Gaspard Delanuit

@micnet

"Yann Moix a réagi, il explique que tout ceci fait partie d’un « film de fiction » et que ces « dialogues » avec Depardieu font partie de ce film en assumant le fait que ces échanges trashs sont volontaires et qu’il ne s’agit donc pas d’une caméra cachée où ils se seraient fait surprendre l’un et l’autre…(ils portaient des microcravates)"

Fiction ou pas, de quel droit publier une discussion entre deux personnes sans avoir pour cela leur autorisation et dans l’intention manifeste de leur nuire ? On vit dans un monde de fous. 

@micnet

Je confirme, je suis un être démoniaque

Alcooliquophobe en plus !

(Le pseudo "nono" est un troll : il ne faut ni nourrir le troll, ni lui donner à boire.)

Une députée Polonaise s’adresse vertement à Von Der Leyen

https://www.youtube.com/watch?v=hgJS7XdOiFI

@micnet

"Tu veux que je te dise, les gros efforts que je fais en ce moment (mais visiblement en vain), c’est d’essayer de t’expliquer que tes propos pourraient être répréhensibles juridiquement parlant."

Ses propos sont en effet répréhensibles. Il ferait mieux de demander à l’administration du forum de supprimer immédiatement son message. 

La diffamation publique envers une personne privée ou un groupe de personnes privées est punissable d’une amende de 12 000 €. De plus, la personne victime de diffamation peut obtenir des dommages-intérêts. Sans compter que l’article 475-1 du code de procédure pénale prévoit que l’auteur d’une infraction peut être condamné à payer à la partie civile une somme correspondant aux frais exposés par celle-ci et non payés par l’État.

https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F32079# : :text=Il%20ne%20faut%20pas%20confondre,ne%20vise%20aucun%20fait%20pr%C3%A9cis.

 

@Sophie Li

"Tous les hommes hétérosexuels sont des blaireaux qui tiennent des propos graveleux et trash en privé ? Je ne crois pas."

Ce que les hommes ou les femmes disent ou font en privé ne vous regarde pas, tout simplement. Cela ne doit pas être exposé en public. La vulgarité et la délinquance sociale consistent à publier et commenter ce qui est privé. Telle est la principale vulgarité de notre époque. Et, vous voyez, on y tombe facilement sans s’en rendre compte !