système mondial. Avec malheureusement des dégâts (Gaza et son horreur...). Mais aussi, pour réussir son "America First", il a besoin de détruire l’agenda oligarchique mondial actuel (les ODD 2030, version vitrine, mais le "vous n’aurez plus rien" derrière les rideaux pour ceux qui suivent). Et aussi certains aspects du néoconservatisme (progressomondialisme). Et ça, ça m’intéresse. Après, il n’en est encore qu’au début du mandat, on ne sait pas encore le sillage qu’il va tracer. Par contre, oui, dans son pays, il semble réussir sa révolution culturelle conservatrice, qui sera consolidée si les résultats économiques viennent.
Il faudrait vous sembler aussi que "New World Order" a été un titre d’essai d’H.G.Wells. Et vous sembler encore qu’avant, Woodrow Wilson avait fait un plaidoyer à la création de la SdN pour un "World Order". Et c’est plus ancien, on peut plonger dans les profondeurs historiques : ce n’était pas le tout de conquérir pour faire un empire, il fallait aussi un ordre mondial pour gérer.
David Rockefeller a écrit un bouquin, il n’y a pas si longtemps, pour les nuls :
Certains croient que nous (la famille Rockefeller) faisons partie d’une cabale secrète travaillant contre les meilleurs intérêts des États-Unis, caractérisant ma famille et moi comme des "internationalistes" et conspirant avec d’autres partout dans le monde pour construire une structure politique et économique globale plus intégrée – un seul monde, si vous préférez. Si c’est l’accusation, je suis coupable et fier de l’être.
Memoirs, David Rockefeller, éd. Random House ; 1st Trade Ed edition, October 15, 2002 (ISBN 978-0679405887), p. 405
L’utopie, la dystopie, le sincère, le menteur, l’enfer, les bonnes intentions, les pavés... basile est au courant de tout ça, c’est une conversation entre grandes personnes.
Ce NOO qui se dessine, on a quand même bien du mal à en saisir les contours.
Disons que ce sont des polarités, qui s’influencent entre elles, parmi lesquelles les acteurs qui y sont ont plusieurs cartes en main, comme Trump aime bien répéter cet an ci. Et c’est encore mieux avec la pioche à disposition pour refaire le jeu. Par exemple, concernant l’oligarchie, un Soros (senior & et junior), un Bill Gates, un Klaus Schwab sont en train de basculer dans l’abyme. Tandis que Zuckerberg et Bezos se montrent interchangeables. Musk est maintenant trop compromis en visibilité politique : pour lui, ça passe ou ça casse. L’oligarchie doit refaire sa cerise de toute façon.
Pour la suite du NOO, je donne ma langue au chat.
Et moi juste des conjectures, aucune certitude à vendre.
Vos développements sont intéressants. Je pense aussi, comme vous l’exposez très bien que la déchéance européenne a commencé par son évidement spirituel. La laïcité, larépublique (qui était à l’origine la question concrète, même si complexe, de la res-publica), aussi la technologie, le scientisme, l’humanisme supérieur indéfini ont servi d’appeaux, et de mérule. Et je pense aussi qu’il manque la connaissance de la géopolitique des trois religions abrahamiques, consanguines, prises dans le triangle de Karpman, qui broient les peuples et les nations, au lieu de de les apaiser.
Tout serait à reprendre en spiritualité, cela viendrait alors sans doute d’ailleurs que de l’Europe occidentale.
(Dans la salle d’à côté, mon avatar est Enki, nous avons déjà échangé).
Dans le Game of Throne du Niouw Ouorld Ordeur, sont en lice :
L’historique : Etat profond US, son monde unipolaire, la Russie étant l’ennemi à sa thalassocratie, la pièce de puzzle essentielle à la création de l’Eurasie (the Great Game). Trump veut rétablir la Pax Américana de Roosevelt, par l’archéoconservatisme, cherchant un nouveau modus vivendi avec les puissances régionales du monde, pour contrer le multilatéralisme et ses BRICS, l’UE n’en faisant plus partie.
Le neconservatisme sioniste, créé par l’American Jewish Committee, (voir Wiki sur l’idéologie et l’organisation) que JFK voulait classer comme agent de l’étranger avant de mourir. A noter que ce sont des juifs d’origines trotskistes qui ont créé cette doctrine, ayant su greffer capitalisme et sociétalisme (ou progressisme, wokisme, LGBT, migrations…). C’est le muscle Américain pour le cerveau Israélien, ce que confirment des Wesley Clark, Jeffrey Sachs (ascendances juives) et même RFK Jr quelques semaines avant (ou juste après ?) la réélection de Trump. Doctrine pour la destruction des Etats-Nations, hormis Israël (Jérusalem, capitale mondiale, coucou Attali...) et les Tasunis, la Russie nationaliste étant un obstacle parmi d’autres. C’est sans doute le prétendant le plus sérieux, mais que sa trop forte visibilité depuis la guerre contre la Palestine fragilise. Trump lui a fait pleine allégeance, mais a la capacité à trahir (les nouvelles stars médiatiques trumpistes, Joe Rogan, Tucker Carlson, Candace Owens commencent à montrer l’éléphant dans la pièce).
L’oligarchie mondiale (multinationales, + banques + fonds de pensions) équivalente à la Guilde des Marchands de Herbert ou Lucas ou Compagnie de Commerce Intergalactique d’Asimov. L’oligarchie a opportunément saisi le progressisme néoconservateur (mal nommé, votre « progressomondialisme » est mieux choisi) pour imposer sa gouvernance mondiale à la place des nations : la Russie toujours du mauvais côté du manche.
C’est un jeu d’influences, de forces, un théâtre d’ombres, avec ses alliances, guerres, trahisons, et rapports incestueux.
Il faut ajouter un outsider : l’islam, depuis les pétromonarchies, celui de la restauration ottomane d’Erdogan semblant s’évaporer en songe creux. La Russie étant une pièce neutre dans le jeu et l’UE, la proie en cours de dépouillement.
L’UE s’étant déjà vassalisée à ces quatre prétendants, elle s’accroche sans doute à l’oligarchie depuis que Trump redistribue les cartes, mais tombera de sa monture, n’ayant plus le poids économique ni le crédibilité géopolitique pour lui servir.
Je confesse les deux. Sans compter les histoires de con et de fesse en 68.
En 68, c’était la mort du Père, De Gaulle.
Et moi gaulliste dès Mitterrand de mes jeunes années depuis le lycée. J’avais la comparaison devant moi. Conséquemment anti Sarko, anti Hollande et anti Macron. Non à Maastricht et non au TCE, insulté sans surprise. Non vacciné, suite logique.
Question de génération, en somme. La mienne n’ayant fait qu’assister à ce que sont devenus les 68ards. Au moins, vous n’êtes pas obstiné dans l’erreur, contrairement hélas à la majorité de votre génération qui avait besoin d’autre chose que le rappel constant de leurs parents à la guerre (un sou est un sou, on sait ce qu’on perd, pas ce qu’on gagne, etc...).