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Ziberal

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  • Premier article le 19/08/2010
  • Modérateur depuis le 25/09/2010
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  • 3 votes
    ziberal 19 septembre 2010 10:40

    "Sauf qu’enlever la séparation entre dépôt sécurisé et investissement à risque contredit tout à fait la possibilité de laisser couler une banque devenue de risque universelle, contrairement à avant l’UE (avec les lois qui empêchait, de nouveau, une dictature de la finance et favorisait l’économie physique)."


    Non, une banque même universelle peut parfaitement couler sans léser ses déposants, si les droits de propriété sont correctement définis. Les banques n’ont pas le droit d’utiliser les dépôts contrairement à aujourd’hui. Séparer les banques dépôts et les banques d’investissements est une sécurité mais elle est ni nécessaire, ni suffisante.


    "Les petites rhétoriques à 2 balles existe aussi chez les libéraux. Pour qui vous prenez vous ? La race supérieur ?

    La meilleurs économie est mixte comme pendant les 30 glorieuses. Les excès sont insignifiants de dogmatisme."


    Et vous pourqui vous vous prenez ? "La meilleurs économie est mixte comme pendant les 30 glorieuses. " c’est pas du dogmatisme ?



  • 7 votes
    ziberal 18 septembre 2010 16:26

    Je vous rassure, la situation des USA n’est pas exemple libéral. Ca ne l’était déjà pas du temps du Bush, ça l’est encore moins du temps d’Obama.


    Et non le système financier actuel n’a rien de libéral, pas plus que le soutien au banques. C’est au contraire de l’interventionnisme pur. Quelque chose d’assez proche de votre camp finalement.



  • 10 votes
    ziberal 18 septembre 2010 16:24

    En matière de dogmatisme vous avez l’air d’en connaitre un rayon...

    En gros, des attaques personnelles, puis l’affirmation que sans les impôts pas d’infrastructure, ce qui n’est en rien l’objet de cette video.

    Bref, vous ne parlez par contre absolument pas au fait :
    - que des sommes colosalles prélevées obligatoirement sont gérées par des organismes sans représentativité.
    - que la liberté de choix ou l’efficacité soient totalement oubliés dans l’organisation actuelle.
    Ca vous gène peut être d’en parler ? Pourquoi ?

    Non, c’est un méchant libéral qui dit quelque chose alors ça suffit à le discréditer... voilà à quoi ressemble l’argumentation étatiste depuis plusieurs décennies. Ca va commencer à être léger à l’heure des grandes faillites.



  • vote
    ziberal 8 septembre 2010 13:49

    Votre message est très riche et je ne peux pas répondre point par point.
    Les règles sociales présentent effectivement des dangers mais bien moindre que lorsqu’elles sont imposées par la violence physique. Celle de l’Etat ou d’un groupe quelconque.

    Pas de problème pour échanger le mot moral par le mot éthique, il n’avait pas pour moi une connotation religieuse (peut être à tort.) De fait une partie de nos désaccords vient sans doute de la définition et du périmètre de la morale.

    Une partie du discours d’une gauche étatiste, c’est de mettre la violence des règles sociales sur le même plan que la violence physique, puis d’expliquer que l’on doit recourir à la violence physique de l’Etat pour nous protéger de la violence des règles sociales. Je trouve ce discours extrêmement dangereux.

    En amour, se faire plaquer est violent. Se faire repousser, trahir aussi ? Est-ce que pour cela que l’on doit légiférer la dessus ? Se faire juger sur sa façon de s’exprimer ou sa culture (populaire ou classique) est violent. Est-ce pour cela que l’on doit légiférer la dessus ?


    Et l’exclusion, est ce si grave que ça ? (je ne pensais pas à vrai dire aux cas que vous présentez ou de fait la coercition étatique est déterminante.) Je serais très vite exclu d’un groupe du NPA ou du FN. Et alors ? La pensée unique existe, mais est ce à partir du moment ou les « excentriques » peuvent s’exprimer ou vivre leur vie sans crainte de la violence physique de l’Etat ou des autres ?

    Et la pensée unique a aussi un rôle. C’est parce qu’il y a une pensée unique que nous pouvons nous saluer dans la rue, comprendre ce que l’Autre souhaite à chaque rencontre. Je ne vois pas en quoi cela constitue un problème. Surtout dans la mesure ou les « excentriques » peuvent tenter des expériences pour améliorer cette culture commune ou simplement vivre dans une culture parallèle.

    Que des savants à l’université ou ailleurs questionnent ou analysent ces règles sociales (sans d’ailleurs toujours reconnaitre leurs propres règles internes d’exclusion produisant aussi une pensée unique) est légitime, tant que cela ne se traduit pas par l’utilisation de la violence de l’Etat pour implémenter ces nouvelles règles. Nous vivons sous l’influence d’un politiquement correct théorisée dans des départements de sciences humaines (et malheureusement de plus en plus implémenter par la violence de l’Etat.)


    Quand à l’uniformisation de la culture, elle a lieu massivement en général par la violence physique de l’Etat. Une seule éducation nationale. Des journaux gavés de subventions qui empêchent d’autres journaux de se créer. Des subventions d’Etat au cinéma. Chaines publiques. Qu’une majorité du public choisit certains divertissements plutôt que d’autres ou est le problème si certains amateurs plus exigeants disposent de leur liberté pour faire leurs films. (S’ils souhaitent par contre financer leur film par la violence de l’Etat avec l’argent d’un public qui n’en veut pas, oui ça devient un problème pour les libéraux.)

    « la réalité le problème qui nous préoccupe aujourd’hui est celui du pouvoir d’une oligarchie, des banques, des multinationales et des médias, tous mis en situation de monopole par leur coopération notamment en termes de prix et de formatage, et qui ont usurpé la souveraineté nationale par l’action des lobbys et de la corruption des institutions. »


    Je suis largement d’accord avec vous. Mais à qui la faute ? Si ce n’est celle de ceux qui veulent que l’Etat se mêle de tout ?
    Le secteur bancaire est un exemple criant. L’intervention de l’Etat ou d’institution paraétatiques est déterminant dans le faible nombre d’acteurs, dans le soutien scandaleux à ces institutions, dans l’hyper trophie de ce secteur.
     
    « Dieu se rit des hommes qui se plaignent des conséquences alors qu’ils en chérissent les causes. » Ca pourrait bien être le slogan de la gauche actuelle et de son culte déraisonnable de l’Etat qui veut nous protéger d’une concentration limitée et temporaire d’entreprises privées par des concentrations obligatoires et institutionnelles de l’Etat, qui nous veut nous protéger de la violence de règles sociales que l’on peut éviter par la violence physique de l’Etat inévitable.

    Et cela au final fossilise la société voir créé une guerre civile permanente, incitant chaque citoyen à se battre pour mettre la main directement ou indirectement sur les leviers de l’Etat.



  • 1 vote
    ziberal 7 septembre 2010 09:40

    Oups... message tapé trop vite avant d’aller au travail : droits naturels : liberté, sécurité, propriété et bien d’autres encore...

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