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Ziberal

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  • Premier article le 19/08/2010
  • Modérateur depuis le 25/09/2010
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Derniers commentaires




  • 2 votes
    ziberal 21 août 2010 11:19

    Super la démonstration.. "des gens souffrent donc c’est la faute du libéralisme."

    La crise des subprimes n’est pas une crise du capitalisme libéral comme l’a expliqué Xavdr plus haut.

    Oui, il y a des gens qui souffrent. Et qui souffrent beaucoup.

    Leur vie a été saccagée par les apprenties sorciers interventionnistes que tu sembles défendre. Mais tu t’en moques, raisonner c’est de la masturbation intellectuelle. Ce qui compte c’est l’émotion, l’indignation et un bouc émissaire. Fais ce que tu veux, mais surtout, surtout ne viens pas dire que tu défend ceux qui souffrent.



  • 3 votes
    ziberal 20 août 2010 13:51

    Certains concepts du libéralisme s’affinent. Mais il n’y a pas eu de bouleversement conceptuel du libéralisme depuis sa création.
    L’opposition entre un gentil libéralisme classique et un méchant libéralisme moderne est totalement factice. Elle est en générale portée par des gens qui n’ont jamais aimé le libéralisme (ou qui ne le connaissent pas), qui l’ont combattu violement hier (classique comme moderne) et qui reviennent aujourd’hui la bouche en cœur pour expliquer au libéraux ce qu’est le libéralisme. Farceurs !

    Maintenant il ne suffit pas de faire une liste à la Prévert de ce que l’on aime pas dans la modernité ou dans que l’on croit percevoir de la modernité en disant que c’est le libéralisme pour ce cela soit du libéralisme. Les mots ont un sens. Pour ce qui est du libéralisme (comme du socialisme d’ailleurs), on peut tracer assez précisement le périmètre du libéralisme (sachant qu’un sens de ce périmètre il y a de belles querelles de famille).

    La libéralisme permet à chacun dans le respect des droits naturels des autres d’agir, de penser ou de créer. Ce qui ne garantit en rien des actions forcement intelligentes, vertueuses ou éléguantes… loin de là. Maintenant jusqu’à preuve du contraire, ni l’Etat, ni la buvette d’ATTAC après le pastis ne sont des arbitres inconstestables du bon gout.



  • 3 votes
    ziberal 20 août 2010 12:37

    Sur votre première critique.
    C’est parfaitement exact, il y a un courant utilitariste dans le libéralisme.
    Cela étant
    - Il est venu historiquement après le libéralisme « du droit naturel ». Le droit naturel moderne a donné naissance au libéralisme au 17-18 ème siècle. L’utilitarisme ayant apparu au 19 ème siècle.Et a été immédiatement constesté lors de son apparition par des libéraux du droit naturel (Benjamin Constant par exemple)
    - Et aujourd’hui encore les « vrais » libéraux (c’est-à-dire ceux qui militent, animent des think tank, publient, connaissant la philosophie politique libérale) sont très majoritairement de tendance jusnaturalis.
    - Le discours utilitariste est surtout porté par des entrepreneurs –n’ayant en général pas une culture politique forte y compris du libéralisme- pour qui le libéralisme c’est en gros moins d’impots et moins de droit de travail. (j’ai rien contre hein.. mais c’est tout de même une vision très restreinte du libéralisme et accéssoirement particulierement peu séduisante.) C’est d’ailleurs la vision caricaturale qui braque une grande partie des citoyens.
    - Je comptais évoquer l’utilitarisme dans le deuxième petit film.. mais à mon avis l’utilitarisme (libéral ou non d’ailleurs) mène à des impasses criantes. (Un petit film ne doit pas devenir gros.. déjà mon objectif était de limiter à 7, 8 minutes par thème. J’arrive à moins de 15-20 (pour le suivant) minutes et dans la douleur..)


    Sur votre deuxième critique
    J’entends bien qu’on ne peut pas trouver des politiques 100% libéraux. Mais à mon avis, cela plafonne actuellement à 20% dans le meilleur des cas (sauf effectivement dans le domaine du protectionnisme ou des progrès ont été fait depuis les dernières decennies.)
    Sur le discours.
     -Tout le monde se défend d’être libéral. Dans le meilleur des cas (et très rarement) on se dit libéral avec des pincettes « je suis assez libéral mais blablabla anti-libéral » On imagine mal Martine Aubry dire « je suis social-démocrate mais blabla anti-social démocrate. »
    Et lorsque des positions libérales sont défendues (chez les verts par exemple) elles le sont surtout surtout sans dire que c’est libéral.
    Sur le fond :
    - Mis à part le protectionnisme, tout le reste est à l’orange ou rouge vif. Fiscalité en augmentation permanente (mis à part des niches electoralistes pas du tout dans les souhaits libéraux), dette, reglementations, subventions, ‘soutien à la croissance’, réformes de l’Etat ridicules (Livres Pierre Cahuc sur les reformes de Sarkozy. Pour rire ou pour pleurer.), interventions tonitruantes de l’Etat sur pleins de sujets. Et le plus grave c’est que c’est identifié comme du libéralisme..



  • 3 votes
    ziberal 19 août 2010 23:14

    La bourse ? Vous voulez dire cet endroit rendu totalement irrationnel par les piscines olympiques de monnaie déversées par les institutions para-étatiques que sont les banques centrales. La folie ultra-interventionniste sauvage. Très peu pour moi.



  • 3 votes
    ziberal 19 août 2010 23:09

    Pour la politique industrielle forcenée effectivement aussi plus marquée au temps de gaulle, d’autres pays en avait une à commencé par l’URSS avec le succès que l’on connait.

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